A. Lincoln et J.F. Kennedy, deux opposants au « Système de la Réserve Fédérale » … ils furent tous deux assassinés !
Kennedy fut le dernier Président connu pour avoir défié le système de la Réserve Fédérale (banque centrale américaine) et voyez ce qui lui est arrivé. Les circonstances exactes de son assassinat restent mystérieuses. Ce que l’on sait, cependant, est que JFK était, dans de nombreux domaines, un individualiste qui, comme Président, agissait souvent indépendam-ment et parfois en conflit direct avec les intérêts puissants représentés à Washington. L’un d’entre eux était la Réserve Fédérale.
L’économiste Seymour Harris décrivait Kennedy comme « le Président le plus compétent dans le champ économique de tous les temps ».
En 1961, JFK conciliait une profonde compréhension du principe économique qui préconise de laisser un maximum de capitaux à la source de la production ainsi qu’au contribuable. […] Considérant le rôle de la Réserve Fédérale, James J. Saxon l’administrateur monétaire de JFK, encouragea un projet politique octroyant de larges pouvoirs d’investissements et de crédits non-affiliés à la Réserve Fédérale. Cela aurait impliqué de permettre à ces banques et institutions de crédit indépendantes de fixer leurs taux d’intérêts, concurrençant ainsi la Réserve Fédérale et ses filiales. Saxon décida également que ces banques pourraient garantir l’émission de bons à l’échelle locale ou fédérale, un domaine jusque là réservé aux banques affiliées à la Réserve Fédérale. Cette politique mettait en porte à faux l’administration Kennedy vis-à-vis de la puissante banque centrale, elle qui cherche à toujours étendre plus sa prérogative de monopole sur l’émission de monnaie et sur la fixation des taux d’intérêt.
En juin 1963, JFK autorisa l’émission pour plus de 4 milliards de dollars de billets, sans emprunt, dans le système américain. Cette extraordinaire décision a totalement circonvenu la Réserve Fédérale, qui s’attendait à être sollicitée pour prêter et émettre de l’argent frais, avec des intérêts qui leur reviendraient, au gouvernement américain.
La dernière fois qu’un Président avait tenté ce genre de chose fut en 1862, quand Abraham Lincoln choisit de permettre l’émission de 450 millions de dollars sans contreparties pour la trésorerie américaine, plutôt que d’emprunter auprès de l’institution bancaire. Il statua alors : « Le gouvernement possédant le pouvoir de créer et d’émettre de la monnaie… n’a pas besoin et ne devrait pas emprunter des capitaux avec intérêts… Le privilège d’émettre de l’argent n’est pas seulement la prérogative suprême du gouvernement mais aussi son plus important moyen de créativité. »
Il est fascinant de constater la coïncidence dans le fait que Lincoln et Kennedy furent tous deux assassinés.
La veuve de l’assassin présumé de JFK, Lee Harvey Oswald, dans une interview accordée à l’écrivain A J. Weberman, dit ceci: « La réponse aux questions sur l’assassinat de Kennedy se trouve à la Banque de la Réserve Fédérale ». Ne sous-estimez pas cela. Il est erroné de tout faire reposer sur James Angleton (officier de la CIA) et sur la CIA. Il ne s’agit là que d’un des doigts d’une même main. Ceux qui financent sont au-dessus de la CIA.
Les deux présidents avaient eu quatre enfants, dont seulement deux étaient en vie lors de la disparition de leur père (Robert et Tad Lincoln ; John et Caroline Kennedy). Plus, tant A. Lincoln que J.F. Kennedy avaient perdu un enfant durant leur mandat présidentiel (William Wallace Lincoln, mort en 1862 ; Patrick Bouvier Kennedy, décédé en 1963).
Les deux présidents avaient combattu pour les droits civiques des Noirs (Lincoln par sa proclamation de leur émancipation ; Kennedy par la loi sur les Droits civils).
Lincoln avait un secrétaire appelé Kennedy qui lui déconseilla le jour fatal d’aller au théâtre Ford, où il tomba sous les balles de Booth. Kennedy avait une secrétaire dont le nom de famille était Lincoln qui le pria de ne pas aller à Dallas.
Lincoln fut assassiné dans le théâtre Ford ; Kennedy succomba dans une voiture Lincoln décapotable, sortie des usines Ford Motor Company.
L’économiste Seymour Harris décrivait Kennedy comme « le Président le plus compétent dans le champ économique de tous les temps ».
En 1961, JFK conciliait une profonde compréhension du principe économique qui préconise de laisser un maximum de capitaux à la source de la production ainsi qu’au contribuable. […] Considérant le rôle de la Réserve Fédérale, James J. Saxon l’administrateur monétaire de JFK, encouragea un projet politique octroyant de larges pouvoirs d’investissements et de crédits non-affiliés à la Réserve Fédérale. Cela aurait impliqué de permettre à ces banques et institutions de crédit indépendantes de fixer leurs taux d’intérêts, concurrençant ainsi la Réserve Fédérale et ses filiales. Saxon décida également que ces banques pourraient garantir l’émission de bons à l’échelle locale ou fédérale, un domaine jusque là réservé aux banques affiliées à la Réserve Fédérale. Cette politique mettait en porte à faux l’administration Kennedy vis-à-vis de la puissante banque centrale, elle qui cherche à toujours étendre plus sa prérogative de monopole sur l’émission de monnaie et sur la fixation des taux d’intérêt.
En juin 1963, JFK autorisa l’émission pour plus de 4 milliards de dollars de billets, sans emprunt, dans le système américain. Cette extraordinaire décision a totalement circonvenu la Réserve Fédérale, qui s’attendait à être sollicitée pour prêter et émettre de l’argent frais, avec des intérêts qui leur reviendraient, au gouvernement américain.
La dernière fois qu’un Président avait tenté ce genre de chose fut en 1862, quand Abraham Lincoln choisit de permettre l’émission de 450 millions de dollars sans contreparties pour la trésorerie américaine, plutôt que d’emprunter auprès de l’institution bancaire. Il statua alors : « Le gouvernement possédant le pouvoir de créer et d’émettre de la monnaie… n’a pas besoin et ne devrait pas emprunter des capitaux avec intérêts… Le privilège d’émettre de l’argent n’est pas seulement la prérogative suprême du gouvernement mais aussi son plus important moyen de créativité. »
Il est fascinant de constater la coïncidence dans le fait que Lincoln et Kennedy furent tous deux assassinés.
La veuve de l’assassin présumé de JFK, Lee Harvey Oswald, dans une interview accordée à l’écrivain A J. Weberman, dit ceci: « La réponse aux questions sur l’assassinat de Kennedy se trouve à la Banque de la Réserve Fédérale ». Ne sous-estimez pas cela. Il est erroné de tout faire reposer sur James Angleton (officier de la CIA) et sur la CIA. Il ne s’agit là que d’un des doigts d’une même main. Ceux qui financent sont au-dessus de la CIA.
(Source: article de Chuck Morse, 29 mars 2001, www.chuckmorse.com)
De simples coïncidences… entre A. Lincoln et J.F. Kennedy
Les deux présidents ont été élu dans les années 60 de leur siècle : 1860 pour Lincoln et 1960 pour Kennedy.Les deux présidents avaient eu quatre enfants, dont seulement deux étaient en vie lors de la disparition de leur père (Robert et Tad Lincoln ; John et Caroline Kennedy). Plus, tant A. Lincoln que J.F. Kennedy avaient perdu un enfant durant leur mandat présidentiel (William Wallace Lincoln, mort en 1862 ; Patrick Bouvier Kennedy, décédé en 1963).
Les deux présidents avaient combattu pour les droits civiques des Noirs (Lincoln par sa proclamation de leur émancipation ; Kennedy par la loi sur les Droits civils).
Lincoln avait un secrétaire appelé Kennedy qui lui déconseilla le jour fatal d’aller au théâtre Ford, où il tomba sous les balles de Booth. Kennedy avait une secrétaire dont le nom de famille était Lincoln qui le pria de ne pas aller à Dallas.
Lincoln fut assassiné dans le théâtre Ford ; Kennedy succomba dans une voiture Lincoln décapotable, sortie des usines Ford Motor Company.
Le successeur d’A. Lincoln fut le vice-président Andrew Johnson, né dans le sud en 1808 ; le successeur de J.F. Kennedy fut Lyndon Baines Johnson, né dans le sud en 1908.
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