Ambassade britannique a Bagdad, l'ombre d'un nouveau scandale
Le ministère britannique des A.E. fait face désormais a un nouveau défi : comment se faire racheter aux yeux du peuple irakien alors que les employés de l'ambassade britannique a Bagdad abuse des Irakiennes?
Plusieurs plaintes ont été déposées, selon Times, auprès de la justice irakienne contre l'un des directeurs de l'entreprise americaine KBR travaillant pour le compte de l'ambassade de la Grande Bretagne. Celui-ci est accuse de viole et de tentative de viole sur plusieurs femmes irakiennes qui travaillent dans l'ambassade. Il s'agit d'une employée, de deux cuisineres et d'une femme de ménage. Cette accusation risque, toujours selon l'hebdomadaire, de mettre en très mauvaise posture le secrétaire au foreign office, David Milliband d'autant plus que la première réaction de l'ambassade a la plainte de ces femmes a consiste a les mettre a la porte.
Pour limiter les dégâts toutefois, le ministère britannique des A.E. a donne l'ordre de l'expulsion immédiate de ce directeur du territoire irakien. Cette affaire vient allonger la liste des scandales éclatées depuis l'occupation de l'Irak en 2003 et qui implique les troupes américaines et britanniques. On se rappelle en effet de celle qui touchait les entreprises sécuritaires étrangères dont la fameuse ''Black Water''. Mais ce qui scandalise le plus les organisations de défense des droits de l'homme dans cetet affaire, c'est que les cas de viole des femmes irakiennes par les ressortissants américains ou britanniques est en nette augmentation.
En 2008, le New York Times a rapporté une affaire similaire impliquant l'armée US : deux femmes irakiennes avaient été violées par leurs collègues américains au sein de l'armée Us et suite a leur plainte auprès de leurs directeurs, elles ont été licenciées. L'article de l'hebdomadaire ''Time'' rapporte le témoignage de l'une des femmes irakiennes victimes de l'abus du directeur la société KBR . Celle-ci affirme avoir été violée par l'un des conducteurs de la société lorsqu'en 2004, le véhicule de ce dernier a sauté sur une bombe puis est tombé dans une embuscade sur une route dans la banlieu de Bagdad. L'Irakienne en question aurait pris ensuite l'initiative d'aller se plaindre auprès du directeur en dépit de toutes les pressions psychologiques mais celui-ci l'aurait insultée et mise a la porte.
Il est important de signaler que ces abus ne concernent pas seulement les irakiennes travaillant pour la société KBR. En 2005, Mme J.L. Jones aurait subi harcellement et le viole de ses collègues. Jones et les Irakiennes victimes espèrent être entendus par la justice irakienne. Car du coté de la justice américaine, l'affaire risque d'etre tres vite classée comme ces nombreux autres dossiers irako américains qui n'ont jamais débouche sur un procès équitable
Plusieurs plaintes ont été déposées, selon Times, auprès de la justice irakienne contre l'un des directeurs de l'entreprise americaine KBR travaillant pour le compte de l'ambassade de la Grande Bretagne. Celui-ci est accuse de viole et de tentative de viole sur plusieurs femmes irakiennes qui travaillent dans l'ambassade. Il s'agit d'une employée, de deux cuisineres et d'une femme de ménage. Cette accusation risque, toujours selon l'hebdomadaire, de mettre en très mauvaise posture le secrétaire au foreign office, David Milliband d'autant plus que la première réaction de l'ambassade a la plainte de ces femmes a consiste a les mettre a la porte.
Pour limiter les dégâts toutefois, le ministère britannique des A.E. a donne l'ordre de l'expulsion immédiate de ce directeur du territoire irakien. Cette affaire vient allonger la liste des scandales éclatées depuis l'occupation de l'Irak en 2003 et qui implique les troupes américaines et britanniques. On se rappelle en effet de celle qui touchait les entreprises sécuritaires étrangères dont la fameuse ''Black Water''. Mais ce qui scandalise le plus les organisations de défense des droits de l'homme dans cetet affaire, c'est que les cas de viole des femmes irakiennes par les ressortissants américains ou britanniques est en nette augmentation.
En 2008, le New York Times a rapporté une affaire similaire impliquant l'armée US : deux femmes irakiennes avaient été violées par leurs collègues américains au sein de l'armée Us et suite a leur plainte auprès de leurs directeurs, elles ont été licenciées. L'article de l'hebdomadaire ''Time'' rapporte le témoignage de l'une des femmes irakiennes victimes de l'abus du directeur la société KBR . Celle-ci affirme avoir été violée par l'un des conducteurs de la société lorsqu'en 2004, le véhicule de ce dernier a sauté sur une bombe puis est tombé dans une embuscade sur une route dans la banlieu de Bagdad. L'Irakienne en question aurait pris ensuite l'initiative d'aller se plaindre auprès du directeur en dépit de toutes les pressions psychologiques mais celui-ci l'aurait insultée et mise a la porte.
Il est important de signaler que ces abus ne concernent pas seulement les irakiennes travaillant pour la société KBR. En 2005, Mme J.L. Jones aurait subi harcellement et le viole de ses collègues. Jones et les Irakiennes victimes espèrent être entendus par la justice irakienne. Car du coté de la justice américaine, l'affaire risque d'etre tres vite classée comme ces nombreux autres dossiers irako américains qui n'ont jamais débouche sur un procès équitable
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