ARROSER LES MARIONNETTES : Le FMI compte conclure "plusieurs" accords de prêt avec des pays arabes
La directrice générale du Fonds monétaire international Christine Lagarde a indiqué samedi que l'institution comptait conclure "plusieurs" accords avec les pays du "printemps arabe" en vue d'un prêt dans les six mois à venir.
"Nous avons un engagement envers les pays arabes en transition. Un engagement selon lequel d'ici à notre assemblée annuelle à Tokyo, nous aurons plusieurs programmes en place pour les aider à traverser la transition", a déclaré Mme Lagarde lors d'une conférence de presse à Washington.
"Ce ne sera pas assez, cela exigera que d'autres soutiens, donateurs, partenaires aident financièrement et dans l'ouverture aux échanges également", a-t-elle ajouté.
Elle n'a pas précisé quels pays elle visait.
Le FMI avait indiqué lors du sommet du G8 de Deauville (France) en mai 2011 qu'"un montant total d'environ 35 milliards de dollars pourrait être mis à disposition" des pays d'Afrique du Nord, du Proche et du Moyen-Orient importateurs de pétrole et engagés dans des réformes politiques et économiques.
Depuis, pas un de ces pays n'a obtenu un dollar du FMI.
L'Egypte a d'abord hésité à demander un prêt, puis s'est mise à le négocier à partir de début 2012. Mais ces négociations sont bloquées par la discorde au sein de la classe politique au Caire.
D'autres pays comme la Tunisie, le Maroc ou la Jordanie n'envisagent pas de recourir à l'argent du Fonds.
Mme Lagarde a souligné que son institution conseillait les pays de la région. "C'est probablement la partie du monde où nous apportons le montant le plus élevé d'assistance technique [...] dans toutes sortes de matières, les finances publiques, les systèmes d'imposition, également dans des domaines où ils cherchent notre assistance", a-t-elle relevé.
"Nous avons un engagement envers les pays arabes en transition. Un engagement selon lequel d'ici à notre assemblée annuelle à Tokyo, nous aurons plusieurs programmes en place pour les aider à traverser la transition", a déclaré Mme Lagarde lors d'une conférence de presse à Washington.
"Ce ne sera pas assez, cela exigera que d'autres soutiens, donateurs, partenaires aident financièrement et dans l'ouverture aux échanges également", a-t-elle ajouté.
Elle n'a pas précisé quels pays elle visait.
Le FMI avait indiqué lors du sommet du G8 de Deauville (France) en mai 2011 qu'"un montant total d'environ 35 milliards de dollars pourrait être mis à disposition" des pays d'Afrique du Nord, du Proche et du Moyen-Orient importateurs de pétrole et engagés dans des réformes politiques et économiques.
Depuis, pas un de ces pays n'a obtenu un dollar du FMI.
L'Egypte a d'abord hésité à demander un prêt, puis s'est mise à le négocier à partir de début 2012. Mais ces négociations sont bloquées par la discorde au sein de la classe politique au Caire.
D'autres pays comme la Tunisie, le Maroc ou la Jordanie n'envisagent pas de recourir à l'argent du Fonds.
Mme Lagarde a souligné que son institution conseillait les pays de la région. "C'est probablement la partie du monde où nous apportons le montant le plus élevé d'assistance technique [...] dans toutes sortes de matières, les finances publiques, les systèmes d'imposition, également dans des domaines où ils cherchent notre assistance", a-t-elle relevé.
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