Ban Ki-moon dénonce les entorses au droit international du régime israélien
Le secrétaire général de l’ONU dénonce par les mots dans un message lu à l’occasion de l’ouverture à Genève d’une réunion de deux jours des Nations unies sur la Palestine, les entorses au droit international du premier ministre, Benjamin Netanyahu, après les nombreuses critiques groupées des puissances de ce monde.
Faute de pouvoir lui forcer la main par des résolutions contraignantes ou des sanctions comme il est d’usage en pareil cas de refus flagrant d’obtempérer, l’ONU et les dirigeants occidentaux multiplient les critiques.
Ainsi, le secrétaire général des Nations unies Ban Ki-moon a exhorté hier le régime israélien à geler ses activités de colonisation dans les territoires palestiniens.
Le secrétaire général de l’ONU a appelé le régime israélien à « remplir totalement ses obligations », notamment le « gel de la colonisation ».
« Si Israël continue son activité de colonisation, ce ne sera pas seulement en infraction avec le droit international, mais aussi contre un fort consensus international », a-t-il ajouté.
Pour Ban Ki-moon, les autorités israéliennes « doivent aussi mettre un terme aux actions unilatérales à Jérusalem, telles que les destructions de maisons ».
Le régime israélien doit également « se plier à l’avis de la Cour internationale de justice, vieux de cinq ans », qui a jugé illégale la construction du mur de séparation avec les territoires palestiniens.
Les entorses au droit international sériées par Ban Ki-moon sont déclinées comme autant de chefs d’inculpation contre le régime israélien.
On peut cependant regretter que le premier responsable de la paix dans le monde n’ait pas jugé utile de convoquer le Conseil de sécurité pour statuer sur le cas du régime israélien qui semble faire l’unanimité ou à tout le moins appeler clairement à des sanctions. Pour nettement moins grave que cela, des pays ont été désignés à la vindicte mondiale.
Le deux poids deux mesures du traitement onusien n’est pas nouveau. Que peuvent donc apporter de plus ces plaintes du secrétaire général de l’ONU alors que Benjamin Netanyahu n’a pas fait cas des appels des Etats-Unis, de la France, de l’Union européenne et de la Russie, au gel de la colonisation à l’est d’El Qhods occupé.
Le président syrien, Bachar Al Assad, et le Premier ministre turc, Recep Tayyip Erdogan, ont, de leur côté, souligné, hier à Alep (nord de la Syrie), qu’Israël devait avoir « une véritable volonté politique » pour parvenir à la paix au Proche-Orient. Une paix qui, d’après eux, doit être « basée sur les résolutions internationales et sur le retrait d’Israël des territoires arabes occupés, dont le Golan, jusqu’à la ligne du 4 juin 1967 ».
Faute de pouvoir lui forcer la main par des résolutions contraignantes ou des sanctions comme il est d’usage en pareil cas de refus flagrant d’obtempérer, l’ONU et les dirigeants occidentaux multiplient les critiques.
Ainsi, le secrétaire général des Nations unies Ban Ki-moon a exhorté hier le régime israélien à geler ses activités de colonisation dans les territoires palestiniens.
Le secrétaire général de l’ONU a appelé le régime israélien à « remplir totalement ses obligations », notamment le « gel de la colonisation ».
« Si Israël continue son activité de colonisation, ce ne sera pas seulement en infraction avec le droit international, mais aussi contre un fort consensus international », a-t-il ajouté.
Pour Ban Ki-moon, les autorités israéliennes « doivent aussi mettre un terme aux actions unilatérales à Jérusalem, telles que les destructions de maisons ».
Le régime israélien doit également « se plier à l’avis de la Cour internationale de justice, vieux de cinq ans », qui a jugé illégale la construction du mur de séparation avec les territoires palestiniens.
Les entorses au droit international sériées par Ban Ki-moon sont déclinées comme autant de chefs d’inculpation contre le régime israélien.
On peut cependant regretter que le premier responsable de la paix dans le monde n’ait pas jugé utile de convoquer le Conseil de sécurité pour statuer sur le cas du régime israélien qui semble faire l’unanimité ou à tout le moins appeler clairement à des sanctions. Pour nettement moins grave que cela, des pays ont été désignés à la vindicte mondiale.
Le deux poids deux mesures du traitement onusien n’est pas nouveau. Que peuvent donc apporter de plus ces plaintes du secrétaire général de l’ONU alors que Benjamin Netanyahu n’a pas fait cas des appels des Etats-Unis, de la France, de l’Union européenne et de la Russie, au gel de la colonisation à l’est d’El Qhods occupé.
Le président syrien, Bachar Al Assad, et le Premier ministre turc, Recep Tayyip Erdogan, ont, de leur côté, souligné, hier à Alep (nord de la Syrie), qu’Israël devait avoir « une véritable volonté politique » pour parvenir à la paix au Proche-Orient. Une paix qui, d’après eux, doit être « basée sur les résolutions internationales et sur le retrait d’Israël des territoires arabes occupés, dont le Golan, jusqu’à la ligne du 4 juin 1967 ».
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