Et si la défense de DSK le pervers s’effondrait ?
La femme de chambre a été pilonnée considérant que son témoignage était devenu caduc parce qu’elle avait menti. Toute cette attaque repose sur deux choses : ses mensonges révélés par une lettre du procureur Vance publiée par le New York Time et des informations connexes (prostituée, différend tarifaire) par, entre autres le New York Post. Les mensonges avérés prennent le pas sur tout le reste et au moins deux points : les éléments médico-légaux et la permanence de ses déclarations sur le fait lui-même. Surtout il faut tenir compte du coup de théâtre que les analyses des clés magnétiques confirmeraient la version initiale de la femme de chambre et crédibiliserait fortement son témoignage d’agression ! Si les mensonges de l’une doivent entrer en ligne de compte pour son accusation alors les mensonges de l’autre aussi. Ce qui est tout à fait extraordinaire dans cette histoire c’est que l’énorme mensonge de la défense de DSK dans les premières heures n’existe plus. Lui aurait donc le droit de mentir sans que cela ne change rien à sa crédibilité. Aucun journal, aucun article, ni même le procureur, ne reprend ce mensonge pourtant énorme.
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