Hassan Ghashghavi réagit après de nouvelles profanations de la mosquée d'Al-Aqsa
Le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères a fermement condamné la profanation de la mosquée d'Al-Aqsa par les agresseurs sionistes.
Le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, Hassan Ghashghavi, a condamné, hier mardi, les profanations et actes provocateurs du régime sioniste contre la mosquée d'Al-Aqsa, ajoutant que ces agressions contre les fidèles sans défense palestiniens symbolisait le terrorisme et la violation flagrante des droits de ceux qui sont les vrais propriétaires de la Palestine occupée.
Réagissant au processus de judaïsation mis en place de longue date des lieux saints, en Palestine, il a précisé que la mosquée d'Al-Aqsa occupe une place toute particulière dans le cœur des Musulmans et que les profanations incessantes soutenus, par les militaires du régime israélien, contre la mosquée d'Al-Aghsa, rendaient nécessaire l’adoption de mesures sérieuses après les agressions violentes du régime israélien.
Hassan Qashqavi a également, appelé les instances internationale et en particulier l'Organisation de la Conférence Islamique, à condamner cette approche inhumaine et à prendre les mesures qui s'imposent pour empêcher la profanation des lieux saints des Musulmans.
Dimanche matin, des militaires et policiers du régime israélien ont attaqué des fidèles palestiniens qui étaient restés dans la mosquée d'Al-Aqsa, pour empêcher les extrémistes sionistes d'y pénétrer, sous prétexte de tenir la cérémonie religieuse de la fête de Kippour. Lors de ces affrontements, au moins, 40 Palestiniens, ont été blessés.
Les réactions internationales indignées n’ont pas manquées. Ismaïl Haniyeh a indiqué que "les actes de profanation contre la mosquée al-Aqsa et la répression exercée contre les combattants de la bande de Gaza constituent une escalade dangereuse. Ceci ne nous incitera pas, toutefois, à la capitulation et ne cassera pas la volonté du peuple palestinien à s’auto défendre et à lutter contre l’occupation.
Le fait d’affronter l’occupation et de protéger al-Aqsa est une preuve que les Palestiniens ne renonceront pas au legs de la nation".
Un communiqué du cabinet du Roi du Maroc a exprimé également sa vive condamnation de cet acte odieux ainsi que sa ferme réprobation des agressions violentes perpétrées contre des Palestiniens par des soldats de l'occupation israélienne, complices de cette profanation des lieux sacrés musulmans, et de l'incursion dans l'esplanade de la mosquée Al-Aqsa, en particulier Bab Al Maghariba.
Partant de son attachement à la préservation de l'identité arabo-islamique d'Al-Qods Acharif, il réitère son rejet total de ces actes criminels et de ces violations graves contraires aux préceptes des religions célestes et aux valeurs humaines de cohabitation et de tolérance, et foulant au pied la légalité internationale et les conventions qui insistent sur le respect de l'identité d'Al-Qods, de son patrimoine religieux et de son statut international qui ne reconnaît pas l'occupation de sa partie Est, ajoute le communiqué.
Aucune capitale européenne n’a condamné ces actes odieux.
Le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, Hassan Ghashghavi, a condamné, hier mardi, les profanations et actes provocateurs du régime sioniste contre la mosquée d'Al-Aqsa, ajoutant que ces agressions contre les fidèles sans défense palestiniens symbolisait le terrorisme et la violation flagrante des droits de ceux qui sont les vrais propriétaires de la Palestine occupée.
Réagissant au processus de judaïsation mis en place de longue date des lieux saints, en Palestine, il a précisé que la mosquée d'Al-Aqsa occupe une place toute particulière dans le cœur des Musulmans et que les profanations incessantes soutenus, par les militaires du régime israélien, contre la mosquée d'Al-Aghsa, rendaient nécessaire l’adoption de mesures sérieuses après les agressions violentes du régime israélien.
Hassan Qashqavi a également, appelé les instances internationale et en particulier l'Organisation de la Conférence Islamique, à condamner cette approche inhumaine et à prendre les mesures qui s'imposent pour empêcher la profanation des lieux saints des Musulmans.
Dimanche matin, des militaires et policiers du régime israélien ont attaqué des fidèles palestiniens qui étaient restés dans la mosquée d'Al-Aqsa, pour empêcher les extrémistes sionistes d'y pénétrer, sous prétexte de tenir la cérémonie religieuse de la fête de Kippour. Lors de ces affrontements, au moins, 40 Palestiniens, ont été blessés.
Les réactions internationales indignées n’ont pas manquées. Ismaïl Haniyeh a indiqué que "les actes de profanation contre la mosquée al-Aqsa et la répression exercée contre les combattants de la bande de Gaza constituent une escalade dangereuse. Ceci ne nous incitera pas, toutefois, à la capitulation et ne cassera pas la volonté du peuple palestinien à s’auto défendre et à lutter contre l’occupation.
Le fait d’affronter l’occupation et de protéger al-Aqsa est une preuve que les Palestiniens ne renonceront pas au legs de la nation".
Un communiqué du cabinet du Roi du Maroc a exprimé également sa vive condamnation de cet acte odieux ainsi que sa ferme réprobation des agressions violentes perpétrées contre des Palestiniens par des soldats de l'occupation israélienne, complices de cette profanation des lieux sacrés musulmans, et de l'incursion dans l'esplanade de la mosquée Al-Aqsa, en particulier Bab Al Maghariba.
Partant de son attachement à la préservation de l'identité arabo-islamique d'Al-Qods Acharif, il réitère son rejet total de ces actes criminels et de ces violations graves contraires aux préceptes des religions célestes et aux valeurs humaines de cohabitation et de tolérance, et foulant au pied la légalité internationale et les conventions qui insistent sur le respect de l'identité d'Al-Qods, de son patrimoine religieux et de son statut international qui ne reconnaît pas l'occupation de sa partie Est, ajoute le communiqué.
Aucune capitale européenne n’a condamné ces actes odieux.
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