INGERENCE POLITIQUE DES USA : Echec et mat pour la politique américaine
Finie la politique politicienne, terminés les propos à demi-mot ! C'est à découvert que l'on s'exprime, sur l'échiquier politique! Pressions musclées, menaces et intimidations, immixtion sans ambages, ni équivoques.
La désignation de Najib Mikati, à la primature libanaise, avec le soutien du 8 mars, (le Hezbollah et ses alliés), a été la goutte d’eau qui a fait déborder le vase de la politique moyen-orientale de Washington. La secrétaire d'Etat Hillary Clinton ne mâche pas ses mots, lorsqu'elle dit, en s'exclamant, qu'un gouvernement, sous l'égide du Hezbollah, au Liban, influera, certainement, sur les relations de Beyrouth avec Washington. Elle exprime, ainsi, ouvertement, son mécontentement envers la désignation de Najib Mikati, au poste de Premier ministre. Comment peut-on qualifier ce geste? N'est-ce pas de l'intervention pure et simple, dans les affaires intérieures d'un pays souverain et indépendant? De tels propos évoquent, en même temps, un autre dessous de la diplomatie US: ils trahissent, aussi, l'échec d'une politique interventionniste, un échec qui n'est pas, pourtant, inattendu. On peut s’y attendre, lorsqu'on n'a pas une juste conception des développements du Liban, voire, de la région, lorsqu'on agit avec précipitation. Et cela, à telle enseigne, que le peuple et les groupes politiques libanais, qui sont attachés à leur pays, y voient un geste d'ingérence et une réaction décevante. Pour d'aucuns, la Maison Blanche cherche à faire du Liban un rouleau compresseur, à l'encontre des pays de la région, et à s'en servir, pour combler les vides qui découlent de ses échecs consécutifs, en Irak, en Afghanistan ou en Palestine. Les politiciens washingtoniens ont une vision si restreinte des développements libanais qu'ils s'imaginaient pouvoir parvenir à leurs objectifs néfastes, en déclenchant une guerre interconfessionnelle et interethnique au Liban. Et cela, sans tenir compte de la vigilance du 8 mars, qui a su déjouer à temps ce complot. Echec et mat, pour la politique américaine, mais une ère nouvelle de démocratie pointe à l'horizon de la région!
La désignation de Najib Mikati, à la primature libanaise, avec le soutien du 8 mars, (le Hezbollah et ses alliés), a été la goutte d’eau qui a fait déborder le vase de la politique moyen-orientale de Washington. La secrétaire d'Etat Hillary Clinton ne mâche pas ses mots, lorsqu'elle dit, en s'exclamant, qu'un gouvernement, sous l'égide du Hezbollah, au Liban, influera, certainement, sur les relations de Beyrouth avec Washington. Elle exprime, ainsi, ouvertement, son mécontentement envers la désignation de Najib Mikati, au poste de Premier ministre. Comment peut-on qualifier ce geste? N'est-ce pas de l'intervention pure et simple, dans les affaires intérieures d'un pays souverain et indépendant? De tels propos évoquent, en même temps, un autre dessous de la diplomatie US: ils trahissent, aussi, l'échec d'une politique interventionniste, un échec qui n'est pas, pourtant, inattendu. On peut s’y attendre, lorsqu'on n'a pas une juste conception des développements du Liban, voire, de la région, lorsqu'on agit avec précipitation. Et cela, à telle enseigne, que le peuple et les groupes politiques libanais, qui sont attachés à leur pays, y voient un geste d'ingérence et une réaction décevante. Pour d'aucuns, la Maison Blanche cherche à faire du Liban un rouleau compresseur, à l'encontre des pays de la région, et à s'en servir, pour combler les vides qui découlent de ses échecs consécutifs, en Irak, en Afghanistan ou en Palestine. Les politiciens washingtoniens ont une vision si restreinte des développements libanais qu'ils s'imaginaient pouvoir parvenir à leurs objectifs néfastes, en déclenchant une guerre interconfessionnelle et interethnique au Liban. Et cela, sans tenir compte de la vigilance du 8 mars, qui a su déjouer à temps ce complot. Echec et mat, pour la politique américaine, mais une ère nouvelle de démocratie pointe à l'horizon de la région!
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