L'ambassade des États-Unis, prochaine cible des manifestants égyptiens vendredi
Les manifestants égyptiens ont annoncé jeudi que l'ambassade américaine au Caire serait vendredi la prochaine cible des manifestants une fois atteint le palais présidentiel.
Les manifestants ont déclaré qu'ils organiseraient une manifestation massive le 11 Février, manifestation au cours de laquelle ils se dirigeraient vers le palais du président Moubarak, puis vers l'ambassade américaine située dans la capitale égyptienne.
L'ambassade américaine a été placée sous de très strictes mesures de sécurité au cours des derniers jours et des documents importants ont été détruits sur ordre direct de Washington.
Les Etats-Unis ont déjà évacué les familles de leurs diplomates du Caire.
Les manifestants égyptiens ont scandé des slogans hostiles aux Etats-Unis, au régime sioniste et à la Grande-Bretagne lors des rassemblements de ces deux derniers jours, les mettant en garde contre toute ingérence dans les affaires intérieures de l'Egypte.
Les manifestants exigeant le départ du président égyptien Hosni Moubarak restaient fortement mobilisés jeudi place Tahrir au Caire, malgré la menace du pouvoir de faire intervenir l'armée en cas de "chaos".
Dès le petit matin, les protestataires scandaient "Le peuple veut faire tomber le régime", leitmotiv de la contestation sans précédent contre M. Moubarak, au pouvoir depuis près de 30 ans.
De nouvelles tentes ont été installées sur cette place située au centre du Caire, devenue le symbole du soulèvement déclenché le 25 janvier et occupée jour et nuit depuis le 28 janvier par les manifestants.
Les manifestants ont déclaré qu'ils organiseraient une manifestation massive le 11 Février, manifestation au cours de laquelle ils se dirigeraient vers le palais du président Moubarak, puis vers l'ambassade américaine située dans la capitale égyptienne.
L'ambassade américaine a été placée sous de très strictes mesures de sécurité au cours des derniers jours et des documents importants ont été détruits sur ordre direct de Washington.
Les Etats-Unis ont déjà évacué les familles de leurs diplomates du Caire.
Les manifestants égyptiens ont scandé des slogans hostiles aux Etats-Unis, au régime sioniste et à la Grande-Bretagne lors des rassemblements de ces deux derniers jours, les mettant en garde contre toute ingérence dans les affaires intérieures de l'Egypte.
Les manifestants exigeant le départ du président égyptien Hosni Moubarak restaient fortement mobilisés jeudi place Tahrir au Caire, malgré la menace du pouvoir de faire intervenir l'armée en cas de "chaos".
Dès le petit matin, les protestataires scandaient "Le peuple veut faire tomber le régime", leitmotiv de la contestation sans précédent contre M. Moubarak, au pouvoir depuis près de 30 ans.
De nouvelles tentes ont été installées sur cette place située au centre du Caire, devenue le symbole du soulèvement déclenché le 25 janvier et occupée jour et nuit depuis le 28 janvier par les manifestants.
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