La DCA israélienne toute nue sous les missiles iraniens
L’aspect le plus important du survol d’Israël par l’avion sans pilote du Hezbollah n’a pas encore été abordé par la presse.
Je suppose, comme cela a été écrit, que ce drone a renvoyé au Liban des photographies de géolocalisation de cibles potentielles.
Le drone était de fabrication iranienne ; il a été offert aux patriotes libanais du Hezbollah. On peut supposer qu’en retour, ces informations de géolocalisation ont été « offertes » par les Libanais à leur allié iranien.
En cas de conflit direct entre l’Iran et Israël, ces images seront utilisée pour mieux régler les missiles volant vers la Palestine occupée.
Mais les autorités israéliennes ont proclamé leur supériorité technologique pour intercepter les missiles, qu’ils viennent de Gaza, du Liban ou d’Iran : le dôme de fer.
Or ce survol du territoire de l’entité israélienne laisse fortement supposer que les fréquences et les algorithmes des radars de veilles ont été enregistrés et expédiés par le drone irano-libanais vers ses propriétaires.
Il en va de même pour la signature des radars de poursuite et enfin pour les radars de tir des avions.
Le récit des autorités laisse penser que dans un premier temps, ils n’ont pas mis en marche les radars de tir des F16. Mais dans ce cas, l’avion s’est révélé incapable d’abattre l’aéronef sans pilote. Il a donc fallu qu’un autre avion abatte le drone, certainement en faisant fonctionner son radar de tir.
Le drone a été abattu ; il aura eu le temps d’enregistrer et d’expédier les signature des différents radars : la couverture radar d’Israël – fréquences et algorithmes est en possession des Iraniens !
Les Israéliens le savent ; il se taisent et travaillent à renouveler leur défense antiaérienne : un gros boulot… très couteux.
Faut-il préciser que ce résultat de nature stratégique a été obtenu par les iraniens pour un faible coût de l’ordre de quelques dizaines de milliers d’euros !
Il est probable que dans l’avenir de tels tests de la défense antiaérienne israélienne vont se renouveler avec un intervalle allant de six mois à un an pour renouveler leur bibliothèque des signaux radar israéliens.
Si Israël fait le mort pour sauvegarder la signature de ses radars, il devra se découvrir et laisser photographier ses bases – les vraies et les factices qui seront fabriquées. Cela entraîne quand même un grand risque pour la sécurité de l’État annexionniste d’Israël.
Si les généraux israéliens vont trouver cela insupportable, ils vont déclencher les radars de veille, peut-être les radars de poursuite et, s’ils sont bien énerver, tenter d’abattre les drones à la mitrailleuse : difficile, surtout si celui-ci survole des zones habitées et surtout s’il contient des charges explosives : il peut transporter une charge de 40 kilogrammes ; c’est le poids d’un missile dont le départ peut être programmé au moment de vibrations excessives…
Bref, l’armée israélienne a encore besoin de beaucoup de travail et de beaucoup d’argent pour convaincre de sa supériorité : ce qui compte finalement, ce n’est pas le niveau technologique seul, mais surtout l’efficience des moyens et ensuite le nombre et le moral des combattants – c’est une constante universelle de la stratégie.
Le Hezbollah, grâce à son allié iranien a trouvé là un moyen très intelligent de mener une guerre asymétrique contre l'occupant d'une partie du Liban et de la Plestine.
Le drone était de fabrication iranienne ; il a été offert aux patriotes libanais du Hezbollah. On peut supposer qu’en retour, ces informations de géolocalisation ont été « offertes » par les Libanais à leur allié iranien.
En cas de conflit direct entre l’Iran et Israël, ces images seront utilisée pour mieux régler les missiles volant vers la Palestine occupée.
Mais les autorités israéliennes ont proclamé leur supériorité technologique pour intercepter les missiles, qu’ils viennent de Gaza, du Liban ou d’Iran : le dôme de fer.
Or ce survol du territoire de l’entité israélienne laisse fortement supposer que les fréquences et les algorithmes des radars de veilles ont été enregistrés et expédiés par le drone irano-libanais vers ses propriétaires.
Il en va de même pour la signature des radars de poursuite et enfin pour les radars de tir des avions.
Le récit des autorités laisse penser que dans un premier temps, ils n’ont pas mis en marche les radars de tir des F16. Mais dans ce cas, l’avion s’est révélé incapable d’abattre l’aéronef sans pilote. Il a donc fallu qu’un autre avion abatte le drone, certainement en faisant fonctionner son radar de tir.
Le drone a été abattu ; il aura eu le temps d’enregistrer et d’expédier les signature des différents radars : la couverture radar d’Israël – fréquences et algorithmes est en possession des Iraniens !
Les Israéliens le savent ; il se taisent et travaillent à renouveler leur défense antiaérienne : un gros boulot… très couteux.
Faut-il préciser que ce résultat de nature stratégique a été obtenu par les iraniens pour un faible coût de l’ordre de quelques dizaines de milliers d’euros !
Il est probable que dans l’avenir de tels tests de la défense antiaérienne israélienne vont se renouveler avec un intervalle allant de six mois à un an pour renouveler leur bibliothèque des signaux radar israéliens.
Si Israël fait le mort pour sauvegarder la signature de ses radars, il devra se découvrir et laisser photographier ses bases – les vraies et les factices qui seront fabriquées. Cela entraîne quand même un grand risque pour la sécurité de l’État annexionniste d’Israël.
Si les généraux israéliens vont trouver cela insupportable, ils vont déclencher les radars de veille, peut-être les radars de poursuite et, s’ils sont bien énerver, tenter d’abattre les drones à la mitrailleuse : difficile, surtout si celui-ci survole des zones habitées et surtout s’il contient des charges explosives : il peut transporter une charge de 40 kilogrammes ; c’est le poids d’un missile dont le départ peut être programmé au moment de vibrations excessives…
Bref, l’armée israélienne a encore besoin de beaucoup de travail et de beaucoup d’argent pour convaincre de sa supériorité : ce qui compte finalement, ce n’est pas le niveau technologique seul, mais surtout l’efficience des moyens et ensuite le nombre et le moral des combattants – c’est une constante universelle de la stratégie.
Le Hezbollah, grâce à son allié iranien a trouvé là un moyen très intelligent de mener une guerre asymétrique contre l'occupant d'une partie du Liban et de la Plestine.
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