La guerre d’intérêt s’intensifie pour le partage de la Libye
Paris et Londres tentent, sous le couvert de l’Otan, de finir la guerre en Libye dans les plus brefs délais et d’aller vers la phase de division de la Libye et exploiter les butins de guerre selon les objectifs non avoués de cette guerre qui s’inscrit parmi les guerres de quatrième génération.
La guerre déclenchée par la France et la Grande Bretagne sous le couvert de l’Otan correspond à biens des égards à ce qui est connu en stratégie américaine comme la guerre de quatrième génération développés par les cercles du Pentagone avec l’aide de William Linde au début des années 90 et qui se base sur une guerre médiatique, de propagande, psychologique , la supériorité technologique pour démoraliser l’ennemi, légitimer la guerre et éviter une intervention militaire directe mais de manière limitée afin d’éviter des pertes au sol, discréditer l’ennemi et donner une légitimité à la guerre. La guerre en Libye a débuté comme une guerre de propagande médiatique, avec une surestimation sans précédent de la force militaire libyenne qui allait commettre des massacres dans les régions Est, des milliers de morts et des viols, détourner de l’argent et de l’or, afin de concevoir la stratégie d’une nouvelle guerre sur la base d’objectifs inavoués, et qui a été préparé comme l’a reconnu le général américain Wesley Clark depuis plus de dix ans, en apportant des modifications afin de préparer l’opinion publique dans les pays occidentaux et légitimer la guerre, en ayant la couverture de la légitimité internationale et adapter les résolutions 1970 et 1973 émanant du conseil de sécurité afin d’entamer la guerre sous le slogan de la protection des civils libyens. Même si les résolutions assurent qu’ « imposer un zone d’exclusion aérienne sur le trafic aérien militaire libyen est une mesure préventive pour garantir la sécurité du peuple libyen et apporter des aides humanitaires d’urgence », la mission de l’Otan a dépassé cela en frappant des cibles civiles et par une intervention militaire directe, la guerre a également été adaptée à la nouvelle fonction de la guerre de l’Otan qui a pu outrepasser l’article 5 en intervenant militairement hors des frontières et de la portée des pays membres, doctrines qui s’est développé depuis 1999 dans le domaine de l’administration des guerres et des conflits. La guerre n’aurait pas pu avoir lieu sans les objectifs militaires et stratégiques qu’ont veut réaliser sur le court et le moyen terme. La France et la Grande Bretagne ont commencé par exploiter cette guerre à des fins électorales, surtout que Sarkozy est sur le point d’affronter des défis politiques à un moment ou sa cote de popularité est à son plus bas niveau. La guerre qui a commencé le 19 mars a également des dimensions personnelles, à l’instar de ce qui était arrivé entre Bush et le président irakien Saddam Hussein, puisque Sarkozy avait pour but de régler ses comptes avec Kadhafi et ses fils. Il y a aussi les considérations stratégiques, au vu de la position stratégique de la Libye qui permettra à la France d’avoir un pied dans la région du sahel et de l’Afrique et lui garantira le soutien des pays du sahel dans sa nouvelle politique en Afrique et d’écarter un adversaire qu’elle jugeait être un frein à l’instauration de ces politiques en Afrique. La guerre en Libye signifie obtenir des marchés de milliards de dollars dans la phase d’après guerre.
La guerre déclenchée par la France et la Grande Bretagne sous le couvert de l’Otan correspond à biens des égards à ce qui est connu en stratégie américaine comme la guerre de quatrième génération développés par les cercles du Pentagone avec l’aide de William Linde au début des années 90 et qui se base sur une guerre médiatique, de propagande, psychologique , la supériorité technologique pour démoraliser l’ennemi, légitimer la guerre et éviter une intervention militaire directe mais de manière limitée afin d’éviter des pertes au sol, discréditer l’ennemi et donner une légitimité à la guerre. La guerre en Libye a débuté comme une guerre de propagande médiatique, avec une surestimation sans précédent de la force militaire libyenne qui allait commettre des massacres dans les régions Est, des milliers de morts et des viols, détourner de l’argent et de l’or, afin de concevoir la stratégie d’une nouvelle guerre sur la base d’objectifs inavoués, et qui a été préparé comme l’a reconnu le général américain Wesley Clark depuis plus de dix ans, en apportant des modifications afin de préparer l’opinion publique dans les pays occidentaux et légitimer la guerre, en ayant la couverture de la légitimité internationale et adapter les résolutions 1970 et 1973 émanant du conseil de sécurité afin d’entamer la guerre sous le slogan de la protection des civils libyens. Même si les résolutions assurent qu’ « imposer un zone d’exclusion aérienne sur le trafic aérien militaire libyen est une mesure préventive pour garantir la sécurité du peuple libyen et apporter des aides humanitaires d’urgence », la mission de l’Otan a dépassé cela en frappant des cibles civiles et par une intervention militaire directe, la guerre a également été adaptée à la nouvelle fonction de la guerre de l’Otan qui a pu outrepasser l’article 5 en intervenant militairement hors des frontières et de la portée des pays membres, doctrines qui s’est développé depuis 1999 dans le domaine de l’administration des guerres et des conflits. La guerre n’aurait pas pu avoir lieu sans les objectifs militaires et stratégiques qu’ont veut réaliser sur le court et le moyen terme. La France et la Grande Bretagne ont commencé par exploiter cette guerre à des fins électorales, surtout que Sarkozy est sur le point d’affronter des défis politiques à un moment ou sa cote de popularité est à son plus bas niveau. La guerre qui a commencé le 19 mars a également des dimensions personnelles, à l’instar de ce qui était arrivé entre Bush et le président irakien Saddam Hussein, puisque Sarkozy avait pour but de régler ses comptes avec Kadhafi et ses fils. Il y a aussi les considérations stratégiques, au vu de la position stratégique de la Libye qui permettra à la France d’avoir un pied dans la région du sahel et de l’Afrique et lui garantira le soutien des pays du sahel dans sa nouvelle politique en Afrique et d’écarter un adversaire qu’elle jugeait être un frein à l’instauration de ces politiques en Afrique. La guerre en Libye signifie obtenir des marchés de milliards de dollars dans la phase d’après guerre.
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