LA MASCARADE : Au congrès de Paris, les opposants syriens sont des Sionistes!
Le congrès pour le soutien à l’opposition syrienne a achevé ses travaux, lundi soir, dans la capitale française, au quartier Saint-Germain.
Parmi les participants, figurent le philosophe sioniste, Bernard-Henry Lévy, l’ex-ministre français des Affaires étrangères, Bernard Kouchner, Frédéric Ansel, membre du mouvement des jeunes du Likoud (parti de droite israélien), ainsi que certaines personnalités de l’opposition syrienne.
Dans leur communiqué final, les opposants ont appelé au départ du régime syrien et à la fin des massacres dans le pays.
Plusieurs altercations ont éclaté entre les participants, alors que la faible participation syrienne était remarquable. A ce sujet, une femme marocaine a clamé que «ce congrès concerne la Syrie, mais je ne vois pas de Syriens ». Alors, deux personnes au premier rang ont levé le doigt et ont répondu : «Nous sommes Syriens».
Le représentant du front du salut, Ashraf Mokdad, a sollicité l’aide urgente des pays occidentaux «pour mettre fin aux massacres du régime syrien», défendant la participation de personnalités sionistes et racistes au congrès : «Nous sommes prêts à nous réunir avec qui que ce soit, pour arrêter l’effusion de sang, en Syrie. Le régime syrien avait mené des négociations directes et indirectes avec Israël. Qu’est-ce qui nous empêche, alors, de rencontrer des personnalités françaises qui veulent aider le peuple syrien ?».
De son côté, Frédéric Ansel a dit : «malheureusement certains arabes continuent de considérer le Sionisme comme une insulte, bien qu’il soit une source de fierté et d’honneur».
La plupart des intervenants se sont attaqués, avec virulence, à l’Iran et au Hezbollah. Certains ont condamné «le soutien de l’Iran et du Hezbollah, dans le meurtre des Syriens, à travers le transfert d’armes ou la participation de membres des Gardiens de la Révolution, dans la répression des manifestants syriens».
Par ailleurs, la participation de Bernard Lévy a provoqué un tollé, dans les rangs de l’opposition syrienne. «Le monde doit cesser d’être hésitant. Le Conseil de sécurité doit traduire le régime syrien au tribunal international», a-t-il lancé, dans son discours.
De son côté, Bernard Kouchner est allé jusqu’à se lamenter, pour l’incapacité de la communauté internationale à intervenir, militairement, en Syrie. «Nous sommes allés en Libye, et nous sentons une grande injustice de laisser les Syriens seuls», a-t-il prétendu, appelant les pays du «printemps arabe» à boycotter, diplomatiquent, la Syrie.
Devant le siège du congrès, des activistes de l’opposition et des partisans du régime syrien ont manifesté contre la tenue du congrès, alors que la police a séparé les deux camps, de peur que des affrontements n’éclatent.
Sachant que Lévy avait lancé, depuis quelques semaines, l’initiative «SOS Syrie» (au secours la Syrie), des personnalités membres de l’opposition syrienne l’ont, alors, conseillé d’épargner son soutien au peuple syrien.
De son côté, l’observateur général des "Frères musulmans", en Syrie, l’avocat Ali Sadredine elBayanouni, a dénoncé la participation de Moulhem Droubi, le représentant des "Frères musulmans" au congrès de Paris. «Il aurait été mieux que les "FM", ainsi que toute l’opposition ne prennent pas part au congrès», a-t-il estimé, dans un entretien au journal "Al-Qods al-Arabi".
Parmi les participants, figurent le philosophe sioniste, Bernard-Henry Lévy, l’ex-ministre français des Affaires étrangères, Bernard Kouchner, Frédéric Ansel, membre du mouvement des jeunes du Likoud (parti de droite israélien), ainsi que certaines personnalités de l’opposition syrienne.
Dans leur communiqué final, les opposants ont appelé au départ du régime syrien et à la fin des massacres dans le pays.
Plusieurs altercations ont éclaté entre les participants, alors que la faible participation syrienne était remarquable. A ce sujet, une femme marocaine a clamé que «ce congrès concerne la Syrie, mais je ne vois pas de Syriens ». Alors, deux personnes au premier rang ont levé le doigt et ont répondu : «Nous sommes Syriens».
Le représentant du front du salut, Ashraf Mokdad, a sollicité l’aide urgente des pays occidentaux «pour mettre fin aux massacres du régime syrien», défendant la participation de personnalités sionistes et racistes au congrès : «Nous sommes prêts à nous réunir avec qui que ce soit, pour arrêter l’effusion de sang, en Syrie. Le régime syrien avait mené des négociations directes et indirectes avec Israël. Qu’est-ce qui nous empêche, alors, de rencontrer des personnalités françaises qui veulent aider le peuple syrien ?».
De son côté, Frédéric Ansel a dit : «malheureusement certains arabes continuent de considérer le Sionisme comme une insulte, bien qu’il soit une source de fierté et d’honneur».
La plupart des intervenants se sont attaqués, avec virulence, à l’Iran et au Hezbollah. Certains ont condamné «le soutien de l’Iran et du Hezbollah, dans le meurtre des Syriens, à travers le transfert d’armes ou la participation de membres des Gardiens de la Révolution, dans la répression des manifestants syriens».
Par ailleurs, la participation de Bernard Lévy a provoqué un tollé, dans les rangs de l’opposition syrienne. «Le monde doit cesser d’être hésitant. Le Conseil de sécurité doit traduire le régime syrien au tribunal international», a-t-il lancé, dans son discours.
De son côté, Bernard Kouchner est allé jusqu’à se lamenter, pour l’incapacité de la communauté internationale à intervenir, militairement, en Syrie. «Nous sommes allés en Libye, et nous sentons une grande injustice de laisser les Syriens seuls», a-t-il prétendu, appelant les pays du «printemps arabe» à boycotter, diplomatiquent, la Syrie.
Devant le siège du congrès, des activistes de l’opposition et des partisans du régime syrien ont manifesté contre la tenue du congrès, alors que la police a séparé les deux camps, de peur que des affrontements n’éclatent.
Sachant que Lévy avait lancé, depuis quelques semaines, l’initiative «SOS Syrie» (au secours la Syrie), des personnalités membres de l’opposition syrienne l’ont, alors, conseillé d’épargner son soutien au peuple syrien.
De son côté, l’observateur général des "Frères musulmans", en Syrie, l’avocat Ali Sadredine elBayanouni, a dénoncé la participation de Moulhem Droubi, le représentant des "Frères musulmans" au congrès de Paris. «Il aurait été mieux que les "FM", ainsi que toute l’opposition ne prennent pas part au congrès», a-t-il estimé, dans un entretien au journal "Al-Qods al-Arabi".
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