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Alors que les rapports font part de la mort de 3 manifestants, tombés sous les balles des éléments de la sécurité bahreïnie, les forces militaires saoudiennes sont entrées en jeu, hier, lundi, le «jour de la colère», à Bahreïn, pour donner un coup de main au gouvernement et l’aider à réprimer les manifestations populaires.
Selon Al-Alam, citant le site Rased, des véhicules militaires de la garde nationale saoudienne sont entrées, hier lundi, dans Bahreïn, par le pont Malek Fahd. Simultanément à l’entrée des forces militaires saoudiennes, la police des frontières bahreïnie, installées sur le pont Fahd, faisaient retourner toute personne venant d’Arabie saoudite, que ce soit des étudiants, des fonctionnaires ou des bus bahreïnis transportant des pèlerins, en provenance de Médine, la sainte.