La Tunisie prête à abandonner l'extradition de Ben Ali en échange de l'asile en Tunisie de Bachar Al-Assad
La Tunisie est prête à "renoncer à réclamer l'extradition de Ben Ali en échange de l'octroi de l'asile en Tunisie à Bachar Al-Assad s'il accepte de quitter le pouvoir", a rapporté vendredi le site d'information tunisien "Tunisie Numérique", citant le président tunisien Moncef Marzouki.
M. Marzouki s'est intervenu, selon la même source, lors d'une interview avec la radio BBC, affirmant qu'il "sait bien qu'on ne va pas extrader le président déchu Ben Ali" d'autant plus que "sa position est motivée par sa révolte de voir chaque jour une centaine de Syriens mourir".
Cette initiative intervient à la suite de la réaction de la Russie à la proposition de M. Marzouki d'accueillir Al-Assad sur le sol russe. Des responsables russes lui ont répliqué que la Tunisie n'avait qu'à le faire elle-même, a encore indiqué "Tunisie Numérique".
Tout en renouvelant son attachement à une solution politiqué en Syrie, le président tunisien a affirmé "rejeter par principe toute intervention étrangère et militaire qui risquerait de conduire à une guerre civile" en Syrie. Il a par ailleurs déclaré "ne pas soutenir la proposition du Qatar consistant à former une coalition pour aider militairement les insurgés syriens", a encore rapporté "Tunisie Numérique".
M. Marzouki s'est intervenu, selon la même source, lors d'une interview avec la radio BBC, affirmant qu'il "sait bien qu'on ne va pas extrader le président déchu Ben Ali" d'autant plus que "sa position est motivée par sa révolte de voir chaque jour une centaine de Syriens mourir".
Cette initiative intervient à la suite de la réaction de la Russie à la proposition de M. Marzouki d'accueillir Al-Assad sur le sol russe. Des responsables russes lui ont répliqué que la Tunisie n'avait qu'à le faire elle-même, a encore indiqué "Tunisie Numérique".
Tout en renouvelant son attachement à une solution politiqué en Syrie, le président tunisien a affirmé "rejeter par principe toute intervention étrangère et militaire qui risquerait de conduire à une guerre civile" en Syrie. Il a par ailleurs déclaré "ne pas soutenir la proposition du Qatar consistant à former une coalition pour aider militairement les insurgés syriens", a encore rapporté "Tunisie Numérique".
A découvrir aussi
- "Israël" appréhende le déploiement d'un système antiaérien au Liban
- SARKO VRP DU DIMANCHE : Sauvetage de la Grèce : l’optimisme de jeudi dernier n’a pas duré
- Grèce : boycott des productions allemandes et Hollandaises
Retour aux articles de la catégorie ET DANS LE MONDE QUE CE PASSE-T-IL -
⨯
Inscrivez-vous au blog
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 51 autres membres