L’armée israélienne vise délibérément des photojournalistes (RSF)
L'organisation Reporters sans frontières (RSF) a accusé mardi l'armée sioniste de viser délibérément les photojournalistes lors des manifestations organisées en Cisjordanie contre le mur de séparation et la colonisation sauvage.
RSF dénonce l'"impunité la plus totale" dont jouissent les soldats de l'armée "responsables de ces exactions", ajoute le texte.
A l'appui de ses accusations, RSF cite des heurts le 10 février à Nabi Saleh, près de Ramallah, lors desquels "deux journalistes palestiniens ont été blessés par des tirs de grenades de gaz lacrymogènes et de balles en caoutchouc par l'armée israélienne".
D'après des témoignages recueillis sur place, "les soldats auraient délibérément tiré des grenades de gaz lacrymogènes et ouvert le feu avec des balles en caoutchouc en direction des journalistes, après leur avoir interdit de se déplacer librement" dans les zones où de jeunes Palestiniens et l'armée s'affrontaient, poursuit le communiqué.
Et l'ONG de réitérer sa demande à l'armée d'"ouvrir des enquêtes indépendantes et impartiales sur chacun des incidents afin d'en sanctionner les responsables".
Côté sioniste, un porte-parole de l'armée, le capitaine Aryeh Shalikar, a qualifié ces accusations de "ridicules".
Le village de Nabi Saleh est le théâtre de manifestations hebdomadaires depuis la fin 2009 contre l'extension de la colonie sioniste voisine, Halamish.
RSF mentionne des incidents similaires récents visant des journalistes palestiniens et étrangers notamment à Kafr Qadoum, dans le nord de la Cisjordanie, et à Bilin, autre village emblématique où sont organisées des manifestations hebdomadaires contre le mur sioniste.
RSF dénonce l'"impunité la plus totale" dont jouissent les soldats de l'armée "responsables de ces exactions", ajoute le texte.
A l'appui de ses accusations, RSF cite des heurts le 10 février à Nabi Saleh, près de Ramallah, lors desquels "deux journalistes palestiniens ont été blessés par des tirs de grenades de gaz lacrymogènes et de balles en caoutchouc par l'armée israélienne".
D'après des témoignages recueillis sur place, "les soldats auraient délibérément tiré des grenades de gaz lacrymogènes et ouvert le feu avec des balles en caoutchouc en direction des journalistes, après leur avoir interdit de se déplacer librement" dans les zones où de jeunes Palestiniens et l'armée s'affrontaient, poursuit le communiqué.
Et l'ONG de réitérer sa demande à l'armée d'"ouvrir des enquêtes indépendantes et impartiales sur chacun des incidents afin d'en sanctionner les responsables".
Côté sioniste, un porte-parole de l'armée, le capitaine Aryeh Shalikar, a qualifié ces accusations de "ridicules".
Le village de Nabi Saleh est le théâtre de manifestations hebdomadaires depuis la fin 2009 contre l'extension de la colonie sioniste voisine, Halamish.
RSF mentionne des incidents similaires récents visant des journalistes palestiniens et étrangers notamment à Kafr Qadoum, dans le nord de la Cisjordanie, et à Bilin, autre village emblématique où sont organisées des manifestations hebdomadaires contre le mur sioniste.
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