Trois Israéliens ont péri dans le séisme qui a tué 181 personnes. D’autres Israéliens ont survécu au séisme.
Le groupe de presse Fairfax, qui n’a pas cité ses sources, indique qu’un des israéliens décédés était en possession d’au moins cinq passeports.
Selon Fairfax, le premier ministre Néozélandais John Key a reçu quatre appels téléphoniques du premier ministre Israélien Benjamin Netanyahou après le séisme, et qu’une équipe de secours israélienne non accréditée qui effectuait des recherches dans une zone balisée avait été interpellée par des policiers Néozélandais.
Key, qui séjourne en ce moment en Californie, a déclaré mercredi à la presse qu’il n’était pas dans l’intérêt national de commenter cette information.
La réaction de John Key a fortement déplu, c’est le moins qu’on puisse dire, au groupe de presse Fairfax qui le somme de donner toutes les explications utiles, d’autant que le chef du gouvernement n’a pas démenti les quatre appels de Benjamin Netanyahou. Il explique par contre que tous n’ont pas a abouti jusqu’à lui. Ce qui n’empêche pas Fairfax de se demander pourquoi cet acharnement de Netanyahou à joindre un premier ministre Néozélandais dont il doit quand même savoir qu’il a d’autres chats à fouetter, avec cette catastrophe naturelle qui vient de frapper son pays…
Une affaire qui reste gravée dans l’esprit de la presse néozélandaise mais aussi des fonctionnaires soucieux de la sécurité de leur pays. Et le premier ministre a quand même dû s’expliquer. Une explication que le Dominion Post ‘n’a pu s’empêcher de trouver courte dans un article qui montre à quel point les agissements sionistes peuvent être perçus comme une menace pour la sécurité nationale.
Si j’étais mauvaise langue, je dirais que Netanyahou sait que John Key est un de ces politicards sur lesquels le régime sioniste peut compter. N’est-ce pas lui qui a définitivement passé l’éponge sur l’affaire de ces agents du Mossad qui avaient essayé de se faire établir de vrais passeports néozélandais en revêtant l’identité de personnes âgées peu susceptibles d’avoir l’idée de voyager à l’étranger ?
John Key pouvait bien faire ça pour l’entité sioniste lui qui s’était dés le début de son mandat déclaré désireux de tisser des liens étroits avec l’entité sioniste. Il y a sans doute des raisons objectives à ce souhait mais que pèsent-elles à côté de ce qu’il appelle
ses « liens historiques » au judaïsme et à Israël. «J’ai une mère juive et grand-mère qui vivait en Israël depuis quelque temps et j’ai des parents là-bas, que je n’ai pas vu depuis ma propre enfance.
Bien sûr, Key ne se considère pas vraiment religieux, à la différence de la majorité des Néozélandais, ce qui ne l’empêche pas de fréquenter la synagogue de temps à autre.
On comprend mieux ce qu’a été la conclusion de l’enquête d’après lui !