Le traité de Camp David n'a plus lieu d'être!
Ce rapport rédigé par la nouvelle direction égyptienne montre plusieurs choses : les stratagèmes, les crimes et exactions terroristes israéliens dans les régions égyptiennes occupées ; qu’Israël ne respecte pas les clauses des traités qu’il signe ; que les régimes mis en place s’évertuent à lui épargner ce qu’il se doit payer, en échange de se remplir les poches sans être inquiétés. L’Égypte a présenté aux Nations Unies une requête exigeant des indemnisations de la part de l’entité sioniste, s’élevant a près de 500 milliards de dollars pour avoir corrompu tous les moyens d’existence et de progrès dans la péninsule du Sinaï et dans d’autres régions égyptiennes.
Dans un rapport de 750 pages, comportant en annexe 190 cartes géographiques, le régime déchu de Hosni Moubarak est accusé d’avoir volontairement négligé le recours à la huitième clause du traité de paix conclu entre Israël et l’Égypte en mars 1979, pour réclamer ces indemnisations. « Les deux parties se doivent de se mettre d’accord pour créer un comité de revendications et élaborer un compromis bilatéral sur toutes les revendications matérielles », est stipulée dans cette clause.
Les régions concernées en plus du Sinaï qui occupe 6% de la superficie de l’Égypte, sont les villes de Suez, Ismailiyya, Port Saïd, et le delta du Nil. La période concernée est celle de guerres israéliennes contre l’Égypte.
En mer
Le rapport présenté par le nouveau gouvernement égyptien explique que durant la période allant de 1967 et 1982 Israël a interdit d’exploiter les ressources en poissons du littoral de la péninsule du Sinaï avec la Méditerranée, la Mer rouge, le Golf de Suez, lequel constitue 30% de la superficie de l’ensemble des littoraux égyptiens.
Israël a également détruit les récifs coralliens égyptiens, soustrait 40% de la vie maritime et a profité de la production pétrolière extraite du Sinaï au service de la guerre, de l’industrie et de l’économie égyptienne.
Sur terre
Israël a aussi vidé le Sinaï de toute vie terrestre s’emparant des différentes races animales, dont les gazelles, les caribous, voire même les serpents venimeux utilisés dans l’industrie pharmaceutique et dont la production était exportée en Europe. L’entité sioniste a également tué les loups et les renards de ces régions pour prendre leur fourrure.
Elle a exploité le Sinaï pour l’agriculture aussi, y cultivant les fleurs exportées pour des millions de dollars par an. Les bénéfices qu’elle a réalisés durant son occupation de cette région s’élève à près de 2 milliards de dollars. Elle a aussi effectué des recherches dangereuses sur l’agriculture des régions désertiques du Sinaï, et qui ont durablement endommagé la qualité des terres agricoles devenues non aptes à la culture.
Mêmes les pierres détournées
Dans le domaine industriel, le rapport signale qu’Israël a détourné le quart des ressources du Sinaï en roches précieuses et en marbre, dans des opérations de transport sans précédent. Il a vidé de son contenu la mine d’or dans laquelle il ne reste plus que des vestiges rocheux sans valeur.
Il a aussi volé des millions de tonnes de sable utilisable en industrie et en commerce, surtout en verrerie, et a vendu durant les années de l’occupation des rochers et des pierres industrielles dont le cout s’élève de nos jours à 49 milliards de dollars.
Navigation entravée
Le rapport prouve que l’entité sioniste a affecté la navigation maritime internationale au canal de Suez à partir du 5 juin 1967, et jusqu’au 5 juin 1975, date à laquelle le président égyptien Anouar Sadate l’a rouvert de nouveau. Ce qui a privé l’Égypte d’entrées estimées à des centaines de millions de dollars.
250 mille tués, un million de blessés
Durant l’ensemble de ses guerre contre l’Égypte, Israël a tué pas moins de 250 milles Égyptiens, militaires et civils, et blessé près d’un million d’autres parmi les habitants du Sinaï, du canal et du delta, régions impliquées dans les guerres.
Le rapport égyptien évoque plusieurs massacres perpétrés de sang-froid et dans lesquels 15 mille civils et militaires ont péri.
Banques cambriolées
Il y est également question du cambriolage de toutes les branches des banques qui se trouvaient dans la bande de Gaza avant le 5 juin 1967, dont la Banque populaire égyptienne-branche Gaza, la banque d’agriculture dont la totalité des dépôts ont été dépouillés et distribués aux commandants de l’armée israélienne dans l’un des plus grand hold-up militaires de l’histoire moderne. Tout au long de son règne, Moubarak n’a même pas réclamé la couverture en or et en comptes de ses banques.
Et les vestiges archéologiques aussi
De plus, Israël s’est emparé des contenus de tous les musées égyptiens du Sinaï et d’aucuns du canal. Il a extrait en catimini des milliers de pièces archéologiques, laissant derrière lui des sites délabrés. Cette affaire devant être traduite devant l’Unesco, au cas où le rapport est soumis à la discussion.
Avions militaires et civils pris pour cible
Israël a aussi détruit les forces aériennes égyptiennes en 1967, sans avoir été agressé, pour le seul prétexte que les déclarations enflammées d’Abdel Nasser (ex-dirigeant emblématique égyptien) l’avaient inquiété.
Dans le rapport, des compensations sont exigées pour le bombardement d’un Boeing 727 de la « Libyan Airlines » par les forces aériennes israéliennes. Durant le vol 114 entre le Caire et Tripoli le 21 février 1973, révèle le rapport pour la première fois, les radars israéliens ont brouillé les appareils civils égyptiens, en pleine tempête de sable, ce qui a dévié le parcours de l’appareil, par-dessus du Sinaï, ou des avions de combat israéliens de type F4 Fantômes l’ont pilonné, tuant à son bord 113 civils dont la présentatrice égyptienne célèbre Salwa Hijazi et le ministre libyen des affaires étrangères Saleh Bouysser.
Dans cette affaire, la France semble soutenir la requête égyptienne, surtout que l’équipage de l’avion libyen était français. Seuls, l’assistant du pilote, un libyen, et quatre passagers ont survécu à ce bombardement.
L’attentat a été répertorié par le chef d’état-major israélien qui était alors David Ben Eliezer. De plus, il existe un témoignage de la part de l’organisme de l’aviation civile fédérale internationale.
Eaux détournées
Le rapport accuse Israël d’avoir asséché 30% des puits d’eau douce au Sinaï pour inciter les habitants à évacuer certaines agglomérations. L’entité sioniste a aussi construit un réseau de canalisations souterraines très profondes permettant de voler les eaux souterraines. Sachant qu’Israël dépend toujours de ces sources hydrauliques pour 30% de ses besoins.
Tourisme pour 100 millions
De plus, l’Égypte réclame 100 milliards de dollars au motif qu’Israël a exploité Charm Cheikh sur le plan touristique, et celui de la navigation civile et commerciale entre les états arabes et l’Égypte.
Carte des mines non livrée
Le rapport consacre un chapitre au minage des terres égyptiennes, indiquant qu’Israël a miné 2% de la superficie de la péninsule du Sinaï et que l’Égypte n’a toujours pas reçu la carte de leur distribution, comme le dicte le traité de paix. Sachant que des dizaines de personnes ont péri en raison de ces charges explosives.
Le rapport a été envoyé par l’organisation onusienne aux Etats-Unis pour obtenir leur feu vert afin de le discuter.
Dans un rapport de 750 pages, comportant en annexe 190 cartes géographiques, le régime déchu de Hosni Moubarak est accusé d’avoir volontairement négligé le recours à la huitième clause du traité de paix conclu entre Israël et l’Égypte en mars 1979, pour réclamer ces indemnisations. « Les deux parties se doivent de se mettre d’accord pour créer un comité de revendications et élaborer un compromis bilatéral sur toutes les revendications matérielles », est stipulée dans cette clause.
Les régions concernées en plus du Sinaï qui occupe 6% de la superficie de l’Égypte, sont les villes de Suez, Ismailiyya, Port Saïd, et le delta du Nil. La période concernée est celle de guerres israéliennes contre l’Égypte.
En mer
Le rapport présenté par le nouveau gouvernement égyptien explique que durant la période allant de 1967 et 1982 Israël a interdit d’exploiter les ressources en poissons du littoral de la péninsule du Sinaï avec la Méditerranée, la Mer rouge, le Golf de Suez, lequel constitue 30% de la superficie de l’ensemble des littoraux égyptiens.
Israël a également détruit les récifs coralliens égyptiens, soustrait 40% de la vie maritime et a profité de la production pétrolière extraite du Sinaï au service de la guerre, de l’industrie et de l’économie égyptienne.
Sur terre
Israël a aussi vidé le Sinaï de toute vie terrestre s’emparant des différentes races animales, dont les gazelles, les caribous, voire même les serpents venimeux utilisés dans l’industrie pharmaceutique et dont la production était exportée en Europe. L’entité sioniste a également tué les loups et les renards de ces régions pour prendre leur fourrure.
Elle a exploité le Sinaï pour l’agriculture aussi, y cultivant les fleurs exportées pour des millions de dollars par an. Les bénéfices qu’elle a réalisés durant son occupation de cette région s’élève à près de 2 milliards de dollars. Elle a aussi effectué des recherches dangereuses sur l’agriculture des régions désertiques du Sinaï, et qui ont durablement endommagé la qualité des terres agricoles devenues non aptes à la culture.
Mêmes les pierres détournées
Dans le domaine industriel, le rapport signale qu’Israël a détourné le quart des ressources du Sinaï en roches précieuses et en marbre, dans des opérations de transport sans précédent. Il a vidé de son contenu la mine d’or dans laquelle il ne reste plus que des vestiges rocheux sans valeur.
Il a aussi volé des millions de tonnes de sable utilisable en industrie et en commerce, surtout en verrerie, et a vendu durant les années de l’occupation des rochers et des pierres industrielles dont le cout s’élève de nos jours à 49 milliards de dollars.
Navigation entravée
Le rapport prouve que l’entité sioniste a affecté la navigation maritime internationale au canal de Suez à partir du 5 juin 1967, et jusqu’au 5 juin 1975, date à laquelle le président égyptien Anouar Sadate l’a rouvert de nouveau. Ce qui a privé l’Égypte d’entrées estimées à des centaines de millions de dollars.
250 mille tués, un million de blessés
Durant l’ensemble de ses guerre contre l’Égypte, Israël a tué pas moins de 250 milles Égyptiens, militaires et civils, et blessé près d’un million d’autres parmi les habitants du Sinaï, du canal et du delta, régions impliquées dans les guerres.
Le rapport égyptien évoque plusieurs massacres perpétrés de sang-froid et dans lesquels 15 mille civils et militaires ont péri.
Banques cambriolées
Il y est également question du cambriolage de toutes les branches des banques qui se trouvaient dans la bande de Gaza avant le 5 juin 1967, dont la Banque populaire égyptienne-branche Gaza, la banque d’agriculture dont la totalité des dépôts ont été dépouillés et distribués aux commandants de l’armée israélienne dans l’un des plus grand hold-up militaires de l’histoire moderne. Tout au long de son règne, Moubarak n’a même pas réclamé la couverture en or et en comptes de ses banques.
Et les vestiges archéologiques aussi
De plus, Israël s’est emparé des contenus de tous les musées égyptiens du Sinaï et d’aucuns du canal. Il a extrait en catimini des milliers de pièces archéologiques, laissant derrière lui des sites délabrés. Cette affaire devant être traduite devant l’Unesco, au cas où le rapport est soumis à la discussion.
Avions militaires et civils pris pour cible
Israël a aussi détruit les forces aériennes égyptiennes en 1967, sans avoir été agressé, pour le seul prétexte que les déclarations enflammées d’Abdel Nasser (ex-dirigeant emblématique égyptien) l’avaient inquiété.
Dans le rapport, des compensations sont exigées pour le bombardement d’un Boeing 727 de la « Libyan Airlines » par les forces aériennes israéliennes. Durant le vol 114 entre le Caire et Tripoli le 21 février 1973, révèle le rapport pour la première fois, les radars israéliens ont brouillé les appareils civils égyptiens, en pleine tempête de sable, ce qui a dévié le parcours de l’appareil, par-dessus du Sinaï, ou des avions de combat israéliens de type F4 Fantômes l’ont pilonné, tuant à son bord 113 civils dont la présentatrice égyptienne célèbre Salwa Hijazi et le ministre libyen des affaires étrangères Saleh Bouysser.
Dans cette affaire, la France semble soutenir la requête égyptienne, surtout que l’équipage de l’avion libyen était français. Seuls, l’assistant du pilote, un libyen, et quatre passagers ont survécu à ce bombardement.
L’attentat a été répertorié par le chef d’état-major israélien qui était alors David Ben Eliezer. De plus, il existe un témoignage de la part de l’organisme de l’aviation civile fédérale internationale.
Eaux détournées
Le rapport accuse Israël d’avoir asséché 30% des puits d’eau douce au Sinaï pour inciter les habitants à évacuer certaines agglomérations. L’entité sioniste a aussi construit un réseau de canalisations souterraines très profondes permettant de voler les eaux souterraines. Sachant qu’Israël dépend toujours de ces sources hydrauliques pour 30% de ses besoins.
Tourisme pour 100 millions
De plus, l’Égypte réclame 100 milliards de dollars au motif qu’Israël a exploité Charm Cheikh sur le plan touristique, et celui de la navigation civile et commerciale entre les états arabes et l’Égypte.
Carte des mines non livrée
Le rapport consacre un chapitre au minage des terres égyptiennes, indiquant qu’Israël a miné 2% de la superficie de la péninsule du Sinaï et que l’Égypte n’a toujours pas reçu la carte de leur distribution, comme le dicte le traité de paix. Sachant que des dizaines de personnes ont péri en raison de ces charges explosives.
Le rapport a été envoyé par l’organisation onusienne aux Etats-Unis pour obtenir leur feu vert afin de le discuter.
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