Les marchands de guerre, maîtres des finances américaines
Les États-Unis pourraient avoir perdu jusqu’à 60 milliards de dollars, dans la fraude et le gaspillage, en Irak et en Afghanistan, au cours de la dernière décennie, affirme un comité indépendant, qui enquête sur les dépenses de guerre américaines. Dans son rapport final, présenté, au Congrès, la Commission sur les contrats, en temps de guerre, affirme qu’une bonne partie du gaspillage et de la fraude aurait pu être évitée par une meilleure planification et une surveillance plus étroite des projets confiés à des sous-traitants. Il s’agit de l’examen le plus approfondi, jusqu’à maintenant, de la dépendance des États-Unis envers les sous-traitants et de la capacité du gouvernement à les gérer, dans les zones de combat. Ce, alors que ces deux guerres ont imposé plus de mille milliards de frais aux contribuables américains, sans que les Etats-Unis atteignent ses objectifs.
La structure politique et le système de prise de décision, aux Etats-Unis, sont, indubitablement, liés aux marchands de guerre. Cette expression de "Marchands de guerre" est appliquée à un groupe de compagnies privées qui sont dans la fabrication des armes ou dans la prestation de services militaro-sécuritaires et qui nregistrent des bénéfices colossaux, en temps de guerre. Certaines des plus grandes compagnies américaines, comme "Lockheed" et "Boeing" figurent parmi les plus gros actionnaires de la guerre. Ces entreprises concluent, annuellement, des contrats de dizaines de milliards de dollars avec le Pentagone, pour ajouter les armes les plus sophistiquées aux arsenaux américains ou les vendre aux belligérants. Les chefs de ces entreprises sont, la plupart du temps, désignés par les différentes Administrations américaines à des postes-clé, dans la défense ou la diplomatie, et lorsqu'ils sont au poste, de gros contrats d'armes sont conclus avec ces compagnies. Il y a 40 ans, Dwight D. Eisenhower, le président de l'époque, et lui-même un général de l'armée, avait, lors de son départ, mis en garde contre la domination des entreprises militaro-industrielles sur la vie socio-politique américaine. Mais l'influence de ces dernières n'a, non seulement, cessé de grandir, mais avec la privatisation militaire, aux USA, les actionnaires de la guerre sont devenus les principaux décideurs du pays. Il n'est, donc, pas inattendu qu'on assiste à la perte de 60 milliards de dollars, durant les guerres, afghane et irakienne. On peut même prévoir que l'étendue de cette perte soit beaucoup plus grande que ça. L'industrie de fabrication d'armes, aux Etats-Unis, est l'un des secteurs les plus riches, alors que, ces temps-ci, les Américains passent une vie traversée de graves crises économiques. Les actionnaires de la guerre font des gains, au prix du sang humain. L'entrée de la guerre des Etats-Unis se fait sous un petit prétexte, mais la sortie de guerre se fait attendre pendant des années, car la fin de toute guerre est la fin de gains pharamineux.
La structure politique et le système de prise de décision, aux Etats-Unis, sont, indubitablement, liés aux marchands de guerre. Cette expression de "Marchands de guerre" est appliquée à un groupe de compagnies privées qui sont dans la fabrication des armes ou dans la prestation de services militaro-sécuritaires et qui nregistrent des bénéfices colossaux, en temps de guerre. Certaines des plus grandes compagnies américaines, comme "Lockheed" et "Boeing" figurent parmi les plus gros actionnaires de la guerre. Ces entreprises concluent, annuellement, des contrats de dizaines de milliards de dollars avec le Pentagone, pour ajouter les armes les plus sophistiquées aux arsenaux américains ou les vendre aux belligérants. Les chefs de ces entreprises sont, la plupart du temps, désignés par les différentes Administrations américaines à des postes-clé, dans la défense ou la diplomatie, et lorsqu'ils sont au poste, de gros contrats d'armes sont conclus avec ces compagnies. Il y a 40 ans, Dwight D. Eisenhower, le président de l'époque, et lui-même un général de l'armée, avait, lors de son départ, mis en garde contre la domination des entreprises militaro-industrielles sur la vie socio-politique américaine. Mais l'influence de ces dernières n'a, non seulement, cessé de grandir, mais avec la privatisation militaire, aux USA, les actionnaires de la guerre sont devenus les principaux décideurs du pays. Il n'est, donc, pas inattendu qu'on assiste à la perte de 60 milliards de dollars, durant les guerres, afghane et irakienne. On peut même prévoir que l'étendue de cette perte soit beaucoup plus grande que ça. L'industrie de fabrication d'armes, aux Etats-Unis, est l'un des secteurs les plus riches, alors que, ces temps-ci, les Américains passent une vie traversée de graves crises économiques. Les actionnaires de la guerre font des gains, au prix du sang humain. L'entrée de la guerre des Etats-Unis se fait sous un petit prétexte, mais la sortie de guerre se fait attendre pendant des années, car la fin de toute guerre est la fin de gains pharamineux.
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