Les USA prêts à payer davantage pour rester à Manas
Les Etats-Unis sont prêts à payer davantage pour continuer à utiliser la base de Manas au Kirghizstan, stratégique pour la guerre contre l'Afghanistan, mais dans la limite d'un montant "raisonnable", c'est ce qu'a indiqué jeudi le secrétaire à la Guerre Robert Gates.
"Nous ne nous sommes pas résignés à ce que cela soit le dernier mot", a dit Gates à propos du vote jeudi de la fermeture de la base aérienne de Manas par le parlement kirghiz.
"Nous allons continuer à travailler au problème avec le gouvernement kirghiz", a ajouté Gates depuis Cracovie, où il devait participer à une réunion des ministres de la Guerre de l'Otan, ayant pour thème central les contributions des pays de l'Otan à l'effort de guerre contre l'Afghanistan.
La base de "Manas est importante, mais pas irremplaçable", a également affirmé Gates à Cracovie. Nous examinons des alternatives, et avons des
contacts avec plusieurs pays différents".
Les Etats-Unis paient 17,4 millions de dollars par an au Kirghizstan pour l'exploitation de la base.
Notons que la fermeture de ces installations pose un grave problème de ravitaillement des troupes de l'occupation internationale en Afghanistan, alors que
les Etats-Unis comptent renforcer leur offensive dans ce pays
"Nous ne nous sommes pas résignés à ce que cela soit le dernier mot", a dit Gates à propos du vote jeudi de la fermeture de la base aérienne de Manas par le parlement kirghiz.
"Nous allons continuer à travailler au problème avec le gouvernement kirghiz", a ajouté Gates depuis Cracovie, où il devait participer à une réunion des ministres de la Guerre de l'Otan, ayant pour thème central les contributions des pays de l'Otan à l'effort de guerre contre l'Afghanistan.
La base de "Manas est importante, mais pas irremplaçable", a également affirmé Gates à Cracovie. Nous examinons des alternatives, et avons des
contacts avec plusieurs pays différents".
Les Etats-Unis paient 17,4 millions de dollars par an au Kirghizstan pour l'exploitation de la base.
Notons que la fermeture de ces installations pose un grave problème de ravitaillement des troupes de l'occupation internationale en Afghanistan, alors que
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