L’Iran et la Turquie ont passé en revue les derniers développements de la région
Le ministre iranien des Affaires étrangères, Ali-Akbar Salehi et son homologue turc Ahmet Davutoglu, ont passé en revue mardi les questions d'intérêt commun ainsi que les derniers développements régionaux et internationaux.
Au cours d'une conversation téléphonique, les deux hommes ont exprimé leur satisfaction après le bon déroulement de la session de la Commission économique conjointe qui s’est tenu à Téhéran.
L'Iran et la Turquie veulent tripler leurs échanges commerciaux à 30 milliards de dollars d'ici à 2015, ont déclaré des responsables des deux pays réunis à Téhéran . "La signature d'accords mutuels peut permettre d'atteindre l'objectif des responsables des deux pays de porter le niveau des échanges à 30 milliards de dollars", a déclaré Mehdi Ghazanfari, ministre iranien du Commerce, lors d'une rencontre avec le ministre turc chargé du Plan, Jodat Yilmaz.
Le nouveau ministre iranien des Affaires étrangères, Ali Akbar Salehi, qui a fait du développement des liens avec la Turquie l'une de ses priorités, a confirmé que "l'objectif d'atteindre un niveau d'échanges de 30 milliards de dollars d'ici cinq ans n'(était) pas hors de portée".
Les ministres ont espéré pouvoir "parachever un accord de préférence tarifaire" entre les deux pays lors de la visite en Iran du président turc Abdullah Gul la semaine prochaine.
Les échanges commerciaux de Téhéran sont passés en dix ans d'un milliard de dollars à près de 11 milliards actuellement.
L'Iran et la Turquie, qui comptent ensemble une population de 150 millions d'habitants, se sont rapprochés ces dernières années sur le plan économique mais aussi politique.
Le chef de la diplomatie iranienne a appelé à la poursuite des consultations entre les deux parties et a souligné la nécessité d'être vigilants face à la menace que représente le régime israélien dans la région.
Au cours d'une conversation téléphonique, les deux hommes ont exprimé leur satisfaction après le bon déroulement de la session de la Commission économique conjointe qui s’est tenu à Téhéran.
L'Iran et la Turquie veulent tripler leurs échanges commerciaux à 30 milliards de dollars d'ici à 2015, ont déclaré des responsables des deux pays réunis à Téhéran . "La signature d'accords mutuels peut permettre d'atteindre l'objectif des responsables des deux pays de porter le niveau des échanges à 30 milliards de dollars", a déclaré Mehdi Ghazanfari, ministre iranien du Commerce, lors d'une rencontre avec le ministre turc chargé du Plan, Jodat Yilmaz.
Le nouveau ministre iranien des Affaires étrangères, Ali Akbar Salehi, qui a fait du développement des liens avec la Turquie l'une de ses priorités, a confirmé que "l'objectif d'atteindre un niveau d'échanges de 30 milliards de dollars d'ici cinq ans n'(était) pas hors de portée".
Les ministres ont espéré pouvoir "parachever un accord de préférence tarifaire" entre les deux pays lors de la visite en Iran du président turc Abdullah Gul la semaine prochaine.
Les échanges commerciaux de Téhéran sont passés en dix ans d'un milliard de dollars à près de 11 milliards actuellement.
L'Iran et la Turquie, qui comptent ensemble une population de 150 millions d'habitants, se sont rapprochés ces dernières années sur le plan économique mais aussi politique.
Le chef de la diplomatie iranienne a appelé à la poursuite des consultations entre les deux parties et a souligné la nécessité d'être vigilants face à la menace que représente le régime israélien dans la région.
L'Iran et la Turquie veulent tripler leurs échanges commerciaux
L'Iran et la Turquie veulent tripler leurs échanges commerciaux à 30 milliards de dollars d'ici à 2015, ont déclaré des responsables des deux pays réunis à Téhéran.
"La signature d'accords mutuels peut permettre d'atteindre l'objectif des responsables des deux pays de porter le niveau des échanges à 30 milliards de dollars", a déclaré Mehdi Ghazanfari, ministre iranien du Commerce, lors d'une rencontre avec le ministre turc chargé du Plan, Jodat Yilmaz.
"Les dirigeants des deux pays ont fixé un objectif clair pour les échanges futurs (...). Cet objectif est facilement atteignable en tenant compte des capacités actuelles", a estimé M. Yilmaz.
Le nouveau ministre iranien des Affaires étrangères, Ali Akbar Salehi, qui a fait du développement des liens avec la Turquie l'une de ses priorités, a confirmé que l'objectif d'atteindre un niveau d'échanges de 30 milliards de dollars d'ici cinq ans n'(était) pas hors de portée.
Les ministres ont espéré pouvoir "parachever un accord de préférence tarifaire" entre les deux pays lors de la visite en Iran du président turc Abdullah Gul la semaine prochaine.
Les échanges commerciaux de Téhéran sont passés en dix ans d'un milliard de dollars à près de 11 milliards actuellement.
L'Iran et la Turquie, qui comptent ensemble une population de 150 millions d'habitants, se sont rapprochés ces dernières années sur le plan économique mais aussi politique.
En septembre, le Premier ministre turc, Recep Tayyip Erdogan, a appelé à un "rapprochement économique avec l'Iran".
L'Iran, qui exporte déjà 15 à 18 millions de m3 de gaz par jour vers la Turquie, a signé en juillet un contrat d'un milliard d'euros avec une compagnie turque pour la construction d'un gazoduc de 660 km, qui permettra d'ici trois ans d'exporter chaque jour 60 millions de m3 de gaz vers la Turquie.
"La signature d'accords mutuels peut permettre d'atteindre l'objectif des responsables des deux pays de porter le niveau des échanges à 30 milliards de dollars", a déclaré Mehdi Ghazanfari, ministre iranien du Commerce, lors d'une rencontre avec le ministre turc chargé du Plan, Jodat Yilmaz.
"Les dirigeants des deux pays ont fixé un objectif clair pour les échanges futurs (...). Cet objectif est facilement atteignable en tenant compte des capacités actuelles", a estimé M. Yilmaz.
Le nouveau ministre iranien des Affaires étrangères, Ali Akbar Salehi, qui a fait du développement des liens avec la Turquie l'une de ses priorités, a confirmé que l'objectif d'atteindre un niveau d'échanges de 30 milliards de dollars d'ici cinq ans n'(était) pas hors de portée.
Les ministres ont espéré pouvoir "parachever un accord de préférence tarifaire" entre les deux pays lors de la visite en Iran du président turc Abdullah Gul la semaine prochaine.
Les échanges commerciaux de Téhéran sont passés en dix ans d'un milliard de dollars à près de 11 milliards actuellement.
L'Iran et la Turquie, qui comptent ensemble une population de 150 millions d'habitants, se sont rapprochés ces dernières années sur le plan économique mais aussi politique.
En septembre, le Premier ministre turc, Recep Tayyip Erdogan, a appelé à un "rapprochement économique avec l'Iran".
L'Iran, qui exporte déjà 15 à 18 millions de m3 de gaz par jour vers la Turquie, a signé en juillet un contrat d'un milliard d'euros avec une compagnie turque pour la construction d'un gazoduc de 660 km, qui permettra d'ici trois ans d'exporter chaque jour 60 millions de m3 de gaz vers la Turquie.
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