Sanctions pétrolières: l'Iran met en garde les pays du Golfe
TEHERAN - L'Iran a mis en garde les pays du Golfe en leur demandant de ne pas compenser sa production en cas de sanctions occidentales contre ses exportations de brut, a rapporté dimanche le quotidien Shargh.
Si les pays pétroliers du Golfe Persique donnent le feu vert pour remplacer le pétrole iranien (en cas de sanctions), ils seront les principaux responsables de ce qui arrivera, a déclaré le représentant de l'Iran auprès de l'Opep, Mohammad Ali Khatibi.
Si nos voisins du Sud utilisent leur capacité de production pour remplacer notre pétrole (en cas de sanctions) et coopèrent avec les pays aventuriers (occidentaux), ils seront responsables des incidents qui se produiront et leur geste ne sera pas amical, a dit le représentant iranien.
L'Union européenne (UE) doit finaliser le 23 janvier les modalités d'un embargo sur le pétrole iranien, qui pourrait être mis en place progressivement sur six mois.
Téhéran vend quelque 450.000 barils par jour (18% de ses exportations) à l'Union européenne, essentiellement à l'Italie (180.000 b/j), à l'Espagne (160.000 b/j) et à la Grèce (100.000 b/j), trois pays en mauvaise posture économique du fait de la crise de la dette.
Si les pays pétroliers du Golfe Persique donnent le feu vert pour remplacer le pétrole iranien (en cas de sanctions), ils seront les principaux responsables de ce qui arrivera, a déclaré le représentant de l'Iran auprès de l'Opep, Mohammad Ali Khatibi.
Si nos voisins du Sud utilisent leur capacité de production pour remplacer notre pétrole (en cas de sanctions) et coopèrent avec les pays aventuriers (occidentaux), ils seront responsables des incidents qui se produiront et leur geste ne sera pas amical, a dit le représentant iranien.
L'Union européenne (UE) doit finaliser le 23 janvier les modalités d'un embargo sur le pétrole iranien, qui pourrait être mis en place progressivement sur six mois.
Téhéran vend quelque 450.000 barils par jour (18% de ses exportations) à l'Union européenne, essentiellement à l'Italie (180.000 b/j), à l'Espagne (160.000 b/j) et à la Grèce (100.000 b/j), trois pays en mauvaise posture économique du fait de la crise de la dette.
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