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SARKO L ASSASSIN : IL DEVENAIT GÊNANT !

Kadhafi exécuté par un agent français !

IL DEVENAIT GÊNANT !

 

Un agent français derrière la mort de Kadhafi ». Le quotidien italien Corriere della Sera se veut affirmatif dans son article remettant en cause la version officielle de la mort de l'ancien dictateur libyen, le 20 octobre 2011. Selon le journal, c'est bien un agent des services secrets français et non un membre de la résistance libyenne qui aurait tué Mouammar Kadhafi, après l'arrestation de celui-ci non loin de Syrte.

Que s’est-il vraiment passé le 20 octobre 2011, lors de la capture du colonel Mouammar Kadhafi ? Alors qu’officiellement, ce sont les rebelles des brigades révolutionnaires qui ont arrêté —et tué d’une balle dans la tête dans des circonstances qui demeurent floues— l’ancien chef d’Etat en fuite près de la ville de Syrte, le quotidien italien le Corriere della Serra donne crédit à la théorie selon laquelle les services secrets français seraient responsables de sa mort.
La piste française
Parmi les milieux diplomatiques occidentaux de la capitale libyenne, le commentaire officieux le plus diffusé est : « ce fut réellement la main d’un sicaire au service des 007 étrangers presque certainement français. Le raisonnement est connu. »
Jusqu’au début du soutien donné à la révolution, fortement voulu par Nicolas Sarkozy et son mentor BHL, Kadhafi menaça ouvertement de révéler les détails de ses rapports avec l’ex-président français, y compris les millions de dollars versés pour financer sa candidature et sa campagne présidentielle de 2007.
Nicolas Sarkozy avait tous les motifs pour chercher à faire taire le colonel et ce, le plus rapidement possible. Ces informations ont été répétées moultes fois par les milieux diplomatiques européens de Tripoli. Cette thèse est renforcée par les révélations recueillies par il "Corriere della sera" il y a 3 jours à Benghazi
Là, Rami el-Obeidi, ex-responsable des rapports avec les agents des informations étrangères pour le compte du conseil transitoire CNT, a fait part de ses connaissances sur les modalités qui permirent à l’Otan de localiser le lieu où s’était caché le colonel après sa fuite de Tripoli.
« A ce moment-là on pensait que Kadhafi s’était enfuit vers la frontière méridionale de la Lybie avec une poignée de fidèles et l’intention de réorganiser la résistance ». En réalité Kadhafi avait trouvé refuge dans la ville loyaliste de Syrte.
Rami el-Obeidi ajoute : « là, le raïs cherchait à communiquer au moyen de son téléphone satellitaire iridium avec un groupe de fidèles en Syrie sous la protection de Bachar el assad. Parmi ceux-ci il y avait aussi son dauphin chargé de la propagande télévisuelle, yousouf Shakir « aujourd’hui sain et sauf à Prague »
Ce fut le président syrien qui passa le numéro de téléphone satellitaire aux services secrets français. En échange El-assad aurait obtenu la promesse de limiter les pressions internationales sur la Syrie pour que cesse la répression contre les populations en révolte »
Localiser le dictateur avec un GPS aura été un jeu d’enfant pour les experts de l’Otan. Ce fut la fin de Kadhafi quelques semaines ensuite.
Kadhafi avait-il des secrêts gênants?
L'Otan a démenti avoir "délibérément" visé l'ex-dirigeant libyen Moummar Kadhafi, mais a admis - comme l'avaient déjà fait deux alliés, la France et les Etats-Unis - avoir bombardé jeudi son convoi, facilitant ainsi son arrestation par l'ex-rébellion et in fine sa mort dans des circonstances troubles.
"Au moment de l'attaque l'Otan ignorait que Kadhafi se trouvait dans le convoi. L'intervention de l'Otan n'était menée que dans le but de réduire la menace contre la population civile, comme prescrit dans notre mandat émanant des Nations Unies. La politique de l'Otan n'est pas de viser des individus", a indiqué l'Alliance atlantique dans un communiqué diffusé par le quartier général dirigeant l'opération "Unified Protector" et installé à Naples, dans le sud de l'Italie. On peut en douter. "Nous avons ensuite appris de sources de renseignement ouvertes et alliées que Kadhafi se trouvait dans le convoi et que le raid a probablement contribué à sa capture", ajoute le texte.
Selon le ministre français de la Défense de l'époque , Gérard Longuet, ce sont des avions français qui ont identifié et "stoppé" la colonne de véhicules dans laquelle se trouvait Mouammar Kadhafi, avant des accrochages au sol entre ses forces et des combattants du CNT.
"Un drone américain Predator a également tiré un missile contre le convoi attaqué par un Mirage 2000 français", a affirmé un responsable américain. L'Otan avait annoncé plus tôt que ses avions avaient frappé deux véhicules des forces pro-Kadhafi à environ 08h30 dans les environs de Syrte (à 300 km à l'est de Tripoli).
Le fils Kadhafi pourra-t-il dire ce qu'il sait ?
Saif-Al-Islam-Kadhafi peu après son arrestation avait menacé de révéler les mouvements d'argent vers Nicolas Sarkozy. C'est l'homme qui pourrait confirmer les révélations sur les relations entre Nicolas Sarkozy et Mouammar Kadhafi. Deux jours avant l'intervention de l''OTAN, Saïf al-Islam Kadhafi, le propre fils du dictateur avait en effet accusé, le premier, le président de la République française d'avoir reçu de l'argent libyen.
Dans un entretien accordé à la chaîne Euronews, le 18 mars 2011, il avait déclaré : "Tout d'abord, il faut que Sarkozy rende l'argent qu'il a accepté de la Libye pour financer sa campagne électorale. C'est nous qui avons financé sa campagne, et nous en avons la preuve. Nous sommes prêts à tout révéler. La première chose que l'on demande à ce clown, c'est de rendre l'argent au peuple libyen. Nous lui avons accordé une aide afin qu'il oeuvre pour le peuple libyen, mais il nous a déçu. Rendez-nous notre argent. Nous avons tous les détails, les comptes bancaires, les documents, et les opérations de transfert. Nous révélerons tout prochainement."
Capturé et détenu par une milice
Saïf al-Islam Kadgafia été capturé par les insurgés le 18 novembre 2011 dans le sud de la Libye, à quelques kilomètres de la frontière algérienne. Transféré dans la ville de Zentane, à 150 km au sud-ouest de Tripoli, il est toujours détenu dans un lieu secret..
Pourra-t-il parler ?
À la fin du mois d'octobre 2011, alors qu'il était en fuite et qu'il craignait pour sa vie en cas de capture, Saïf al-Islam Kadhafi avait pris contact avec la Cour pénale internationale afin de négocier son arrestation. Quelle que soit la gravité du crime, la juridiction ne prononce que des peines de prison...
Le procureur, Luis Moreno-Ocampo, avait confirmé ces négociations et indiqué que "s'il se rendait à la CPI [Saïf al-Islam Kadhafi] aurait le droit d'être entendu devant la cour, il sera innocent jusqu'à preuve du contraire".
S'il avait des révélations à faire, le fils du dictateur aurait-il le loisir de s'exprimer ? Ce n'est pas certain. En revanche, la CPI, souvent critiquée pour la longueur de ses audiences, lui offrirait une tribune de choix. Surtout si le fils du despote trouvait là une occasion de plonger dans l'embarras ceux qui ont contribué à renverser le régime.
Après Mouammar Kadahi, Saïf al-Islam Kadhafi connaitra- t –il le même sort que son père et que celui réservé dans un proche avenir à Bachar el assad


07/10/2012
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