Soros fait le pari de l’éclatement de la zone euro
Lors d’un débat tenu à Vienne en juin dernier, Georges Soros a dit: « C’est une sorte de crise financière qui est en train de se développer. (…) Les autorités tentent de gagner du temps. Mais le temps joue contre eux… »
Soros profitera t-il de ce scénario ? Il n’en a pas besoin. Cela dit, pourquoi LIESI s’intéresse à ce genre de gourou ? Extraits du numéro 31 de LIESI.
Qui est donc vraiment George Soros ? Voici ce qu’en disent les auteurs du Livre Jaune Numéro 6 : « La version officielle nous dit qu’il est né en 1930, de parents juifs, qu’il a été chassé de Budapest par les nazis. Après un séjour à la London School of Economics, il débarque aux Etats-Unis au milieu des années cinquante. Fasciné par Wall Street, il mène une carrière tranquille jusqu’en 1969. Puis il reprend avec un partenaire un fonds de gestion de patrimoine. Il vend des actions à terme, dans l’espoir que leur cours aura baissé l’échéance venue et qu’il pourra les racheter à moindre prix.
De ces fonds de gestion est né le groupe Quantum, une association de fonds d’investissements qui opère depuis les Antilles Néerlandaises. Quantum passe pour être une des sociétés d’investissement les plus performantes. En 24 ans, ce fonds a dégagé pendant huit ans 50 % de bénéfice, et deux années durant 100 % de bénéfice. Soros en a maintenant délégué la gestion à ses managers. (…) W. Engdahl dit de lui : « Soros spécule sur les marchés financiers mondiaux à l’aide de sa société offshore Quantum Fund NY, qui est un fonds d’investissements privé, et qui gère pour quelques clients de 4 à 7 milliards de dollars. Pour échap-per à la surveillance des autorités financières américaines, Soros n’a engagé aucun américain dans le conseil d’administration de Quantum. Ses directeurs sont un mélange particulier de financiers suisses et italiens. » (pp. 81 et 82)
Qui sont ces clients très particuliers qui lui fournissent très certainement des informations d’initiés pour réaliser des scénarios souhaités par l’Establishment de Londres et de Wall Street.
1) Soros, l’homme de paille des Rothschild
« Nous savons que c’est un homme de paille des Rothschild. Nous comprenons l’intérêt des Rothschild de ne pas le révéler au public, pour cacher leurs relations avec la City de Londres, avec le ministère des Affaires Etrangères britan-nique, avec l’état d’Israël et avec leurs puissants amis de l’establishment américain.
Parmi les membres du conseil d’administration de Quantum se trouve un certain Richard Katz. C’est le dirigeant de Rothschild Italia S.p.A. à Milan, il est également membre du conseil d’administration de la banque commerciale N&M Rothschild & Sons. Nus Taube est un autre membre de ce conseil. Il est le partenaire d’un groupe d’investisseurs londoniens, St James Place Capital, qui compte Lord Rothschild parmi ses principaux associés.
(…) W. Engdahl explique plus en détail : « Les relations de Soros avec les cercles financiers internationaux secrets des Rothschild ne sont pas fortuites. Son succès inhabituel comme spéculateur sur les marchés financiers à haut risque ne peut pas être dû qu’à la chance. Soros a accès à des informations d’initiés, des canaux de l’état et du secteur privé.
Depuis la Deuxième Guerre mondiale, la famille Rothschild fait tout pour minimiser vis-à-vis de l’opinion publique son influence réelle sur les marchés financiers. En réalité c’est un des grou-pes financiers les plus puissants et les plus opa-ques du monde. (…) De plus, la banque des Rothschild est au centre du marché de l’or : c’est elle qui fixe deux fois par jour le prix de l’or, en accord avec les cinq plus grandes banques commerciales spécialisées sur ce marché » (pp. 82-83).
2) De Soros à Israël jusqu’aux faucons de l’administration Bush
« Un initié a calculé que Soros avait rassemblé en septembre 1993, avec l’aide d’un puissant groupe d’associés silencieux, la somme de 10 milliards de dollars, pour attaquer les monnaies européennes. Parmi ses associés, on trouve Marc Rich, un négociant en pétrole peu connu, et le marchand d’armes israélien Saul Eisenberg. Eisenberg est depuis des années membre des services secrets israéliens, il est un marchand très actif en Asie et au Moyen Orient. Rafi Eytan, délégué du Mossad à Londres, est un autre associé de Soros. » (p. 84)
D’autre part, il faut savoir que « dans l’administration Bush, Lewis LIBBY est secrétaire général du vice-président Dick Cheney. A ce titre, il est impliqué directement dans la pla-nification de la guerre contre l’Irak. Il est éga-lement bien connu dans les milieux néo-conservateurs de la région de Washington. Moins connus cependant sont ses liens avec le milieu de la mafia internationale, notamment avec des éléments très proches des extrémistes israéliens autour de Sharon et de Netanyahou. De 1985 à 2000, Lewis Libby était l’avocat de Marc Rich… » (Strategic Alert, janvier 2003)
Marc Rich est connu pour ces violations du droit international et Rich encourait une peine de prison de 325 ans. En décembre 2000, le président sortant Bill Clinton décida de lui accorder sa grâce, décision très controversée pour laquelle il pourrait encore être poursuivi en justice. Or celui qui est en grande partie à l’origine de la décision de l`ancien président est Lewis Libby, I’actuel adjoint de Dick Cheney en matière de sécurité, alors que ce dernier est incontestablement le principal porte-parole du courant impérial utopiste au sein du gouverne-ment. Libby était l’un des associés au cabinet juridique Dickstein Shapiro lorsque la défense de Marc Rich lui fut confiée par Léonard Garment, I’avocat de l’ancien président des Etats-Unis, Richard Nixon. Garment avait également aidé Ariel Sharon et ses alliés sur le plan légal, suite à l’arrestation en novembre 1985 de Jonathan Pollard, un Américain qui espionnait contre Ies Etat-Unis pour le compte d’Israël » (Strategic Alert, janvier 2003). (voir notre dossier sur les Réseaux israéliens aux Etats-Unis, 4.57 euros)
Soros profitera t-il de ce scénario ? Il n’en a pas besoin. Cela dit, pourquoi LIESI s’intéresse à ce genre de gourou ? Extraits du numéro 31 de LIESI.
QUI EST G. SOROS ?
Hongrois et titulaire d’un passeport américain, le magazine économique américain Forbes a mis G. Soros au premier rang des managers et financiers les mieux payés du monde. En 1994, il a gagné plus de 550 millions de dollars, 20 fois plus que le patron de Disney. L’année précédente, il a réussi à mettre à genou la Banque d’Angleterre, empochant un bénéfice de 1 milliard de dollars.Qui est donc vraiment George Soros ? Voici ce qu’en disent les auteurs du Livre Jaune Numéro 6 : « La version officielle nous dit qu’il est né en 1930, de parents juifs, qu’il a été chassé de Budapest par les nazis. Après un séjour à la London School of Economics, il débarque aux Etats-Unis au milieu des années cinquante. Fasciné par Wall Street, il mène une carrière tranquille jusqu’en 1969. Puis il reprend avec un partenaire un fonds de gestion de patrimoine. Il vend des actions à terme, dans l’espoir que leur cours aura baissé l’échéance venue et qu’il pourra les racheter à moindre prix.
De ces fonds de gestion est né le groupe Quantum, une association de fonds d’investissements qui opère depuis les Antilles Néerlandaises. Quantum passe pour être une des sociétés d’investissement les plus performantes. En 24 ans, ce fonds a dégagé pendant huit ans 50 % de bénéfice, et deux années durant 100 % de bénéfice. Soros en a maintenant délégué la gestion à ses managers. (…) W. Engdahl dit de lui : « Soros spécule sur les marchés financiers mondiaux à l’aide de sa société offshore Quantum Fund NY, qui est un fonds d’investissements privé, et qui gère pour quelques clients de 4 à 7 milliards de dollars. Pour échap-per à la surveillance des autorités financières américaines, Soros n’a engagé aucun américain dans le conseil d’administration de Quantum. Ses directeurs sont un mélange particulier de financiers suisses et italiens. » (pp. 81 et 82)
Qui sont ces clients très particuliers qui lui fournissent très certainement des informations d’initiés pour réaliser des scénarios souhaités par l’Establishment de Londres et de Wall Street.
1) Soros, l’homme de paille des Rothschild
« Nous savons que c’est un homme de paille des Rothschild. Nous comprenons l’intérêt des Rothschild de ne pas le révéler au public, pour cacher leurs relations avec la City de Londres, avec le ministère des Affaires Etrangères britan-nique, avec l’état d’Israël et avec leurs puissants amis de l’establishment américain.
Parmi les membres du conseil d’administration de Quantum se trouve un certain Richard Katz. C’est le dirigeant de Rothschild Italia S.p.A. à Milan, il est également membre du conseil d’administration de la banque commerciale N&M Rothschild & Sons. Nus Taube est un autre membre de ce conseil. Il est le partenaire d’un groupe d’investisseurs londoniens, St James Place Capital, qui compte Lord Rothschild parmi ses principaux associés.
(…) W. Engdahl explique plus en détail : « Les relations de Soros avec les cercles financiers internationaux secrets des Rothschild ne sont pas fortuites. Son succès inhabituel comme spéculateur sur les marchés financiers à haut risque ne peut pas être dû qu’à la chance. Soros a accès à des informations d’initiés, des canaux de l’état et du secteur privé.
Depuis la Deuxième Guerre mondiale, la famille Rothschild fait tout pour minimiser vis-à-vis de l’opinion publique son influence réelle sur les marchés financiers. En réalité c’est un des grou-pes financiers les plus puissants et les plus opa-ques du monde. (…) De plus, la banque des Rothschild est au centre du marché de l’or : c’est elle qui fixe deux fois par jour le prix de l’or, en accord avec les cinq plus grandes banques commerciales spécialisées sur ce marché » (pp. 82-83).
2) De Soros à Israël jusqu’aux faucons de l’administration Bush
« Un initié a calculé que Soros avait rassemblé en septembre 1993, avec l’aide d’un puissant groupe d’associés silencieux, la somme de 10 milliards de dollars, pour attaquer les monnaies européennes. Parmi ses associés, on trouve Marc Rich, un négociant en pétrole peu connu, et le marchand d’armes israélien Saul Eisenberg. Eisenberg est depuis des années membre des services secrets israéliens, il est un marchand très actif en Asie et au Moyen Orient. Rafi Eytan, délégué du Mossad à Londres, est un autre associé de Soros. » (p. 84)
D’autre part, il faut savoir que « dans l’administration Bush, Lewis LIBBY est secrétaire général du vice-président Dick Cheney. A ce titre, il est impliqué directement dans la pla-nification de la guerre contre l’Irak. Il est éga-lement bien connu dans les milieux néo-conservateurs de la région de Washington. Moins connus cependant sont ses liens avec le milieu de la mafia internationale, notamment avec des éléments très proches des extrémistes israéliens autour de Sharon et de Netanyahou. De 1985 à 2000, Lewis Libby était l’avocat de Marc Rich… » (Strategic Alert, janvier 2003)
Marc Rich est connu pour ces violations du droit international et Rich encourait une peine de prison de 325 ans. En décembre 2000, le président sortant Bill Clinton décida de lui accorder sa grâce, décision très controversée pour laquelle il pourrait encore être poursuivi en justice. Or celui qui est en grande partie à l’origine de la décision de l`ancien président est Lewis Libby, I’actuel adjoint de Dick Cheney en matière de sécurité, alors que ce dernier est incontestablement le principal porte-parole du courant impérial utopiste au sein du gouverne-ment. Libby était l’un des associés au cabinet juridique Dickstein Shapiro lorsque la défense de Marc Rich lui fut confiée par Léonard Garment, I’avocat de l’ancien président des Etats-Unis, Richard Nixon. Garment avait également aidé Ariel Sharon et ses alliés sur le plan légal, suite à l’arrestation en novembre 1985 de Jonathan Pollard, un Américain qui espionnait contre Ies Etat-Unis pour le compte d’Israël » (Strategic Alert, janvier 2003). (voir notre dossier sur les Réseaux israéliens aux Etats-Unis, 4.57 euros)
3) Teneur de l’avertissement de l’homme de paille George Soros
Voici la conclusion des auteurs du Livre Jaune Numéro 6 : « Soros n’est, tout compte fait, qu’un instrument dans la guerre de conquête écono-mique et politique des Rothschild. (…) Soros, qui d’après ses collaborateurs a un ego très développé, raconte lui-même qu’il ne pouvait survivre en tant que Juif dans le Budapest occupé par les Allemands et qu’il a dû prendre une seconde identité. Ce qu’il ne dit pas, c’est qu’il a été protégé des persécutions par un homme qui s’est enrichi sur l’expropriation des biens juifs et qu’il en a lui-même bénéficié. C’est ainsi qu’il a survécu à la guerre. Il a quitté la Hongrie en 1947. Malgré les campagnes qu’il mène contre ses opposants politiques, chez qui il dénonce volontiers l’antisémitisme, son attachement au judaïsme est plus lié à sa pensée talmudique qu’à l’appartenance à un peuple ou à une religion »A découvrir aussi
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