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Le président turc Abdallah Gül a salué le départ de son premier ministre Erdogan du forum de Davos.

Dans des déclarations de presse données aujourd’hui vendredi 30 janvier 2009, le président turc a confirmé que tout embarras fait au premier ministre ne pourra pas être ignoré.

La Turquie est un grand pays, a-t-il dit. Elle a son importance dans la région. Elle cherche toujours la sécurité et la paix. Tout un chacun connaît cette réalité et en profite. « Mais quiconque ne veut pas en profiter, ce sera son affaire ».

Plusieurs membres du cabinet turc, plusieurs chefs de partis et des institutions civiles ont également salué la réaction de leur premier ministre. Ils ont protesté contre la politique de deux poids deux mesures des organisateurs du forum de Davos. Le premier ministre ne voulait que répondre aux propos du président israélien et que défendre les victimes de la bande de Gaza.

Le chef du parti As-Saada a salué l’action d’Erdogan, tout en l’invitant à ne montrer aucune déficience. Son parti soutiendra le gouvernement.

Le président des chambres de commerce et de la bourse Rifat Jikli Oghlo a aussi exprimé sont contentement : « La position de notre premier ministre a reflété nos sentiments, tous ». Erdogan n’a fait qu’être au côté du droit et de la justice, dans un monde de forts.

Le syndic Salim Oslo a confirmé que le premier ministre Erdogan était la voix de toute la nation turque, mais aussi de toute l’humanité.