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Une nouvelle étude démontre l’aberration de la théorie des anticorps vaccinaux

Une nouvelle étude démontre l’aberration de la théorie des anticorps vaccinaux

 

Heidi Stevenson, 3 novembre 2012

La théorie vaccinale est fausse, jamais prouvée, mais non remise en question. Un nouveau vaccin, le V710, inefficace contre le SARM (staphylocoque doré résistant à la méthicilline), démontre clairement ce fait. L'augmentation du titre d'anticorps, la mesure standard de l'efficacité d'un vaccin, n'est pas la même chose que l'immunité naturelle.


Une étude montre clairement que la théorie fondamentale sur laquelle repose la vaccination – selon laquelle l'immunité est assurée par le développement d'anticorps – est erronée. Malheureusement, elle est mortellement fausse, car des gens meurent parce qu’ils y croient.


Le vaccin V710 concerne une maladie léguée par la médecine moderne : le SARM ou staphylocoque doré résistant à la méthicilline, aussi appelé maladie des bactéries mangeuses de chair. Ainsi, ils ont essayé de faire un vaccin pour résoudre un problème créé par le système médical lui-même.


Le vaccin V710 était appelé à devenir un grand succès, car il a été conçu pour prévenir le SARM, avant les interventions chirurgicales et chez les gens entrant à l’hôpital. Ce système crée une maladie et essaye ensuite de lui trouver un traitement pour en tirer des profits gigantesques !


Or, l'échec de l'étude révèle une chose très important concernant l'industrie du vaccin entière. Elle s’appuie sur une théorie ne résistant manifestement pas à la vérification. Si le développement d'anticorps était la clef du « renforcement du système immunitaire », comme le clament systématiquement les médecins et les organismes de santé, alors le raté du V710 aurait été impossible.


Aux dires de tous, un vaccin produisant une « solide réponse immunitaire », indique la formation de nombreux anticorps. Or, administré à des gens avant une chirurgie cardiothoracique, plus d'infections se produisent, et plus de gens meurent de multiples défaillances d’organes.



L'étude



 

L'étude a été financée par Merck. Le chercheur en chef, le Dr Fowler, était président de la Commission consultative pour le V710 de Merck. Il a aussi reçu des subventions et un soutien à la recherche de la part de Merck, Cerexa, Pfizer, Novartis, Advanced Liquid Logics, MedImmune, Galderman, et Inimex, et a été aussi consultant rémunéré pour Astellas, Cubist, Cerexa, Merck, Pfizer, NovaDigm, Novartis, The Medicines Company, Biosynexus, MedImmune, Galderman, et Inimex, et a touché des honoraires d'Astellas, Cubist, Merck, Pfizer, Theravance, et Novartis.


Il ne nous étonnera probablement pas que Fowler n'avait aucune idée de la raison pour laquelle les résultats ont été si lamentables, vu les bonnes réactions d’anticorps. Il a dit, selon Medscape :


 

Je ne puis penser à une raison biologiquement plausible à cela.


L'étude incluait 3958 patients qui ont reçu le vaccin actif V710, plus 3967 personnes qui ont reçu un placebo salin. 201 personnes (5,08%) ayant reçu le vaccin sont mortes, contre 177 (4,46%) qui ont reçu le placebo. Soit 13,9% de plus de décès chez les gens qui ont été vaccinés.


 

Note : Les résultats ont été traduits en années-personnes, une unité me paraissant dénuée de sens dans ce contexte. La question est de savoir combien de gens subissant un cas unique d’un type précis de chirurgie ont succombé, pas à quoi ça ressemble en fonction des années-personnes.


Chez les patients vaccinés, 22 ont chopé le SARM et 7 d’entre eux sont morts. Dans le groupe témoin, non vacciné, 27 ont attrapé le SARM et 2 d'entre eux sont morts.


Vance Fowler Jr., docteur en médecine et spécialiste en santé publique, responsable de l'étude et professeur de médecine à l'université de Duke, a déclaré :


 

Le V710 n'est pas efficace pour prévenir la bactériémie du staphylocoque doré et/ou l’infection de la profonde plaie sternale [due à l’opération, ndt], bien qu’il suscite une solide réponse des anticorps. Dans l’ensemble, le taux de mortalité ne différait pas significativement chez les receveurs du vaccin et du placebo.


Parmi les gens ayant reçu le vaccin V710, 13,9% de plus sont morts. Ça a fait 24 décès de plus. Compte tenu de la taille du marché visé, la vaccination se traduirait rapidement par des milliers de morts de plus, directement dus au vaccin. Les taux de mortalité ne sont pas globalement significatifs ?


Ce qui est rapporté ici, ce ne sont que les taux de SARM, en revanche, Medscape signale aussi que ceux qui ont reçu le vaccin V710 et développé le staphylocoque doré étaient 5 fois plus susceptibles de mourir que ceux du groupe témoin.



Implications pour la théorie vaccinale



 

Ce que nous devons retenir de tout cela, c’est que la théorie fondamentale derrière la vaccination ne tient pas compte de la réalité. Elle s’appuie sur des hypothèses. Elle suppose que le déclenchement artificiel du système immunitaire pour le forcer à produire des anticorps est équivalent au développement d’anticorps du processus naturel de la maladie. Le fait est que ce n'est pas le cas. Il s’agit d’une forme de forçage de la nature, et non pas de l’imiter.


Concentration d’anticorps n’est pas immunité



 

La réalité est qu'aucune étude n'a été faite sur ce qui arrive globalement au système immunitaire après vaccination. Le seul intérêt a été mis sur les titres aussi grands que possible, c'est-à-dire, la fabrication de la concentration la plus forte possible d'anticorps. C’est ce qui sert à définir la réussite d'un vaccin. C’est utilisé en dépit du fait que les titres dus aux vaccins sont souvent beaucoup plus grands que les titres dus à des infections naturelles. L'immunité naturelle est pourtant d’habitude de 100% et dure toute la vie, alors que l'immunité induite n'approche pratiquement jamais les 100% et ne dure guère plus que quelques années.


Ce qui est impliqué dans l'immunité aux maladies est manifestement bien au-delà de ce à quoi peut aboutir la valeur des titres. Mais vous n’en savez jamais rien. La seule chose considérée est l’obtention d’un titre arbitraire, et non pas l'effet global du vaccin.


Les anticorps ne sont qu'une partie du système immunitaire



 

Dans la course à la vaccination, personne ne considère les effets sur l’organisme globalement, ni même sur le reste du système immunitaire. La résistance aux maladies est bien plus que des anticorps.


Le système immunitaire est divisé en deux parties : humorale et à médiation cellulaire. Le système immunitaire humoral est celui à qui s’adresse les vaccins. Il fabrique des anticorps contre les agents infectieux. Suractivé, il est aussi capable de créer des anticorps contre lui-même, créant des troubles auto-immunes, du style polyarthrite rhumatoïde et lupus érythémateux. Comme l’a clairement démontré le fiasco du V710, les vaccins ne réussissent pas à imiter ce que fait l’organisme lorsqu’il lutte naturellement contre un agent infectieux – et personne ne sait exactement ce qui ne va pas, ni n'a la moindre idée de la manière de copier la nature.


La partie à médiation cellulaire du système immunitaire est gérée par les lymphocytes T, les cellules T sur lesquels se focalisent les malades du VIH. Les cellules T agissent en médiatrices, c’est-à-dire, gèrent et contrôlent les macrophages, les cellules tueuses naturelles, ainsi que les lymphocytes cytotoxiques et les cytokines, spécifiques dans la réaction aux antigènes. La partie à médiation cellulaire du système immunitaire est la partie sans laquelle vous ne pouvez rien faire. C'est la partie qui se tient prête à répondre à pratiquement n'importe quelle sorte d'attaque infectieuse ou cancer. Pourtant, les fabricants de vaccins ne lui accordent que peu d'attention quand ils abordent les maladies infectieuses.


En ce qui nous concerne, c'est sans doute une bonne chose que le mécanisme immunitaire de la médiation cellulaire soit méconnu. Il y a au moins ainsi peu de tentatives visant à le manipuler, bien qu’il devienne hélas le centre de certains des vaccins les plus récents, qui ont d’autres objectifs que les maladies infectieuses. En tout cas, aucune considération n’est accordée à savoir si les vaccins peuvent nuire, tout comme sont traités pratiquement tous les préjudices faits par les vaccins, en prétendant qu’ils n'existent pas.


Le fait est que mesurer les titres n'est manifestement pas un moyen adéquat pour déterminer la santé ou la solidité du système immunitaire. Affirmer que les vaccins « renforcent le système immunitaire » n’est qu’une revendication. Ce n’est fondé sur aucun fait. Il n'existe aucune raison de croire, et toutes les raisons de ne pas croire, que forcer l'accroissement des titres équivaut à s'immuniser contre la maladie. Il est tout aussi évident que l'injection de substances toxiques avec des antigènes est une pratique dangereuse. Nous n’avons sûrement pas besoin de prouver cela ! Néanmoins, l'industrie du vaccin et ses sbires injectent des métaux lourds, des produits chimiques et des substances mortelles, comme le squalène, dont nous sommes pratiquement sûr qu’ils empoisonnent l’organisme et provoquent des troubles auto-immunes.


Peut-être qu’une bonne chose peut venir du V710, le vaccin raté contre le SARM. Peut-être que des têtes sensées surgiront et diront :


 

Arrêtez !

Cessez cette folie.

Regardons ce que nous faisons.

Demandons-nous pourquoi plus de la moitié de nos enfants sont systématiquement malade et ne serons jamais en bonne santé.

Un peu de modération temporaire sur les risques des maladies infectieuses n’a certes pas le prix des conséquences que nous pouvons voir tout autour de nous !

Nous pouvons assurément arrêter cette perversion.



05/11/2012
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