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11 septembre : La tactique rusée de « Sir Patates Menues » à l’encontre de Tenet

11 septembre : La tactique rusée de « Sir Patates Menues » à l’encontre de Tenet

 

 

Avec Wikileaks crevé, un nouveau stratagème subtil est en marche à propos du 11 septembre.


 

Veterans Todays, Gordon Duff, 17 août 2011


 

La semaine dernière, des mordus du complot ont fait une révélation géniale concernant le 11/9. Richard Clarke a pointé le doigt sur George Tenet, l'ancien directeur de la CIA, en déclarant que la CIA « a autorisé » les pirates de l'air du 11 septembre à agir librement.


 

Et pourquoi ça ? Tenet et la CIA avaient l'intention de « les » utiliser d’une façon ou d’une autre, peut-être d’en faire des agents doubles, voire triples.


 

Qu’est-ce qui cloche dans ce cirque ?


 

J’ai le sentiment d’être revenu en arrière dans le temps.


 

Nous sommes en 1963 et le Marine Lee Oswald, technicien en télécommunication, informatique et électronique, espion russe, agent de la CIA, militant pro-castriste et militant anti-castriste, vient juste de tirer sur le président Kennedy, six balles en trois salves venues de trois directions différentes, le tuant et blessant le gouverneur du Texas, John Connelly, bien que pendant tout ce temps-là Oswald se trouvait dans une salle à manger pleine de témoins.


 

Malgré un fusil cassé, avec sa lunette de visée desserrée ou qu’Oswald a tué un policier avec un revolver qui éjectait des douilles – comme si c'était un automatique (pistolet semi-automatique Colt 38 « Super ») – d’un autre calibre, on nous ressert le mythe du « tireur isolé. »


 

À présent, on tente le même truc avec le 11/9. Puis-je dire de nouveau « malgré... » ?


 

Même si quelqu’un croit que des milliers de tonnes d'acier ont été vaporisées magiquement par quelques gallons de kérosène, l’histoire du 11/9 des « Twin Towers » est tombée en morceaux il y a des années, quand la Commission elle-même s’est distanciée de ses propres conclusions de « blanchiment » et « supercherie. »


 

Ensuite sont venus des faits solides et irrévocables : on a ordonné de détruire le bâtiment 7, une affaire nécessitant des mois de préparation, mais accomplie en 20 minutes.


 

L'autre maillon faible a été l’attaque de missile au Pentagone. Il est prouvé depuis longtemps qu’aucun avion n'a pu la faire, qu’aucun pilote n’en est capable, qu’aucun avion n’en a la capacité, qu’il n’y avait pas d’épave un jour et quelques pièces « impeccables » le suivant.


 

Passé cela, nous avons appris le drame du vol 93 : les appels téléphoniques, la prise d'assaut du cockpit. Entièrement inventé, aucun appels n’ayant pu être passé, rien que des salades.


 

Plus sérieusement, le mythe des pirates de l'air est aussi tombé en morceaux. Il n'y a aucune preuve de leur existence, à part quelques pièces à conviction manifestement placées là intentionnellement et des affirmations abracadabrantes jamais étayées de preuves solides.


 

Il n'y avait aucun pirate, aucun Arabes armés de couteaux à lame rétractable, entraînés sur « Cessna » à piloter mieux que les instructeurs des Top Gun [pilotes d’élite militaires].


 

Tout a été inventé, dans le moindre détail.


 

Après dix ans de mensonges, de torture, de vols de billions de roupieus, de Zunie trempant dans le plus grand cartel de drogue jamais rêvé en Afghanistan, dix ans de contes de fées, tout d'un coup, voilà à présent que Richard Clarke, l’infâme mauviette, le « fiston à sa maman, » pointe le doigt sur George Tenet.


 

Haï par la Maison Blanche de Bush, ce directeur de la CIA, le dupe parfait, était resté en retrait, évincé par Cheney et sa « privatisation. »


 

Avec l’arrivée du dixième anniversaire, la patte d'Israël est de plus en plus reconnue dans le 11/9, non seulement par les sites comploteurs ou « ennemis des Juifs, » mais aussi par les meilleurs analystes.


 

L’histoire de remplacement utilisée par Israël, c'est qu'ils ont des agents partout en Zunie qui ont « pris en filature » les pirates de l'air, tandis que d'autres équipes, de l’aveu général informées à l'avance des attentats, étaient à New York pour « documenter. »


 

Le hic, c’est que chaque rapport fiable venant de « Ground Zero » dit que les explosions ont commencé avant la collision des avions, un chapelet d’explosions. Des films montrent ces explosions. Des preuves scientifiques témoignent de la présence d’explosifs. Des preuves sismique témoignent des explosions.


 

Ensuite, des années plus tard, nous avons Richard Clarke parlant à nouveau de l'histoire imaginaire des pirates de l'air armés de cuters à lame rétractable, des appels téléphoniques qui n’ont jamais été passés, des supers pilotes, des avions miraculeux.



 

Pourquoi Clarke ?


 

Normalement, les histoires de ce tonneau, les fables fournissant un parapluie, les balivernes de « théorie des jeux, » sortent de Julian Assange et son Wikileaks. Toujours identiques, une cuillerée de sucre faisant passer la pilule. Wikileaks ?


 

Il colporte les complots israéliens contre l'Iran et le Pakistan en utilisant les saletés rassemblées sur la Zunie, une tâche guère difficile, soigneusement « propagée, » comme l’exprimait Zbigniew Brzezinski en décembre 2010, avec de l'information « pointue » provenant d'une agence de renseignement.


 

Wikileaks est le Mossad et les « amis » de Wikileaks sont des « hasbara, » des assistants qui servent les organes de renseignement d'Israël.


 

Mais Wikileaks « s’est planté et est cuit, » si manifestement que c’est devenu une turlupinade.


 

Maintenant, tout ce qui reste à vendre de l'histoire des pirates armés de cure-dents rétractables, c’est la mauviette Richard Clarke, un personnage mineur, nous dit-on, dans la planification du 11/9, un « grouillot » de la Maison Blanche, pointant son doigt sur le pauvre George Tenet, le directeur de la CIA qui n'a jamais dirigé la CIA.


 

Tout ça n’est bien sûr qu’une comédie à deux balles, un paravent pour Israël, Bush, Cheney et Rumsfeld, Rove et Ashcroft, Gonzales et Mike Harari.


 

Utiliser Clarke, « M. Small Potatoes » [*], pour colporter que le pauvres George Tenet est le cerveau du crime du siècle ! Tout ce que je puis dire, c'est « Bonne chance avec ça. »
[* Ndt : Qu'il est correct de traduire par Sir Patates Menues. S’il ne s’agit pas du sobriquet que lui ont donné ses camarades à la douche, c’est un chouette surnom dont il doit être fier.]



20/08/2011
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