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Al Qaida, agent double de la CIA et du MI6 ?

Al Qaida, agent double de la CIA et du MI6 ?
"L'agent, qui était au Yémen, était en liaison avec la CIA avant de remettre l'engin explosif aux services de renseignement", ...
..rapporte le Daily Mail. "L'engin devait être introduit à bord d'un avion de ligne de manière indétectée et devait ensuite être mis à feu."Il est connu depuis un moment que le renseignement britannique pratique des opérations terroristes et protège des éléments clé de la nébuleuse terroriste.
En 2005, un expert en terrorisme et ancien procureur du ministère de la justice, John Loftus, révéla que le cerveau présumé des attentats de Londres du 7 Juillet, Haroon Rashid Aswat, était un élément du renseignement britannique.
Son complice Abu Hamza al-Masri, un membre influent du clergé à la mosquée notoire de Finsbury Park à Londres, a eu une longue et fructueuse relation avec le renseignement britannique. Il travaillait avec la section spéciale de la police britannique et le MI5. Il a dit à ses aides qu'il était "hors de portée de la loi britannique".
Dans les années 1990, le renseignement britannique a payé Al Qaïda l'équivalent de 160 000 dollars US pour aider à financer une tentative d'assassinat infructueuse sur la personne de Mouammar el-Kadhafi. Anas al-Liby, un membre du groupe al-Muqatila responsable de la tentative d'assassinat, a reçu l'asile politique en Grande-Bretagne et ce malgré ses liens avérés avec Al Qaïda.
Le MI5 (NdT: Military Intelligence 5ème section le contre-espionnage britannique, par opposition au MI6 qui est le service de renseignement et d'action extérieurs) a aussi travaillé avec le personnage clé d'Al Qaïda Abu Qatada. Grâce à la protection accordée par le renseignement britannique, Qatada fut capable d'échapper aux arrestations après les attaques terroristes du 11 Septembre 2001. Sa relation avec le MI5 a été confirmée par de nombreuses sources, incluant Bisher al-Rawi, un autre supposé membre du clergé radical musulman, qui a servi comme interprète au MI5 dans ses relations avec Qatada. A la suite des attaques de New York et de Washington, le MI5 a offert de sortir Qatada du pays et de l'aider à gagner l'Afghanistan.
Un autre imam important en Grande-Bretagne, Omar Bakri Mohammed, a aussi admis travailler en relations étroites avec le renseignement britannique. "Je pense que maintenant nous avons quelque chose qui s'appelle l'immunité publique", s'est-il vanté en 2001, après les attaques du 11 Septembre.
La posture prise d' "agent double" est particulièrement trompeuse. Il a été documenté de manière exhaustive que la CIA a créé l'illusion d'un groupe terroriste menaçant et puissant à partir du reliquat des moudjahidines afghans, la force mise en place pour sortir les Soviétiques d'Afghanistan avec une aide substantielle de l'Arabie Saoudite, du service de renseignement du Pakistan, l'ISI et des Etats-Unis.
Avant que la vérité ne soit balayée dans les oubliettes de la mémoire, la BBC et d'autres ont rapporté qu'Oussama Bin Laden était entraîné par la CIA. Oussama "n'a pas seulement investi une partie de ses propres ressources financières pour financer les brigades combattantes, mais il a aussi reçu une aide militaire et financière de la part des services de renseignement de l'Arabie Saoudite, du Pakistan et des Etats-Unis", a rapporté le magazine Forbes quelques jours après les attentats du 11 Septembre, avant même que le narratif officiel ait eu une chance de surclasser et d'assainir la réalité.
ABC News a rapporté que la CIA a financé, à hauteur de 3 milliards de dollars, Oussama et les moudjahidines, mais ce fait historique très inconvénient fut effacé des serveurs de "l'Opération Mockingbird".
En fait, Al Qaïda n'est même pas un groupe terroriste, mais simplement une campagne de propagande avec un homme de paille soigneusement élaborés, comme l'a dit Pierre Henri Bunel, un ancien agent du renseignement militaire français, à Wayne Madsen en 2005.
"La vérité est qu'il n'y a pas d'armée islamiste ou groupe terroriste qui s'appelle Al Qaïda ; n'importe quel membre informé de services de renseignement sait cela. Mais il y a une campagne de propagande pour faire croire au public à la présence d'une entité identifiée représentant "le diable", seulement afin d'unifier les spectateurs de télévision dans l'acceptance d'un leadership unifié pour la guerre mondiale contre le terrorisme. Le pays qui est derrière cette campagne de propagande sont les Etats-Unis et les lobbyistes pour la guerre des Etats-Unis contre le terrorisme ne sont exclusivement intéressés qu'à faire de l'argent," explique Bunel.
Feu l'ancien secrétaire du ministère des affaires étrangères britannique Robin Cook a également dit qu'Al Qaïda était une farce. Il a expliqué comment le nom "Al-Qaïda" se réferrait à une base de données des moudjahidines utilisée en Afghanistan (en arabe, la signification d'Al Qaïda est "la base"): "Vers la moitié des années 1980, Al Qaïda était une base de données localisée dans un ordinateur et dédiée aux communications du secrétariat de la Conférence Islamique", a dit Cook à la chambre (House of commons) peu avant sa mort.
La farce de "l'agent double" qui domine maintenant les manchettes de la presse est encore plus un non-sens propagandiste. Il n'y a pas d'Al Qaïda, du moins pas dans le sens communément assumé et continuellement clâmé par le gouvernement et les médias de l'establishment, mais au lieu de cela, un grand conglomérat de terroristes et d'hommes de paille essentiellement ineptes et ineffectifs qui sont contrôlés par la CIA, le renseignement britannique, le Mossad, le renseignement pakistanais et autres entités étatiques.
Le congrès a maintenant demandé le grand cirque d'enquête au sujet de la "fuite" qui a de manière supposée, exposée l'histoire de l'agent double de la CIA aux médias.
"L'histoire d'intrigue à haut risque et de secret ressemble à un script d'Hollywood, mais les membres du congrès et les anciens du renseignement ont été courroucés par l'exposition médiatique", a rapporté l'AFP Jeudi et "ont dénoncé les fuites aux organisation médiatiques qui ont révélées comment la CIA a déjoué un complot d'Al Qaïda par le moyen d'un espion infiltré dans un groupe terroriste, disant que la divulgation de ces détails pourraient mettre en danger le travail sensible de renseignement."
Au lieu de cela, ce sera exploité afin de restreindre l'information sur la véritable nature de la fausse guerre contre le terrorisme complètement fabriquée et sera utilisé pour faire passer des législations qui criminaliseront plus avant les lanceurs d'alerte et ceux qui recherchent la vérité.


14/05/2012
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