BONNE NOUVELLE ENFIN : Le Franco-Palestinien Salah Hamouri libéré dimanche
JERUSALEM - Le Franco-Palestinien Salah Hamouri sera libéré dimanche par Israël dans le cadre d'un échange de prisonniers palestiniens, a-t-on appris mercredi soir de sources officielles israéliennes.
Selon la deuxième chaîne de télévision israélienne, aucun membre du Hamas ne figure sur la liste de ce second contingent de 550 détenus palestiniens libérables dimanche, publiée par les services pénitentiaires israéliens.
Salah Hamouri, 26 ans, apparaît sous le numéro 524 sur la liste de 550 libérables dans le cadre d'un accord d'échange qui a permis la libération le 18 octobre du soldat israélien Gilad Shalit, également titulaire de la nationalité française.
Le rabbin Ovadia Yossef, dirigeant spirituel du parti orthodoxe israélien Shass, visé selon la justice israélienne par le projet d'assassinat pour lequel Salah Hamouri a été condamné, s'était dit favorable à sa libération, lors d'une rencontre dimanche avec l'ambassadeur de France en Israël, Christophe Bigot.
La France réclamait que le jeune homme, qui selon l'administration pénitentiaire israélienne devait retrouver la liberté en mars, soit relâché dans le cadre de cet échange.
On a eu un coup de fil de Paris on nous a dit +voilà il est sur la liste+, a déclaré à l'AFP la mère du détenu, Denise Hamouri.
C'est un conseiller du président (Nicolas Sarkozy) qui nous a prévenus, a-t-elle précisé, ajoutant: M. le consul (de France à Jérusalem) aussi nous a appelés.
On est un peu dans l'euphorie, a confié Mme Hamouri. Ces trois jours vont peut-être être plus longs que tous les moments qu'on a passés, a-t-elle dit.
Ce qui est important aussi à dire, c'est qu'il rentre à Jérusalem, à la maison, a-t-elle souligné.
Né à Jérusalem de mère française et de père palestinien, Salah Hamouri a été arrêté le 13 mars 2005 et reconnu coupable en 2008 par un tribunal militaire israélien de projet d'assassinat du rabbin Yossef. Condamné à sept ans de prison, il a toujours clamé son innocence.
Gilad Shalit a été libéré le 18 octobre après plus de cinq ans de détention dans la bande de Gaza dans le cadre d'un échange de prisonniers entre Israël et le mouvement islamiste Hamas.
Selon l'accord conclu avec le Hamas grâce à une médiation égyptienne, Israël a relâché un premier contingent de 477 détenus palestiniens et doit en libérer 550 autres dimanche.
Je me réjouis de la libération de Salah Hamouri, c'est le fruit de longues démarches depuis plusieurs semaines, a affirmé M. Bigot à l'AFP. Le diplomate a précisé qu'il s'était entretenu à deux reprises avec le jeune homme alors qu'il était en prison.
Le rabbin Ovadia Yossef a donné son accord écrit au président Nicolas Sarkozy par amitié pour la France. Il s'agit d'un geste de bienveillance et généreux qui n'allait pas de soi, a-t-il estimé.
Par ailleurs, un responsable israélien qui a requis l'anonymat a précisé à l'AFP qu'aucun des détenus qui seront libérés dimanche n'avait de sang sur le mains, autrement dit pris part à des attentats anti-israéliens ayant fait des victimes.
Le choix des noms a été le fait d'Israël seul, il n'y avait pas de nécessité de négocier, car ces libérations faisaient partie de l'accord qui a été conclu avec l'Egypte, a ajouté ce responsable.
Selon lui, cet accord prévoit qu'il s'agisse de prisonniers de sécurité et non pas de détenus de droit commun et que la priorité soit accordée aux détenus du Fatah, le mouvement du président palestinien Mahmoud Abbas.
Selon la deuxième chaîne de télévision israélienne, aucun membre du Hamas ne figure sur la liste de ce second contingent de 550 détenus palestiniens libérables dimanche, publiée par les services pénitentiaires israéliens.
Salah Hamouri, 26 ans, apparaît sous le numéro 524 sur la liste de 550 libérables dans le cadre d'un accord d'échange qui a permis la libération le 18 octobre du soldat israélien Gilad Shalit, également titulaire de la nationalité française.
Le rabbin Ovadia Yossef, dirigeant spirituel du parti orthodoxe israélien Shass, visé selon la justice israélienne par le projet d'assassinat pour lequel Salah Hamouri a été condamné, s'était dit favorable à sa libération, lors d'une rencontre dimanche avec l'ambassadeur de France en Israël, Christophe Bigot.
La France réclamait que le jeune homme, qui selon l'administration pénitentiaire israélienne devait retrouver la liberté en mars, soit relâché dans le cadre de cet échange.
On a eu un coup de fil de Paris on nous a dit +voilà il est sur la liste+, a déclaré à l'AFP la mère du détenu, Denise Hamouri.
C'est un conseiller du président (Nicolas Sarkozy) qui nous a prévenus, a-t-elle précisé, ajoutant: M. le consul (de France à Jérusalem) aussi nous a appelés.
On est un peu dans l'euphorie, a confié Mme Hamouri. Ces trois jours vont peut-être être plus longs que tous les moments qu'on a passés, a-t-elle dit.
Ce qui est important aussi à dire, c'est qu'il rentre à Jérusalem, à la maison, a-t-elle souligné.
Né à Jérusalem de mère française et de père palestinien, Salah Hamouri a été arrêté le 13 mars 2005 et reconnu coupable en 2008 par un tribunal militaire israélien de projet d'assassinat du rabbin Yossef. Condamné à sept ans de prison, il a toujours clamé son innocence.
Gilad Shalit a été libéré le 18 octobre après plus de cinq ans de détention dans la bande de Gaza dans le cadre d'un échange de prisonniers entre Israël et le mouvement islamiste Hamas.
Selon l'accord conclu avec le Hamas grâce à une médiation égyptienne, Israël a relâché un premier contingent de 477 détenus palestiniens et doit en libérer 550 autres dimanche.
Je me réjouis de la libération de Salah Hamouri, c'est le fruit de longues démarches depuis plusieurs semaines, a affirmé M. Bigot à l'AFP. Le diplomate a précisé qu'il s'était entretenu à deux reprises avec le jeune homme alors qu'il était en prison.
Le rabbin Ovadia Yossef a donné son accord écrit au président Nicolas Sarkozy par amitié pour la France. Il s'agit d'un geste de bienveillance et généreux qui n'allait pas de soi, a-t-il estimé.
Par ailleurs, un responsable israélien qui a requis l'anonymat a précisé à l'AFP qu'aucun des détenus qui seront libérés dimanche n'avait de sang sur le mains, autrement dit pris part à des attentats anti-israéliens ayant fait des victimes.
Le choix des noms a été le fait d'Israël seul, il n'y avait pas de nécessité de négocier, car ces libérations faisaient partie de l'accord qui a été conclu avec l'Egypte, a ajouté ce responsable.
Selon lui, cet accord prévoit qu'il s'agisse de prisonniers de sécurité et non pas de détenus de droit commun et que la priorité soit accordée aux détenus du Fatah, le mouvement du président palestinien Mahmoud Abbas.
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