Des incertitudes sur l’avenir politique de l’Arabie saoudite
La démission du Conseil d’allégeance de Talal Ebn Abdelaziz, l’un des princes les plus influents de la famille royale, a créé des dissensions, au sein du pouvoir saoudien, rendant la famille des Al-e Saoud, de plus en plus inquiète, quant à l’avenir politique du pays.
La chaîne Al-Alam, dans son analyse, à ce propos, a souligné que c’est après la mort du prince héritier de l’Arabie saoudite que les différends sur la transmission du pouvoir sont apparus. Les princes arabes ont commencé à se disputer entre eux, pour obtenir le statut de prince héritier, à tel point qu’ils ont mis en péril la situation politique et sécuritaire du pays, en créant une véritable guerre du pouvoir, ont signalé quelques sources d’information. Cependant, des observateurs politiques, dans leur analyse des divergences qui existent, au sein de la famille royale, affirment que le courant Wahhabite essaie de s’imposer, en renforçant sa présence, dans la pyramide du pouvoir, pour influer sur les politiques du pays, en sa propre faveur, et nuire aux autres branches de l’Islam, notamment, les Chiites, par exemple. D’après Chiie News, même si la famille des Al-e Saoud essaie de donner une image apaisée du pays, on ne peut pas nier le fait que l’Arabie saoudite est au seuil d’une grande révolution. L’insatisfaction du peuple, face à la corruption qui existe, au sein du pouvoir, ainsi que la répression des protestataires, par les forces sécuritaires, mettent, clairement, en évidence qu’à un moment où la région est le théâtre des plus grands bouleversements et du renversement des dictateurs, l’Arabie saoudite ne pourra pas, non plus, échapper à ce grand chambardement. Le même rapport ajoute que la famille des Al-e Saoud n’arrive plus à cacher les dissensions intérieures entre les princes candidats à la succession, ni la corruption, et ce sont ces deux facteurs qui peuvent changer l’avenir politique du pays. La chaîne libanaise, Al-manar, aussi, dans une analyse, à propos de la guerre du pouvoir, en Arabie saoudite, a prévu des jours difficiles, pour le pays, soulignant que des soulèvements, à l’intérieur du pays, notamment, dans les provinces de l’Est, et les divergences, au sein de la famille royale, ont créé de véritables incertitudes, quant à l’avenir politique du pays. D’après des sources fiables, le roi Abdallah est confronté à des grandes difficultés, pour apporter les réformes demandées par les groupes religieux et les réformistes, et peut, difficilement, faire face aux changements survenus dans la région. Les différends, au sein du pouvoir, et, surtout, entre le prince Sultan, le prince Nayef et le roi Abdallah, apparaissent au grand jour, dans leur prise de position, face aux problèmes de la région, à Bahreïn, en Syrie et au Yémen, ainsi que dans leurs relations avec l’Iran. On peut dire que cette guerre du pouvoir, au sein de la famille royale, pour s’approprier les richesses du pays, a de graves conséquences, sur la société et la vie quotidienne du peuple, qui vit dans la misère et qui considère la famille des Al-e Saoud comme seule responsable de ses maux. Selon Reuters, chaque membre de la famille royale reçoit, tous les mois, depuis sa naissance, une somme importante d’argent, somme qui a atteint les 2 milliards de dollars, en 1996, alors que le budget total du pays, cette année, ne dépassait pas les 40 milliards de dollars. Des documents dévoilent cette scandaleuse vérité que la plus grande partie du budget du pays, au cours des deux décennies précédentes, a été consacrée au bien être de la famille royale. Les mêmes documents montrent que cette injustice a eu de graves conséquences économiques et sociales. En outre, chaque membre de la famille royale, à part le salaire qu’il reçoit, tous les mois, s’approprie, régulièrement, des sommes colossales d’argent. Le roi Abdallah, depuis 2005, l’année où il est monté sur le trône, a essayé d’apporter de prétendus changements au pays, changements qui n’ont jamais eu lieu, pérennisant, ainsi, le mécontentement provoqué par la corruption et les problèmes économiques.
La chaîne Al-Alam, dans son analyse, à ce propos, a souligné que c’est après la mort du prince héritier de l’Arabie saoudite que les différends sur la transmission du pouvoir sont apparus. Les princes arabes ont commencé à se disputer entre eux, pour obtenir le statut de prince héritier, à tel point qu’ils ont mis en péril la situation politique et sécuritaire du pays, en créant une véritable guerre du pouvoir, ont signalé quelques sources d’information. Cependant, des observateurs politiques, dans leur analyse des divergences qui existent, au sein de la famille royale, affirment que le courant Wahhabite essaie de s’imposer, en renforçant sa présence, dans la pyramide du pouvoir, pour influer sur les politiques du pays, en sa propre faveur, et nuire aux autres branches de l’Islam, notamment, les Chiites, par exemple. D’après Chiie News, même si la famille des Al-e Saoud essaie de donner une image apaisée du pays, on ne peut pas nier le fait que l’Arabie saoudite est au seuil d’une grande révolution. L’insatisfaction du peuple, face à la corruption qui existe, au sein du pouvoir, ainsi que la répression des protestataires, par les forces sécuritaires, mettent, clairement, en évidence qu’à un moment où la région est le théâtre des plus grands bouleversements et du renversement des dictateurs, l’Arabie saoudite ne pourra pas, non plus, échapper à ce grand chambardement. Le même rapport ajoute que la famille des Al-e Saoud n’arrive plus à cacher les dissensions intérieures entre les princes candidats à la succession, ni la corruption, et ce sont ces deux facteurs qui peuvent changer l’avenir politique du pays. La chaîne libanaise, Al-manar, aussi, dans une analyse, à propos de la guerre du pouvoir, en Arabie saoudite, a prévu des jours difficiles, pour le pays, soulignant que des soulèvements, à l’intérieur du pays, notamment, dans les provinces de l’Est, et les divergences, au sein de la famille royale, ont créé de véritables incertitudes, quant à l’avenir politique du pays. D’après des sources fiables, le roi Abdallah est confronté à des grandes difficultés, pour apporter les réformes demandées par les groupes religieux et les réformistes, et peut, difficilement, faire face aux changements survenus dans la région. Les différends, au sein du pouvoir, et, surtout, entre le prince Sultan, le prince Nayef et le roi Abdallah, apparaissent au grand jour, dans leur prise de position, face aux problèmes de la région, à Bahreïn, en Syrie et au Yémen, ainsi que dans leurs relations avec l’Iran. On peut dire que cette guerre du pouvoir, au sein de la famille royale, pour s’approprier les richesses du pays, a de graves conséquences, sur la société et la vie quotidienne du peuple, qui vit dans la misère et qui considère la famille des Al-e Saoud comme seule responsable de ses maux. Selon Reuters, chaque membre de la famille royale reçoit, tous les mois, depuis sa naissance, une somme importante d’argent, somme qui a atteint les 2 milliards de dollars, en 1996, alors que le budget total du pays, cette année, ne dépassait pas les 40 milliards de dollars. Des documents dévoilent cette scandaleuse vérité que la plus grande partie du budget du pays, au cours des deux décennies précédentes, a été consacrée au bien être de la famille royale. Les mêmes documents montrent que cette injustice a eu de graves conséquences économiques et sociales. En outre, chaque membre de la famille royale, à part le salaire qu’il reçoit, tous les mois, s’approprie, régulièrement, des sommes colossales d’argent. Le roi Abdallah, depuis 2005, l’année où il est monté sur le trône, a essayé d’apporter de prétendus changements au pays, changements qui n’ont jamais eu lieu, pérennisant, ainsi, le mécontentement provoqué par la corruption et les problèmes économiques.
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