Erdogan met en garde le régime syrien
Ce dimanche premier mai le premier ministre turc Recep Erdogan s'est exprimé à la télé turque à propos de la Syrie.
Il a rappelé qu'après les évènements dans les pays arabe en Afrique du Nord, il s'était entretenu avec le président syrien Bashar al-Assad sur la manière d'éviter que cela se produise en Syrie et de la nécessité de lever l'état d'urgence en vigueur dans le pays depuis 48 ans. Il a dit que Bashar n'avait pas montré d'opposition mais qu’il a échoué à prendre les mesures nécessaires ce qui a fait que nous en soyons arrivés là.
Il a affirmé qu'il ne voulait pas de séparation en Syrie et que l'Etat syrien devait éviter tout ce qui pourrait y conduire, qu'il s'agissait de la liberté du peuple syrien et que Bashar al-Assad devrait se montrer plus déterminé dans sa lutte pour la liberté de son peuple. Il a ajouté que l'état d'urgence a été levé mais la décision n'a pas été mis en application et que la tuerie devrait s'arrêter.
Il a mis en garde que le conseil de sécurité pourrait être saisi et que la Syrie ne devrait pas connaître de massacre comme celui de Hama. Il a exhorté le président syrien de faire attention, car si de tel massacre venait à se produire, la réaction internationale serait dure et la Turquie ne manquerait pas à ses responsabilités dans une telle situation.
Il a aussi rappelé que la Turquie a ouvert ses frontières devant les gens fuyant la Syrie, et il s'est déclaré disposé à aider la Syrie dans son combat contre la corruption.
Par ailleurs on parle en Turquie d’un plan « B » en cas de flux massif de réfugiés syriens, similaire au flux des réfugiés irakiens lors de la première guerre du Golfe, un plan qui consisterait à établir une zone de refuge pour ces populations sur le côté syrien des frontières, une zone dont les besoins sécuritaires et humanitaires seraient assurées par la Turquie.
De son côté le ministre des affaire étrangères turc, Ahmet Davutoðlu, a lui aussi affirmé son opposition à une intervention étrangère, tout en confirmant le droit de chacun à vivre en paix dans on pays, et en appelant le président syrien à ne pas manquer cette occasion pour établir un dialogue avec son peuple.
Il a rappelé qu'après les évènements dans les pays arabe en Afrique du Nord, il s'était entretenu avec le président syrien Bashar al-Assad sur la manière d'éviter que cela se produise en Syrie et de la nécessité de lever l'état d'urgence en vigueur dans le pays depuis 48 ans. Il a dit que Bashar n'avait pas montré d'opposition mais qu’il a échoué à prendre les mesures nécessaires ce qui a fait que nous en soyons arrivés là.
Il a affirmé qu'il ne voulait pas de séparation en Syrie et que l'Etat syrien devait éviter tout ce qui pourrait y conduire, qu'il s'agissait de la liberté du peuple syrien et que Bashar al-Assad devrait se montrer plus déterminé dans sa lutte pour la liberté de son peuple. Il a ajouté que l'état d'urgence a été levé mais la décision n'a pas été mis en application et que la tuerie devrait s'arrêter.
Il a mis en garde que le conseil de sécurité pourrait être saisi et que la Syrie ne devrait pas connaître de massacre comme celui de Hama. Il a exhorté le président syrien de faire attention, car si de tel massacre venait à se produire, la réaction internationale serait dure et la Turquie ne manquerait pas à ses responsabilités dans une telle situation.
Il a aussi rappelé que la Turquie a ouvert ses frontières devant les gens fuyant la Syrie, et il s'est déclaré disposé à aider la Syrie dans son combat contre la corruption.
Par ailleurs on parle en Turquie d’un plan « B » en cas de flux massif de réfugiés syriens, similaire au flux des réfugiés irakiens lors de la première guerre du Golfe, un plan qui consisterait à établir une zone de refuge pour ces populations sur le côté syrien des frontières, une zone dont les besoins sécuritaires et humanitaires seraient assurées par la Turquie.
De son côté le ministre des affaire étrangères turc, Ahmet Davutoðlu, a lui aussi affirmé son opposition à une intervention étrangère, tout en confirmant le droit de chacun à vivre en paix dans on pays, et en appelant le président syrien à ne pas manquer cette occasion pour établir un dialogue avec son peuple.
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