Gibbs: Cheney mal placé pour prodiguer des conseils sur le terrorisme
La Maison Blanche a vertement répliqué lundi aux critiques de l'ancien vice-président Dick Cheney en soulignant qu'il était mal placé pour prodiguer des conseils sur l'économie et la lutte contre
le terrorisme.
Le porte-parole d'Obama, Robert Gibbs, a déclaré que le nouveau président américain considère que protéger les Américains représente "la tâche la plus grave dont il ait à s'acquitter chaque jour de la semaine".
Il a objecté à Cheney que l'administration Bush n'avait pas réussi pendant sept ans à faire juger les auteurs présumés des attentats du 11-Septembre ni les autres suspects de terrorisme.
Grâce aux changements annoncés par Obama, "je pense que les Américains, avec cette administration, verront ces individus soumis à la justice certaine
et rapide qui n'a pas été rendue contre eux par la précédente administration", a encore dit Gibbs.
Cheney, vice-président de George W. Bush pendant huit ans jusqu'au 20 janvier, est sorti de sa retraite dimanche pour une première interview.
Il y a fustigé les politiques économiques du nouveau président Barack Obama et l'a accusé d'avoir rendu le pays plus vulnérable en revenant sur les méthodes de
détention et d'interrogatoire des suspects du soi-disant terrorisme.
le terrorisme.
Le porte-parole d'Obama, Robert Gibbs, a déclaré que le nouveau président américain considère que protéger les Américains représente "la tâche la plus grave dont il ait à s'acquitter chaque jour de la semaine".
Il a objecté à Cheney que l'administration Bush n'avait pas réussi pendant sept ans à faire juger les auteurs présumés des attentats du 11-Septembre ni les autres suspects de terrorisme.
Grâce aux changements annoncés par Obama, "je pense que les Américains, avec cette administration, verront ces individus soumis à la justice certaine
et rapide qui n'a pas été rendue contre eux par la précédente administration", a encore dit Gibbs.
Cheney, vice-président de George W. Bush pendant huit ans jusqu'au 20 janvier, est sorti de sa retraite dimanche pour une première interview.
Il y a fustigé les politiques économiques du nouveau président Barack Obama et l'a accusé d'avoir rendu le pays plus vulnérable en revenant sur les méthodes de
détention et d'interrogatoire des suspects du soi-disant terrorisme.
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