"Israël" craint encore plus de divergences avec l'administration d'Obama
Leila Mazboudi
Les associés du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu craignent que celui-ci ne surprenne le président américain Barack Obama de par ses demandes imprévues, lors de la rencontre prévue à Washington le 18 mai prochain.
Selon une source politique israélienne citée par le quotidien israélien Ha'Aretz, la nouvelle administration israélienne appréhende le plus que les divergences de point de vues entre les deux hommes ne soient exposées au grand jour, comme par exemple lors de la conférence de presse conjointe qui doit se tenir à l'issue de la réunion.
Israël s'est déjà vu opposer une fin de non recevoir de la part de la Maison blanche sur le dossier nucléaire iranien. Selon le Jérusalem Post, Elle lui a refusé la requête de fixer un délai pour ses prochains pourparlers avec Téhéran, estimant par la voix du porte-parole de son conseil de sécurité, Mike Hammer que les efforts dans ce sens pourraient prendre beaucoup de temps.
Dès lors, le bureau du Premier ministre israélien se prépare pour mettre au point le scénario adéquat, afin que Netanyahou présente ses idées sans équivoque, notamment celles liées à la poursuite des constructions en Cisjordanie Occupée et à l'installation de centaines d'avant-postes illégaux, ainsi qu'aux négociations avec les Palestiniens, et ce sans susciter pour autant de réactions contestatrices de la part d'Obama.
Parallèlement, un certains nombre de ses conseillers sont en train de lui préparer le terrain, procédant à des réunions avec de hauts fonctionnaires de la Maison Blanche. A leur tête, son conseiller stratégique, Ron Dermer va s'en charger, en marge de la conférence annuelle qui se tiendra la semaine prochaine à Washington, de l'imposant lobby pro-israélien le Comité américain pour les affaires publiques d'Israël ( AIPAC) connu pour être d'un grand soutien pour le parti Likoud d'où est issu le Premier ministre israélien actuel.
Toujours selon le Ha'Aretz, ces appréhensions israéliennes ont été éveillées par la demande présentée par l'administration d'Obama au Congrès américain, sollicitant l'amendement de la loi américaine pour permettre à l'Autorité palestinienne de recevoir l'aide fédérale, même si le Hamas rejoint son gouvernement.
Les associés du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu craignent que celui-ci ne surprenne le président américain Barack Obama de par ses demandes imprévues, lors de la rencontre prévue à Washington le 18 mai prochain.
Selon une source politique israélienne citée par le quotidien israélien Ha'Aretz, la nouvelle administration israélienne appréhende le plus que les divergences de point de vues entre les deux hommes ne soient exposées au grand jour, comme par exemple lors de la conférence de presse conjointe qui doit se tenir à l'issue de la réunion.
Israël s'est déjà vu opposer une fin de non recevoir de la part de la Maison blanche sur le dossier nucléaire iranien. Selon le Jérusalem Post, Elle lui a refusé la requête de fixer un délai pour ses prochains pourparlers avec Téhéran, estimant par la voix du porte-parole de son conseil de sécurité, Mike Hammer que les efforts dans ce sens pourraient prendre beaucoup de temps.
Dès lors, le bureau du Premier ministre israélien se prépare pour mettre au point le scénario adéquat, afin que Netanyahou présente ses idées sans équivoque, notamment celles liées à la poursuite des constructions en Cisjordanie Occupée et à l'installation de centaines d'avant-postes illégaux, ainsi qu'aux négociations avec les Palestiniens, et ce sans susciter pour autant de réactions contestatrices de la part d'Obama.
Parallèlement, un certains nombre de ses conseillers sont en train de lui préparer le terrain, procédant à des réunions avec de hauts fonctionnaires de la Maison Blanche. A leur tête, son conseiller stratégique, Ron Dermer va s'en charger, en marge de la conférence annuelle qui se tiendra la semaine prochaine à Washington, de l'imposant lobby pro-israélien le Comité américain pour les affaires publiques d'Israël ( AIPAC) connu pour être d'un grand soutien pour le parti Likoud d'où est issu le Premier ministre israélien actuel.
Toujours selon le Ha'Aretz, ces appréhensions israéliennes ont été éveillées par la demande présentée par l'administration d'Obama au Congrès américain, sollicitant l'amendement de la loi américaine pour permettre à l'Autorité palestinienne de recevoir l'aide fédérale, même si le Hamas rejoint son gouvernement.
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