Israël veut 20 milliards$ et Barak craint l’éloignement de l’Egypte
"Israël" pourrait demander une somme supplémentaire de 20 milliards de dollars en assistance militaire aux Etats-Unis afin de se prémunir contre les soi-disant menaces potentielles qui pourraient se développer à la lumière des récents changements survenus au Proche Orient, c’est ce qu’a déclaré le ministre israélien de la guerre Ehud Barak, dans une interview publiée mardi par le Wall Street Journal.
Barak a également dit craindre que la nouvelle direction égyptienne s'éloigne du soi-disant traité de paix signé en 1979.
Barak a révélé dans ce sens qu’il a parlé avec le chef du conseil militaire d'Egypte, le maréchal Mohamed Hussein Tantawi, (qui remplace Hosni Moubarak), pour lui dire que « les deux pays partageaient la responsabilité d’éviter que nos jeunes se battent à nouveau. »
Barak a ajouté au Wall Street Journal que les autorités égyptiennes l'ont dit que « l'hostilité envers les Etats-Unis et Israël motiveront les électeurs égyptiens ».
S'agissant de l'Iran, Barak a déclaré qu'il était trop tôt pour dire si oui ou non la République islamique exploite les changements régionaux à son profit, ajoutant qu'avant les révoltes, les dirigeants arabes « faisaient déjà des paris sur qui est le plus fort dans la région, l'Iran ou les Etats-Unis. »
Barak a également dit craindre que la nouvelle direction égyptienne s'éloigne du soi-disant traité de paix signé en 1979.
Barak a révélé dans ce sens qu’il a parlé avec le chef du conseil militaire d'Egypte, le maréchal Mohamed Hussein Tantawi, (qui remplace Hosni Moubarak), pour lui dire que « les deux pays partageaient la responsabilité d’éviter que nos jeunes se battent à nouveau. »
Barak a ajouté au Wall Street Journal que les autorités égyptiennes l'ont dit que « l'hostilité envers les Etats-Unis et Israël motiveront les électeurs égyptiens ».
S'agissant de l'Iran, Barak a déclaré qu'il était trop tôt pour dire si oui ou non la République islamique exploite les changements régionaux à son profit, ajoutant qu'avant les révoltes, les dirigeants arabes « faisaient déjà des paris sur qui est le plus fort dans la région, l'Iran ou les Etats-Unis. »
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