Lady Di: Témoignage choc d’un ex agent du Mossad sur WikiStrike
Notre équipe se permet, vue l’importance de l’information qui suit, de reprendre les révélations du site d’information Wikistrike qui risque de créer une bombe chez les anglo-saxons.
Ce qui va suivre ici est une information à haut risque qui pourrait entraîner prochainement la fermeture du site, mais devant l’importance d’une telle information, notre décision ne s’est pas fait attendre ; un ancien agent du Mossad nous a adressé un témoignage capital, l’équipe de Wikistrike remercie ici cet homme pour lever le voile sur l’affaire de la princesse Diana et sur son supposé « accident »…
Le privilège insolent de posséder des services secrets n’est pas seulement l’apanage de quelques pays qui s’arrogent le droit de croire encore qu’ils représentent de grandes puissances, ce privilège est un droit qu’ont repris par mimétisme stratégique les firmes internationales. Ce n’est pas un luxe qu’elles se sont octroyé, mais bien une nécessité fondamentale pour se prémunir de l’espionnage industriel tout en ayant les moyens de l’appliquer pour leur propre compte. Si bien qu’au fil du temps ce sont devenus de véritables services de renseignement omnipotents, capables de produire.
(…)
J’ai été un de ses agents de renseignements, j’y ai perdu mon âme, et depuis pas mal d’années maintenant j’essaie de la regagner… La meilleure définition de l’informateur qui m’ait été donné d’entendre fut formulé par une vieille connaissance, un ancien agent secret du Mossad, Uzi Mahnaimi :
Une affaire d’informateur…
« Vous passez des jours, voir des heures, avec lui ; suivez ses progrès pas à pas, vous l’aidez, vous l’assistez dans toutes ses démarches, vous regardez ses photos de famille, vous connaissez les prénoms et l’âge de ses enfants. Et pourtant, l’informateur n’est pas un être humain ; il ne faudra jamais le considérer comme tel. L’informateur n’est qu’une arme, le moyen d’atteindre une cible, un peu comme une Kalachnikov, point à la ligne. S’il faut l’envoyer à l’abattoir, n’y réfléchissez pas à deux fois. L’informateur n’est pas une personne. C’est un numéro. »
Et si vous saviez le nombre de blaireaux qui remplissent cette fonction à la perfection…
L’espionnage est une affaire d’intelligence et de secrets partouzant derrière une porte blindée. Pour l’ouvrir, aucune balle ni aucune tête chercheuse ne suffiraient, même pendant une fusillade de mille ans. Que faut-il faire ? Réponse : savoir persuader son geôlier par le raisonnement, la flatterie manipulatoire, et, s’il le faut, par la menace.
Je regrette l’ancien temps de ma jeunesse, se tenir constamment informé des alliances politiques, bancaires, économiques, aussi mouvantes soient-elles, savoir quel marché va tomber, vendre des informations essentielles, être reçu comme un roi dans des hôtels de luxe où se côtoient négociants en armes et contacts douteux.
Un jour, je fus mêlé au destin tragique de Diana, la princesse de Galles, et de son amant, Dodi al-Fayed, playboy et fils du riche propriétaire du Ritz, Mohammed al-Fayed. Le Mossad, à l’époque, avait décidé de recruter des informateurs permanents au Ritz. C’était une équipe de professionnels dont je faisais partie. On saisissait au vol les propos de ses hôtes, on observait leurs attitudes, notant leurs allées et venues, relevant l’identité des personnes qu’ils fréquentaient. Souvent, les paparazzis agglutinés en permanence devant le Ritz pour mitrailler les prestigieux clients de l’établissement posaient problème. Une armée d’appareils photographiques est toujours un sérieux problème. Des mesures prudentielles s’imposaient, nos visages n’existent pas et n’existeront jamais, peut importe ce qu’on doit faire pour cela.
Les jours passaient, les clients arabes et surtout saoudiens se faisaient nombreux. Je me rappelle que le personnel de l’hôtel ne les aimait pas, ils étaient grossiers, vulgaires, et claquaient du doigt pour appeler, hurlant si le service n’était pas assez rapide à leur goût. On avait besoin de recruter un informateur non juif, on fit donc une « approche froide » ; en général, pour recruter un informateur, on dit souvent qu’on travaille pour une société désireuse de réactualiser sa banque de données et qui paye un bon prix ceux qui l’y aident. On ajouta à celui que l’on avait jugé apte que nombre de clients du Ritz détenaient des informations susceptibles d’intéresser la société que l’on représentait. L’homme mordit rapidement à l’hameçon…L’argent est roi en son royaume.
L’homme en question était fragile, on le harcelait, il noyait son angoisse dans l’alcool. On lui mettait la pression, il arriva un moment où il ne pouvait plus reculer, sinon on balançait à la direction de l’hôtel les informations confidentielles qu’il donnait aux paparazzis pour de belles petites rémunérations de fouine. On le tenait… les dossiers qu’on avait sur sa vie étaient une chose qui suffisait à rappeler à cette « chose », chef adjoint de la sécurité de l’hôtel, ce qu’on exigeait de lui.
Le dimanche 31 août 1997, à 1 heure du matin environ, un accident de voiture se produisit dans le tunnel de l’Alma : une Mercedes roulant à grande vitesse percuta un pilier de béton armé. Les morts, au nombre de trois, n’étaient autres que la princesse Diana, mère du futur roi d’Angleterre ; Dodi al-Fayed, fils de Mohammed al-Fayed, le propriétaire égyptien des magasins Harrod’s et du Ritz ; et le chauffeur de la Mercedes, notre informateur, Henri Paul. Quant au garde du corps, il était grièvement blessé.
Très peu de gens, hors des services secrets israéliens, ont une idée du rôle joué par le Mossad dans la fin tragique de la femme la plus célèbre du monde, ainsi que dans les agences de notation à travers le monde. La méthode est la même : vanité, arrogance, pouvoir, manipulations, secrets. Les humains sont si stupides, personne ne se pose jamais de questions, l’opinion publique a accepté la version officielle de l’accident sans relever les incohérences monstrueuses du dossier.
Seul un homme, Mohammed al-Fayed, père de la victime, a quant à lui échapper à cette règle ; cet homme tenace, dont le fils a été lâchement assassiné, possède un cerveau et posa à l’époque les bonnes questions qui bien sûr restèrent sans réponse :
« Pourquoi a-t-il fallu une heure quarante pour conduire la princesse à l’hôpital ? Pourquoi certains photographes n’ont-ils pas restitué les photos prises sur place ? Pourquoi y a-t-il eu un cambriolage cette nuit-là au domicile londonien d’un des paparazzi ? Pourquoi les caméras de télévision en circuit fermé de ce quartier de Paris n’ont-elles pas produit une seule image ? Pourquoi les caméras de contrôle de la circulation n’étaient-elles pas branchées ? Pourquoi le théâtre de l’accident, au lieu d’être isolé, a-t-il été rouvert à la circulation au bout de quelques heures ? Pourquoi, parmi les paparazzis massés à l’extérieur du Ritz, y en avait-il un dont l’équipement était celui d’un photographe d’actualités ? Et qui sont les deux hommes non identifiés qui, après s’être mêlés à la foule des badauds, se sont retrouvés plus tard au bar du Ritz ? Ils ont passé commande en anglais, sans cesser d’observer et d’écouter ce qui se passait, avec une attention soutenue. »
La vérité est que c’est moi qui ais pris le contrôle à distance du système électronique de la Mercedes. Ensuite, cela fut un véritable jeu d’enfants, comme diriger une voiture téléguidée, de faire en sorte que…d’un seul coup…
Le Prince Philip l’a tué, avec l’aide du M16
L’assassinat de Lady Diana a été commandité par la Couronne d’Angleterre, et plus particulièrement par le prince Philip, duc d’Edimbourg, et le contrat a été donné au MI6, service de renseignement extérieur du Royaume-Uni et au Mossad. La famille royale d’Angleterre ne voulait pas d’un prétendant au trône d’origine arabe, voir même musulman…
Je demande pardon à Mohammed al-Fayed pour ce crime, ce que je faisais c’était pour l’argent et pour rien d’autre ; je sais que mes excuses ne valent rien, mais j’espère me racheter aux yeux de Dieu en révélant ce que je sais, et n’oubliez jamais ceci :Le racisme n’est pas un défaut, c’est une maladie.
Tout ce qui est écrit ici est la pure vérité, cela a été confirmé par Thomas Gordon, journaliste d’investigation gallois, spécialiste des services secrets du monde entier, il a publié une quarantaine de livres dans ce domaine, ainsi que par beaucoup d’autres journalistes spécialisés, et aussi par un membre de la gendarmerie nationale travaillant pour le Mossad.
L’équipe de Wikistrike est fier d’appartenir à un des derniers sites internet où la vérité survit, et nous tenons à remercier ici Mr Karl Weizmann d’avoir contacter le site Wikistrike en reconnaissance de notre travail et de notre dévouement malgré les menaces perpétuelles dont nous faisons l’objet. Et nous vous donnons ici des informations capitales sur le Mossad, peut-être plus anecdotiques :
Les directeurs généraux du Mossad
1951-1952 Reuven Shiloah
1952-1963 Isser Harel
1963-1968 Meir Amit
1968-1974 Zvi Zamir
1974-1982 Yitzhak Hofi
1982-1990 Nahum Admoni
1990-1996 Shabtai Shavit
1996-1998 Danny Yatom
1998-2002 Efraim Halevy
2002-2010 Meïr Dagan
2010-à nos jours Tamir Pardo
Lexique du Mossad :
AL……………….Unité spéciale israélienne opérant
clandestinement aux Etats-Unis
Aman…………….service israélien de renseignement militaire
APM……………..Avtahat Peylut Medinit, division de
sécurité intérieure du Mossad
Approche froide….Approche visant à recruter un informateur
étranger
couverture légère…couverture diplomatique d’un katsa
dardasim………….agents opérant en Chine
katsa………………agent d’opération du Mossad
kidon……………...tueur du Mossad
lakam……………..Bureau pour les relations scientifiques
du ministère israélien de la Défense
légende……………fausse biographie attribuée à un katsa
mabuah……………informateur non-juif
mehabelim………...terroristes
melukha……………Département de recrutement
memuneh…………..titre donné au directeur général du Mossad
miketel……………..micro permettant d’intercepter ou
enregistrer les coups de téléphone
mishlashim…………boîte aux lettres où un agent peut laisser
où recevoir des informations
sayanim…………….juifs volontaires pour aider le Mossad
Shin Beth…………..Sherout Bitakhon, service de sécurité intérieure
(équivalent israélien du FBI)
Yahalomin…………membres de l’unité spéciale du Mossad chargée
De la communication avec les katsas
Karl Weizmann réside aujourd’hui à Ashdod, en Israël, sous une nouvelle identité. Il a arrêté ses activités de renseignement et se consacre aujourd’hui à l’écriture. Le nom de K. Weizmann est évidemment un pseudonyme utilisé pour des raisons de sécurité.
Wikistrike demande la réouverture du dossier Lady Diana, compte tenu des nouveaux éléments apportés à l’opinion publique. Nous tenons à apporter ici notre affection et notre soutien à Mr Mohammed al-Fayed, qui s’est battu avec ténacité pour la vérité sur la mort de Lady Diana et de son fils Dodi al-Fayed.
Film interdit : La censure seule moyen de défense
"Unlawful Killing", film-documentaire, financé par Mohamed Al Fayed, le père milliardaire de l'amant de Diana, sensé dévoiler une supposée vérité sur la mort tragique de la princesse Diana et de Dodi Al-Fayed. a été définitivement mis au placard par les producteurs. La raison ? L'impossibilité pour eux d'obtenir les assurances qui les auraient protégés en cas de poursuites judiciaires sur le contenu du film.
Trop risqué
"Unlawful Killing" devait sortir en salles aux Etats-Unis et dans de nombreux autres pays le 31 août prochain, pour marquer le 15ème anniversaire de la mort de Diana. Réalisé par le Britannique Keith Allen, le documentaire n'a pas pu trouver de distributeur en raison de son contenu polémique. Selon le président de la société de production de Mohamed Al Fayed, aucun assureur n'a souhaité prendre le risque de couvrir le film pour le Royaume-Uni ou la France, par exemple, alors que le film ne devait même pas, dans un premier temps, sortir dans ces pays.
Au Royaume-Uni, "Unlawful Killing" n'avait pas obtenu l'autorisation d'être projeté au cinéma sans la mise en place de 87 coupes, afin de se plier aux lois sur la diffamation du pays. Car le film critique la famille royale et remet en question une enquête de 2007 qui avait conclu que la mort de Lady Di et Mohamed Al-Fayed était le résultat de la négligence du chauffeur de leur voiture et du comportement dangereux des paparazzis. Selon le réalisateur, qui a suivi le déroulement de l'enquête, une conspiration serait au coeur de l'affaire et les médias britanniques s'en seraient rendus complices.
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