Lavrov hostile à des scénarios musclés en politique internationale
La Russie n'accepte pas de scénarios musclés en politique internationale et ne voudrait pas que l'Otan se transforme en "chirurgien mondial" qui applique le scénario de l'opération libyenne dans d'autres pays, a indiqué le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov.
"On refuse de croire à l'idée de transformation de l'Alliance atlantique en "chirurgien mondial" qui s'ingère radicalement dans des conflits intérieurs", a écrit le ministre dans un article intitulé "Relations internationales en zone de turbulence: où est le point d'appui?" et publié jeudi dans le "Recueil diplomatique" russe.
Le ministre regrette que "certains politiciens" estiment que le mandat du Conseil de sécurité de l'Onu n'est pas du tout nécessaire pour une opération militaire.
"Cette année, les relations internationales sont entrées en zone de turbulence", a constaté M.Lavrov, en évoquant la vague de révolutions et des troubles massifs au Proche-Orient, la crise sur les marchés financiers du monde et le problème de la dette dans les pays de l'Union européenne.
Dans ces conditions, il est nécessaire, selon le chef de la diplomatie russe, de rendre plus souple et plus équilibré le système de rapports internationaux, en renonçant à la force et à des sanctions unilatérales lors du règlement des conflits, que ce soit dans le monde arabe ou autour du programme nucléaire controversé de l'Iran.
"On refuse de croire à l'idée de transformation de l'Alliance atlantique en "chirurgien mondial" qui s'ingère radicalement dans des conflits intérieurs", a écrit le ministre dans un article intitulé "Relations internationales en zone de turbulence: où est le point d'appui?" et publié jeudi dans le "Recueil diplomatique" russe.
Le ministre regrette que "certains politiciens" estiment que le mandat du Conseil de sécurité de l'Onu n'est pas du tout nécessaire pour une opération militaire.
"Cette année, les relations internationales sont entrées en zone de turbulence", a constaté M.Lavrov, en évoquant la vague de révolutions et des troubles massifs au Proche-Orient, la crise sur les marchés financiers du monde et le problème de la dette dans les pays de l'Union européenne.
Dans ces conditions, il est nécessaire, selon le chef de la diplomatie russe, de rendre plus souple et plus équilibré le système de rapports internationaux, en renonçant à la force et à des sanctions unilatérales lors du règlement des conflits, que ce soit dans le monde arabe ou autour du programme nucléaire controversé de l'Iran.
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