Les résultats de la visite, en Iran, de l'ami français d'Ahmadinejad
L'humoriste Français de 44 ans, Dieudonné, est rentré, jeudi, d’Iran, où il y a passé quatre jours, à l’issue desquels, il a tenu une conférence de presse. Parti soi-disant «demander la clémence pour l'Iranienne» de 43 ans, emprisonnée, depuis cinq ans, en Iran, et condamnée à mort par lapidation, pour adultère et complicité dans le meurtre de son mari, Dieudonné M'Bala M'Bala est revenu, en France, et évoque les résultats de sa visite en Iran. "J'ai été reçu au ministère de la Justice par un porte-parole.", a-t-il raconté. "Il a ouvert, avec beaucoup de gentillesse et de clarté, le dossier. J'en connais un peu plus, aujourd'hui: il y a des preuves irréfutables, des preuves matérielles, qui accusent Sakineh (Mohammadi Ashtiani), au-delà de ses aveux.», a-t-il affirmé. Remerciant «les autorités d'avoir fait preuve de tant de transparence», à son égard, l'humoriste français a regretté que cette affaire ait été «instrumentalisée». «Est-ce que nous n'avons pas été tous manipulés?", s'est-il interrogé. Moi, le premier, en signant cette pétition [lancée par le site de la revue de Bernard-Henri Lévy, "La Règle du jeu", et qui a, déjà, recueilli plus de 135.000 signatures], j'étais horrifié.», a-t-il ajouté, confirmant, toutefois, son opposition au principe de la peine de mort. «J'encourage tous les signataires à aller sur place.», a-t-il conclu, visant, particulièrement, BHL, qu’il a, indirectement, accusé d’être l’instigateur de cette «propagande anti-iranienne».
Dieudonné affirme avoir découvert une option, dans le fonctionnement de l'appareil judiciaire iranien, une option qui, selon lui, n'existerait pas en France: "Le système judiciaire pose un délai d’environ, cinq ans, entre le prononcé du jugement et son exécution, dans l’espoir que la famille de la victime accordera son pardon et que le condamné sera ainsi gracié; dans la pratique, les exécutions concernent, surtout, les gros trafiquants de drogue, et Mme Mohammadi Ashtiani n'encourra pas le risque d'être exécutée, avant la fin de son procès.", a-t-il précisé.
Dieudonné affirme avoir découvert une option, dans le fonctionnement de l'appareil judiciaire iranien, une option qui, selon lui, n'existerait pas en France: "Le système judiciaire pose un délai d’environ, cinq ans, entre le prononcé du jugement et son exécution, dans l’espoir que la famille de la victime accordera son pardon et que le condamné sera ainsi gracié; dans la pratique, les exécutions concernent, surtout, les gros trafiquants de drogue, et Mme Mohammadi Ashtiani n'encourra pas le risque d'être exécutée, avant la fin de son procès.", a-t-il précisé.
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