Les violences du régime sioniste montrent l’ampleur de son impuissance
A la suite des démarches violentes des militaires sionistes, face aux protestations pacifiques des Palestiniens et des Syriens, à l’occasion du 44ème anniversaire de la guerre des 6 jours, en juin 1967, baptisé le jour d’"Al-Naksa", non seulement, le monde a été témoin de l’impuissance et de l’isolement du régime de Tel-Aviv, mais aussi, les Sionistes et les médias sionistes, eux-mêmes, ne peuvent que constater que recourir à la force et aux violences est l’expression de leur faiblesse poussée à l’extrême.
C’est ainsi que les forces du régime occupant sioniste, en tirant, le 5 juin, jour anniversaire de la guerre des 6 jours, en juin 1967, sur les manifestants syriens et palestiniens, qui se rendaient sur les hauteurs du Golan, pour participer aux cérémonies de ce jour, ont tué 21 personnes, dont une femme et un enfant, et en ont blessé plus de 300 autres. Le journal israélien, "Ha’aretz", a écrit, à ce propos, que les violences, sur les frontières syriennes, ont mis Israël dans une position d’échec et ont donné l’occasion aux médias de la région et du monde de mettre en cause, une nouvelle fois, les démarches de Tel-Aviv et de mettre l’accent sur les violences d’Israël. "Ha’aretz", en évoquant l’attaque des militaires sionistes contre les manifestants syriens et palestiniens, sur les hauteurs du Golan, a ajouté que ces violences ont mis Israël, dans une situation telle, qu’aucune chance de rattraper la sauce ne peut être envisagée, d’autant plus que ce massacre est perpétré, au moment où les Palestiniens vont essayer de mettre en avant, en septembre, le plan de la reconnaissance de l’Etat indépendant palestinien, à l’Assemblée générale de l’ONU. Selon "Ha’aretz", les démarches de Tel-Aviv, face aux Palestiniens, et, cette fois, le massacre des Syriens, au jour anniversaire de la guerre de juin 1967, n’ont laissé aucune chance à Tel-Aviv d’empêcher le vote du monde pour la reconnaissance de l’Etat indépendant palestinien. Et ce, alors que Netanyahu, en soutenant les démarches effectuées, dimanche, a annoncé que les pays arabes veulent encercler Israël avec les réfugiés syriens et palestiniens. Evoquant la manifestation des Palestiniens et des Syriens, sur les frontières des hauteurs du Golan, Netanyahu a ajouté que cette démarche montre que les Palestiniens ne cherchent pas à former un Etat, dans les frontières de 1967, mais dans celles de 1948. De même, au jour anniversaire de la guerre de juin 1967, le dimanche 5 juin, l’armée du régime usurpateur a massacré les Palestiniens, en Cisjordanie, ainsi que les manifestants, sur les frontières libanaises avec la Palestine occupée. Les autorités sionistes sont très inquiètes du fait que les manifestations sur les frontières de la Palestine occupée sont devenues chose quotidienne et elles tentent, à chaque fois, par le massacre des manifestants, d’arrêter ces mouvements populaires.
C’est ainsi que les forces du régime occupant sioniste, en tirant, le 5 juin, jour anniversaire de la guerre des 6 jours, en juin 1967, sur les manifestants syriens et palestiniens, qui se rendaient sur les hauteurs du Golan, pour participer aux cérémonies de ce jour, ont tué 21 personnes, dont une femme et un enfant, et en ont blessé plus de 300 autres. Le journal israélien, "Ha’aretz", a écrit, à ce propos, que les violences, sur les frontières syriennes, ont mis Israël dans une position d’échec et ont donné l’occasion aux médias de la région et du monde de mettre en cause, une nouvelle fois, les démarches de Tel-Aviv et de mettre l’accent sur les violences d’Israël. "Ha’aretz", en évoquant l’attaque des militaires sionistes contre les manifestants syriens et palestiniens, sur les hauteurs du Golan, a ajouté que ces violences ont mis Israël, dans une situation telle, qu’aucune chance de rattraper la sauce ne peut être envisagée, d’autant plus que ce massacre est perpétré, au moment où les Palestiniens vont essayer de mettre en avant, en septembre, le plan de la reconnaissance de l’Etat indépendant palestinien, à l’Assemblée générale de l’ONU. Selon "Ha’aretz", les démarches de Tel-Aviv, face aux Palestiniens, et, cette fois, le massacre des Syriens, au jour anniversaire de la guerre de juin 1967, n’ont laissé aucune chance à Tel-Aviv d’empêcher le vote du monde pour la reconnaissance de l’Etat indépendant palestinien. Et ce, alors que Netanyahu, en soutenant les démarches effectuées, dimanche, a annoncé que les pays arabes veulent encercler Israël avec les réfugiés syriens et palestiniens. Evoquant la manifestation des Palestiniens et des Syriens, sur les frontières des hauteurs du Golan, Netanyahu a ajouté que cette démarche montre que les Palestiniens ne cherchent pas à former un Etat, dans les frontières de 1967, mais dans celles de 1948. De même, au jour anniversaire de la guerre de juin 1967, le dimanche 5 juin, l’armée du régime usurpateur a massacré les Palestiniens, en Cisjordanie, ainsi que les manifestants, sur les frontières libanaises avec la Palestine occupée. Les autorités sionistes sont très inquiètes du fait que les manifestations sur les frontières de la Palestine occupée sont devenues chose quotidienne et elles tentent, à chaque fois, par le massacre des manifestants, d’arrêter ces mouvements populaires.
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