Mufti de Syrie: l’opposition a tenté de m’acheter en échange de ma démission
Le Grand Mufti de la Syrie, dont le fils a été assassiné par des inconnus, a déclaré que l’opposition syrienne lui a offert une somme d'argent importante en échange de se retourner contre le régime du président Bachar al-Assad et de démissionner de son poste, a rapporté le quotidien koweïtien Al Rai !
Cheikh Ahmad Badr al-Din Hassoun, a déclaré dans une interview accordée au quotidien, que selon ses informations il existe un plan sioniste pour diviser la Syrie, comme cela s'est produit au Soudan.
Il a souligné que « certaines forces de l’opposition syrienne lui ont proposé une importante somme d'argent qu’il avait refusé, ajoutant qu’il leur avait demandé de lui remettre leurs propositions de réforme, afin de les soumettre au président Bachar al-Assad, mais qu’elles avaient rejeté cette idée ».
Cheikh Hassoun s’est demandé pourquoi ceux qui appartiennent à l’opposition refusent de se joindre à ceux qui sont de l’opposition et qui participent sein du gouvernement ?
Le Mufti de la Syrie a assuré que « les Syriens aiment vivre ensemble dans la paix, et il ne comprend pas comment et pourquoi la situation est arrivée à ce point, ils ont tué mon fils alors qu’il sortait de l'université parce que j'ai refusé de rejoindre les rangs de l'opposition, ils m’ont menacé personnellement de liquidation, et le jour de l’enterrement de mon fils, j’ai appelé Dieu de témoigner le jour du Jugement que mon fils est tombé en martyr pour sa patrie » !
Critiquant les décisions de la Ligue arabe, cheikh Hassoun a dénoncé les sanctions qui "visent le jeune syrien alors qu’il n’a commis aucun péché"!
Cheikh Ahmad Badr al-Din Hassoun, a déclaré dans une interview accordée au quotidien, que selon ses informations il existe un plan sioniste pour diviser la Syrie, comme cela s'est produit au Soudan.
Il a souligné que « certaines forces de l’opposition syrienne lui ont proposé une importante somme d'argent qu’il avait refusé, ajoutant qu’il leur avait demandé de lui remettre leurs propositions de réforme, afin de les soumettre au président Bachar al-Assad, mais qu’elles avaient rejeté cette idée ».
Cheikh Hassoun s’est demandé pourquoi ceux qui appartiennent à l’opposition refusent de se joindre à ceux qui sont de l’opposition et qui participent sein du gouvernement ?
Le Mufti de la Syrie a assuré que « les Syriens aiment vivre ensemble dans la paix, et il ne comprend pas comment et pourquoi la situation est arrivée à ce point, ils ont tué mon fils alors qu’il sortait de l'université parce que j'ai refusé de rejoindre les rangs de l'opposition, ils m’ont menacé personnellement de liquidation, et le jour de l’enterrement de mon fils, j’ai appelé Dieu de témoigner le jour du Jugement que mon fils est tombé en martyr pour sa patrie » !
Critiquant les décisions de la Ligue arabe, cheikh Hassoun a dénoncé les sanctions qui "visent le jeune syrien alors qu’il n’a commis aucun péché"!
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