Pas de pourparlers avec Alger sur l'extradition des parents de Kadhafi (Otan)
L'Otan ne mène pas de négociations avec l'Algérie sur l'extradition des parents du "guide" libyen Mouammar Kadhafi qui se sont réfugiés sur le sol algérien, a déclaré mardi devant les journalistes à Bruxelles Oana Lungescu, porte-parole de l'Alliance.
"De telles négociations ne sont pas du ressort de l'Otan. Conformément à la loi, ce problème ne regarde que les autorités libyennes et algériennes", a indiqué Mme Lungescu.
Lundi 29 août, les autorités algériennes ont annoncé l'arrivée d'une partie de la famille du colonel Mouammar Kadhafi sur leur territoire. Selon Alger, il s'agit de l'épouse du colonel, Safia, de sa fille Aïcha, ainsi que de ses fils Hannibal et Mohamed, accompagnés de leurs enfants.
L'Algérie les a accueillis "pour des raisons humanitaires", vu que personne d'entre eux n'est poursuivi par la loi, a précisé le ministère algérien des Affaires étrangères.
Cette information a été transmise au secrétaire général de l'Onu, au Conseil de sécurité, ainsi qu'au Conseil national de transition (CNT), organe politique de la rébellion libyenne.
L'Algérie ne reconnaît pas le CNT, en tant que représentant légitime du peuple libyen, et n'a jamais demandé le départ de Mouammar Kadhafi.
"De telles négociations ne sont pas du ressort de l'Otan. Conformément à la loi, ce problème ne regarde que les autorités libyennes et algériennes", a indiqué Mme Lungescu.
Lundi 29 août, les autorités algériennes ont annoncé l'arrivée d'une partie de la famille du colonel Mouammar Kadhafi sur leur territoire. Selon Alger, il s'agit de l'épouse du colonel, Safia, de sa fille Aïcha, ainsi que de ses fils Hannibal et Mohamed, accompagnés de leurs enfants.
L'Algérie les a accueillis "pour des raisons humanitaires", vu que personne d'entre eux n'est poursuivi par la loi, a précisé le ministère algérien des Affaires étrangères.
Cette information a été transmise au secrétaire général de l'Onu, au Conseil de sécurité, ainsi qu'au Conseil national de transition (CNT), organe politique de la rébellion libyenne.
L'Algérie ne reconnaît pas le CNT, en tant que représentant légitime du peuple libyen, et n'a jamais demandé le départ de Mouammar Kadhafi.
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