une marocaine de 75 ans enceinte pendant 46 ans
Une Marocaine enceinte pendant 46 ans…
Une Marocaine de 75 ans délivrée de son fœtus de 46 ans
26.10.02-Le professeur Ouazzani Taïbi, chef du service de gynécologie-obstétrique de la maternité Souissi a révélé à la presse vendredi au cours d'une conférence organisée par le magazine L'événement médical, un cas exceptionnel lié à un phénomène essentiellement naturel. Une femme de 75 ans est restée enceinte pendant 46 ans et a subi avec succès une intervention de la paroi abdominale pour cette grossesse extra-utérine.
La nouvelle a suscité, à cause de son caractère insolite, plusieurs interrogations dont certaines restent sans réponse. Le corps médical qui a diagnostiqué et opéré ce cas, appelé «lithopédion», compte mener des recherches approfondies pour faire toute la lumière sur ce cas mondial.
Un jour de l'année 1956 : Une jeune femme enceinte de 29 ans est hospitalisée au terme de sa grossesse pour accoucher. Le médecin, jugeant que sa patiente ne peut accoucher par les voies naturelles, prévoit une césarienne. La femme refuse toute intervention chirurgicale et repart chez elle. Quelques jours plus tard, les douleurs cessent et la jeune femme commence, petit à petit, à se demander si elle était vraiment enceinte.
Juillet 2002 : la femme, sent un malaise au niveau de la région pelvienne et se dirige à l'hôpital Souissi de Rabat. Le gynécologue fait une radioscopie. Hallucinant : la septuagénaire porte un enfant ! En toute naïveté, elle répond au médecin « alors j'étais enceinte » ? Deux jours plus tard, l'équipe du professeur Ouazzani Taïbi recourt à une intervention chirurgicale et délivre la femme d'un fœtus de près d'un demi-siècle complètement fossilisé.
Une semaine après l'opération, la femme qui se porte bien physiquement, quitte l'hôpital, mais les médecins constatent qu'elle est dépressive. Pour cette femme de troisième âge, le deuil commence à peine.
Voilà en bref la chronologie d'un événement médical de grande envergure qui ne manquera sûrement pas de défrayer la chronique.
Lors d'une conférence de presse tenue vendredi dernier à l'hôpital de maternité Souissi, le professeur O. Taïbi a mis l'accent sur la particularité du lithopédion traité par son équipe. Il s'agit, en fait, d'une grossesse abdominale (voir encadré) qui a poursuivi le cours normal jusqu'à son terme, c'est-à-dire neuf mois. La mort du fœtus n'est intervenue, donc, qu'après cette période.
Ce qui fait de l'évolution normale de cette grossesse un phénomène extraordinaire c'est le fait que deux obstacles majeurs ont été transcendés.
Le premier est le risque de destruction des tissus environnants, particulièrement chez le fœtus lui-même, par le trophoblaste (couche périphérique de l'œuf fécondé et qui est à l'origine du placenta) qui exerce une action abrasive se traduisant souvent par des hémorragies.
Le deuxième obstacle évité concerne le processus de vascularisation du fœtus (formation des vaisseaux et de la musculature général du fœtus). Le processus n'a pas été interrompu malgré le fait que la grossesse s'était formée dans un endroit inapproprié pour une bonne vascularisation. Les journalistes présents ont pu suivre une projection qui montre les moments forts de cette opération chirurgicale. Le chirurgien peinait à détacher cette masse pelvienne ossifiée et collée à la vessie de la mère.
Autre surprise : le poids du bébé est de 3,500 kg, un record de tous les cas signalés jusqu'à présent. En effet, les fœtus extraits dans le cas de lithopédion pèsent seulement entre 75 et 1450 grammes !
Le sexe de l'enfant, quant à lui, reste inconnu : « l'organe génital est tellement momifié qu'il est devenu méconnaissable, explique le professeur O. Taïbi
Plusieurs questions restent toutefois sans réponses.
Comment cette femme a pu supporter un poids de 3,500 kg durant 46 ans ?, en sachant qu'elle porte dans ses entrailles un enfant ? Pourquoi sa famille n'a pas réagi quand elle est rentrée chez elle, ce jour de 1956 le ventre toujours rond ? Quelles substances miraculeuses l'ont-elle armé d'une telle tolérance immunologique ?
Le professeur O. Taïbi compte mener des recherches concentrées dans ce sens pour éclairer l'opinion publique sur cette histoire et détecter les substances qui ont préservé le fœtus dans sa coquille pendant presque un demi-siècle.
Il convient de signaler que le bimensuel « l'Evénement médical » consacrera son prochain numéro à ce grand événement-énigme.
Une chose est sûre : Il s'agit ici d'une première qui nous pousse, comme l'a souligné Dr. Najib Kettani, directeur de la publication l'Evénement médical, à « reconnaître ce pouvoir d'autorégulation de la nature et à respecter celle-ci»..
Une Marocaine de 75 ans délivrée de son fœtus de 46 ans
26.10.02-Le professeur Ouazzani Taïbi, chef du service de gynécologie-obstétrique de la maternité Souissi a révélé à la presse vendredi au cours d'une conférence organisée par le magazine L'événement médical, un cas exceptionnel lié à un phénomène essentiellement naturel. Une femme de 75 ans est restée enceinte pendant 46 ans et a subi avec succès une intervention de la paroi abdominale pour cette grossesse extra-utérine.
La nouvelle a suscité, à cause de son caractère insolite, plusieurs interrogations dont certaines restent sans réponse. Le corps médical qui a diagnostiqué et opéré ce cas, appelé «lithopédion», compte mener des recherches approfondies pour faire toute la lumière sur ce cas mondial.
Un jour de l'année 1956 : Une jeune femme enceinte de 29 ans est hospitalisée au terme de sa grossesse pour accoucher. Le médecin, jugeant que sa patiente ne peut accoucher par les voies naturelles, prévoit une césarienne. La femme refuse toute intervention chirurgicale et repart chez elle. Quelques jours plus tard, les douleurs cessent et la jeune femme commence, petit à petit, à se demander si elle était vraiment enceinte.
Juillet 2002 : la femme, sent un malaise au niveau de la région pelvienne et se dirige à l'hôpital Souissi de Rabat. Le gynécologue fait une radioscopie. Hallucinant : la septuagénaire porte un enfant ! En toute naïveté, elle répond au médecin « alors j'étais enceinte » ? Deux jours plus tard, l'équipe du professeur Ouazzani Taïbi recourt à une intervention chirurgicale et délivre la femme d'un fœtus de près d'un demi-siècle complètement fossilisé.
Une semaine après l'opération, la femme qui se porte bien physiquement, quitte l'hôpital, mais les médecins constatent qu'elle est dépressive. Pour cette femme de troisième âge, le deuil commence à peine.
Voilà en bref la chronologie d'un événement médical de grande envergure qui ne manquera sûrement pas de défrayer la chronique.
Lors d'une conférence de presse tenue vendredi dernier à l'hôpital de maternité Souissi, le professeur O. Taïbi a mis l'accent sur la particularité du lithopédion traité par son équipe. Il s'agit, en fait, d'une grossesse abdominale (voir encadré) qui a poursuivi le cours normal jusqu'à son terme, c'est-à-dire neuf mois. La mort du fœtus n'est intervenue, donc, qu'après cette période.
Ce qui fait de l'évolution normale de cette grossesse un phénomène extraordinaire c'est le fait que deux obstacles majeurs ont été transcendés.
Le premier est le risque de destruction des tissus environnants, particulièrement chez le fœtus lui-même, par le trophoblaste (couche périphérique de l'œuf fécondé et qui est à l'origine du placenta) qui exerce une action abrasive se traduisant souvent par des hémorragies.
Le deuxième obstacle évité concerne le processus de vascularisation du fœtus (formation des vaisseaux et de la musculature général du fœtus). Le processus n'a pas été interrompu malgré le fait que la grossesse s'était formée dans un endroit inapproprié pour une bonne vascularisation. Les journalistes présents ont pu suivre une projection qui montre les moments forts de cette opération chirurgicale. Le chirurgien peinait à détacher cette masse pelvienne ossifiée et collée à la vessie de la mère.
Autre surprise : le poids du bébé est de 3,500 kg, un record de tous les cas signalés jusqu'à présent. En effet, les fœtus extraits dans le cas de lithopédion pèsent seulement entre 75 et 1450 grammes !
Le sexe de l'enfant, quant à lui, reste inconnu : « l'organe génital est tellement momifié qu'il est devenu méconnaissable, explique le professeur O. Taïbi
Plusieurs questions restent toutefois sans réponses.
Comment cette femme a pu supporter un poids de 3,500 kg durant 46 ans ?, en sachant qu'elle porte dans ses entrailles un enfant ? Pourquoi sa famille n'a pas réagi quand elle est rentrée chez elle, ce jour de 1956 le ventre toujours rond ? Quelles substances miraculeuses l'ont-elle armé d'une telle tolérance immunologique ?
Le professeur O. Taïbi compte mener des recherches concentrées dans ce sens pour éclairer l'opinion publique sur cette histoire et détecter les substances qui ont préservé le fœtus dans sa coquille pendant presque un demi-siècle.
Il convient de signaler que le bimensuel « l'Evénement médical » consacrera son prochain numéro à ce grand événement-énigme.
Une chose est sûre : Il s'agit ici d'une première qui nous pousse, comme l'a souligné Dr. Najib Kettani, directeur de la publication l'Evénement médical, à « reconnaître ce pouvoir d'autorégulation de la nature et à respecter celle-ci»..
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