VOILA CE QUI SE PASSE VRAIMENT SYRIE DES BANDES ARMéS FINANCéS PAR L ARABIE SAOUDITE ET LES USA :Sunday Times/activistes: les extrémistes massacrent les gens en Syrie
Le quotidien britannique Synday Times a affirmé que des islamistes armés ont attaqué des forces gouvernementales syriennes, provoquant des craintes quant à une possible rébellion islamique contre le régime du Président Bachar elAssad.
« Des islamistes armés jusqu’aux dents ont ouvert le feu sur les forces sécuritaires syriennes dans au moins quatre villes, pour venger la mort de manifestants pacifiques, et ont tué quatre policiers dans un assaut contre un centre militaire à Maarrat Noman au nord ouest de la Syrie. Ils ont utilisé des mitrailleuses et des lance-roquettes », a indiqué le quotidien.
Et d’ajouter : « l’opposition syrienne insiste que la plupart des manifestants ne sont pas armés et qu’ils ne sont loyaux à aucun groupe islamiste, mais notre correspondante a vu des extrémistes barbus dans les rangs des manifestants qui attaquaient des soldats syriens à Maarrat Noman ».
Le quotidien a également révélé que « des hommes religieux extrémistes en Arabie Saoudite ont appelé au djihad contre le régime syrien », ajoutant les preuves sur le trafic d’armes depuis la Turquie, le Liban et l’Irak se multiplient de plus en plus.
« Des combattants armés se sont infiltrés parmi les manifestants pro-démocratiques à Maarrat Noman pour provoquer l’armée et l’entrainer dans des combats sanguinaires. Les chefs des tribus croyaient au début que ces hommes s’étaient armés pour se défendre, mais lorsqu’ils ont vu de grandes quantités d’armes, de fusils et de lance-roquettes dans les mains des hommes barbus, qui les transportaient dans des voitures et des camions sans plaques métalliques, ils ont réalisé que les ennuis les attendent ».
« Les actes de violence ont été déclenchés à la suite de l’approche des manifestants d’une caserne militaire dans laquelle se sont réfugiés des policiers et des forces de sécurité. Les manifestants se sont dispersés après avoir entendu les premiers tirs. Certains policiers ont pris la fuite par une sortie d’urgence, alors que le reste des policiers ont été victimes de l’attaque. Un hélicoptère militaire a été envoyé pour les sauver, mais des combats ont éclaté avec les hommes armés pendant plus d’une heure».
Selon le journal britannique, des activistes « ont dit craindre que les hommes armés, dont des combattants, puissent diviser l’opposition et présenter ainsi l’alibi aux forces sécuritaires syriennes pour poursuivre les tirs contre les manifestants », soulignant que des sources de l’opposition ont été les premières à révéler la présence d’hommes armés parmi les manifestants. « Notre correspondante en Syrie a reçu des preuves tangibles à ce sujet », précise le Sunday Times.
Selon elle, « le danger de la propagation de l’extrémisme islamique et les vidéos montrant les massacres contre les forces sécuritaires effraient tous ceux qui ont vu les hommes armés. Certains analystes pensent que la haine des extrémistes sunnites aux alaouites et aux chrétiens provoquerait la division du pays, ce qui laisse présager une guerre civile semblable à celle qui a détruit le Liban ».
Deux semaines auparavant, un opposant syrien sous le couvert de l’anonymat avait révélé à l’agence United Press International que « des extrémistes armés jusqu’aux dents, et possédant entre autre des roquettes anti-chars, des armes capables de transpercer les gilets par-balles se sont déployés à Jabal Zawiya, Maarrat Noman, et Ariha à Edlep et dans plusieurs villages frontaliers avec la Turquie ».
Pour leur part, les autorités syriennes ont accusé des groupes armés d’avoir tué 123 membres des forces gouvernementales à Jisr elChoughour ».
« Des islamistes armés jusqu’aux dents ont ouvert le feu sur les forces sécuritaires syriennes dans au moins quatre villes, pour venger la mort de manifestants pacifiques, et ont tué quatre policiers dans un assaut contre un centre militaire à Maarrat Noman au nord ouest de la Syrie. Ils ont utilisé des mitrailleuses et des lance-roquettes », a indiqué le quotidien.
Et d’ajouter : « l’opposition syrienne insiste que la plupart des manifestants ne sont pas armés et qu’ils ne sont loyaux à aucun groupe islamiste, mais notre correspondante a vu des extrémistes barbus dans les rangs des manifestants qui attaquaient des soldats syriens à Maarrat Noman ».
Le quotidien a également révélé que « des hommes religieux extrémistes en Arabie Saoudite ont appelé au djihad contre le régime syrien », ajoutant les preuves sur le trafic d’armes depuis la Turquie, le Liban et l’Irak se multiplient de plus en plus.
« Des combattants armés se sont infiltrés parmi les manifestants pro-démocratiques à Maarrat Noman pour provoquer l’armée et l’entrainer dans des combats sanguinaires. Les chefs des tribus croyaient au début que ces hommes s’étaient armés pour se défendre, mais lorsqu’ils ont vu de grandes quantités d’armes, de fusils et de lance-roquettes dans les mains des hommes barbus, qui les transportaient dans des voitures et des camions sans plaques métalliques, ils ont réalisé que les ennuis les attendent ».
« Les actes de violence ont été déclenchés à la suite de l’approche des manifestants d’une caserne militaire dans laquelle se sont réfugiés des policiers et des forces de sécurité. Les manifestants se sont dispersés après avoir entendu les premiers tirs. Certains policiers ont pris la fuite par une sortie d’urgence, alors que le reste des policiers ont été victimes de l’attaque. Un hélicoptère militaire a été envoyé pour les sauver, mais des combats ont éclaté avec les hommes armés pendant plus d’une heure».
Selon le journal britannique, des activistes « ont dit craindre que les hommes armés, dont des combattants, puissent diviser l’opposition et présenter ainsi l’alibi aux forces sécuritaires syriennes pour poursuivre les tirs contre les manifestants », soulignant que des sources de l’opposition ont été les premières à révéler la présence d’hommes armés parmi les manifestants. « Notre correspondante en Syrie a reçu des preuves tangibles à ce sujet », précise le Sunday Times.
Selon elle, « le danger de la propagation de l’extrémisme islamique et les vidéos montrant les massacres contre les forces sécuritaires effraient tous ceux qui ont vu les hommes armés. Certains analystes pensent que la haine des extrémistes sunnites aux alaouites et aux chrétiens provoquerait la division du pays, ce qui laisse présager une guerre civile semblable à celle qui a détruit le Liban ».
Deux semaines auparavant, un opposant syrien sous le couvert de l’anonymat avait révélé à l’agence United Press International que « des extrémistes armés jusqu’aux dents, et possédant entre autre des roquettes anti-chars, des armes capables de transpercer les gilets par-balles se sont déployés à Jabal Zawiya, Maarrat Noman, et Ariha à Edlep et dans plusieurs villages frontaliers avec la Turquie ».
Pour leur part, les autorités syriennes ont accusé des groupes armés d’avoir tué 123 membres des forces gouvernementales à Jisr elChoughour ».
A découvrir aussi
- Maroc : Le Royaume enchante deux élus français
- Pour Moscou, Damas lutte contre des "provocateurs armés"
- Un sous-marin a fait intrusion dans les eaux du Venezuela
Retour aux articles de la catégorie ET DANS LE MONDE QUE CE PASSE-T-IL -
⨯
Inscrivez-vous au blog
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 51 autres membres