Washington proroge d’un an l’état d’urgence contre l’Iran
Le président américain, Barack Obama, a prolongé d’un an l’état d’urgence décrété contre l’Iran. Mardi, dans une lettre adressée au président du Sénat, le président Obama a prolongé d’un an l’état d’urgence dans les relations irano-américaines sous prétexte que les politiques adoptées par la RII nuisaient aux intérêts des Etats-Unis dans la région.
Le 15 mars 1995, sous Bill Clinton, les Etats-Unis ont décrété l’état d’urgence contre l’Iran pour ainsi combattre ce qui était appelé par la Maison Blanche un danger pour la sécurité nationale, la politique extérieure et l’économie américaine.
Le fait que les Etats-Unis considèrent l’Iran comme une menace contre leurs intérêts est non seulement une farce politique mais aussi en quelque sorte une fuite en avant car c’est bien le bilan des dirigeants américains qui est entaché d’actes hostiles contre l’Iran.
Les mesures hostiles des Etats-Unis contre l’Iran ont commencé par l’espionnage, via l’ambassade américaine en Iran, qui avait pour mission de renverser l’ordre de la RII.
Le 14 novembre 1979 et suite à la prise du nid d’espionnage américain à Téhéran par les étudiants épris de la ligne de conduite de l’Imam Khomeiny, Washington a décrété l’état d’urgence contre l’Iran. Dans la foulée, les avoirs du gouvernement iranien aux Etats-Unis ont été bloqués. Un blocage prolongé par Obama en novembre dernier.
Cette année-là, Washington a bloqué les comptes et les avoirs de l’Iran chez les banques américaines avant d’avoir mené une opération militaire dans le désert de Tabas qui s’est terminé par une défaite cuisante.
Pendant les huit années de la guerre imposée, les Etats-Unis se sont rangés aux côtés du régime Saddam en lui fournissant les armes atomiques, utilisés largement contre les forces défensives iraniennes ainsi que les civils, pour ainsi favoriser l’échec de l’Iran et démembrer le pays.
Pourtant, les complots des Etats-Unis ne se sont pas bornés à cela. Au cours des dernières années de la guerre imposée, ils ont étendu la portée de la guerre jusqu’aux pétroliers, dans le Golfe Persique. Il ne faut pas oublier qu’un avion de ligne iranien, ayant 290 passagers à bord, a été renversé par la force aérienne américaine dont le commandant a été, peu après, décoré par le président de l’époque.
La fin de la guerre imposée et la défaite de Saddam n’ont pas mis fin aux démarches hostiles des Etats-Unis contre l’Iran qui sont entrées dans une nouvelle phase comportant des sanctions et des tergiversations.
Cherchant à mettre en cause les acquis nucléaires de la RII, Washington ne cesse d’adopter de nouvelles sanctions contre l’Iran alors que les Iraniens œuvrent pour reconstruire le pays. Acharné dans ses politiques contre le savoir-faire nucléaire, atteint par la RII, Washington l’accuse de soutenir le terrorisme et de violer les droits de l’Homme afin de présenter ce pays comme l’axe du mal. Déçu par ses objectifs échoués, la Maison Blanche a déclenché une guerre des nerfs ainsi qu’une guerre cybernétique contre l’Iran et elle a aussi commandité l’assassinat des savants atomiques iraniens pour ainsi parvenir à ses buts via les sanctions unilatérales et les sanctions du brut et la banque centrale et aussi les menaces d’attaque militaire.
Reste à savoir comment l’Iran pourrait représenter une menace pour les intérêts des Etats-Unis tandis que le Président Obama parle ouvertement de toutes les options étant sur la table contre l’Iran qu’il accuse de violer le TNP.
Le 15 mars 1995, sous Bill Clinton, les Etats-Unis ont décrété l’état d’urgence contre l’Iran pour ainsi combattre ce qui était appelé par la Maison Blanche un danger pour la sécurité nationale, la politique extérieure et l’économie américaine.
Le fait que les Etats-Unis considèrent l’Iran comme une menace contre leurs intérêts est non seulement une farce politique mais aussi en quelque sorte une fuite en avant car c’est bien le bilan des dirigeants américains qui est entaché d’actes hostiles contre l’Iran.
Les mesures hostiles des Etats-Unis contre l’Iran ont commencé par l’espionnage, via l’ambassade américaine en Iran, qui avait pour mission de renverser l’ordre de la RII.
Le 14 novembre 1979 et suite à la prise du nid d’espionnage américain à Téhéran par les étudiants épris de la ligne de conduite de l’Imam Khomeiny, Washington a décrété l’état d’urgence contre l’Iran. Dans la foulée, les avoirs du gouvernement iranien aux Etats-Unis ont été bloqués. Un blocage prolongé par Obama en novembre dernier.
Cette année-là, Washington a bloqué les comptes et les avoirs de l’Iran chez les banques américaines avant d’avoir mené une opération militaire dans le désert de Tabas qui s’est terminé par une défaite cuisante.
Pendant les huit années de la guerre imposée, les Etats-Unis se sont rangés aux côtés du régime Saddam en lui fournissant les armes atomiques, utilisés largement contre les forces défensives iraniennes ainsi que les civils, pour ainsi favoriser l’échec de l’Iran et démembrer le pays.
Pourtant, les complots des Etats-Unis ne se sont pas bornés à cela. Au cours des dernières années de la guerre imposée, ils ont étendu la portée de la guerre jusqu’aux pétroliers, dans le Golfe Persique. Il ne faut pas oublier qu’un avion de ligne iranien, ayant 290 passagers à bord, a été renversé par la force aérienne américaine dont le commandant a été, peu après, décoré par le président de l’époque.
La fin de la guerre imposée et la défaite de Saddam n’ont pas mis fin aux démarches hostiles des Etats-Unis contre l’Iran qui sont entrées dans une nouvelle phase comportant des sanctions et des tergiversations.
Cherchant à mettre en cause les acquis nucléaires de la RII, Washington ne cesse d’adopter de nouvelles sanctions contre l’Iran alors que les Iraniens œuvrent pour reconstruire le pays. Acharné dans ses politiques contre le savoir-faire nucléaire, atteint par la RII, Washington l’accuse de soutenir le terrorisme et de violer les droits de l’Homme afin de présenter ce pays comme l’axe du mal. Déçu par ses objectifs échoués, la Maison Blanche a déclenché une guerre des nerfs ainsi qu’une guerre cybernétique contre l’Iran et elle a aussi commandité l’assassinat des savants atomiques iraniens pour ainsi parvenir à ses buts via les sanctions unilatérales et les sanctions du brut et la banque centrale et aussi les menaces d’attaque militaire.
Reste à savoir comment l’Iran pourrait représenter une menace pour les intérêts des Etats-Unis tandis que le Président Obama parle ouvertement de toutes les options étant sur la table contre l’Iran qu’il accuse de violer le TNP.
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