Humain Right Watch : le phosphore blanc utilisé par Israël est une preuve de ses crimes de guerre
"Les tirs répétés des obus de phosphore blanc par l'armée israélienne sur des zones surpeuplées dans la bande de Gaza, au cours de son agression militaire aveugle, représente une preuve des crimes de guerre", a déclaré Humain Right Watch dans un rapport publié, le mercredi 25/3.
Dans un rapport de 71pages concernant l'opération sioniste appelée "Plomb durci", Humain Right a condamné l'occupation Israélienne d'avoir utilisé illégalement du phosphore blanc dans la Bande de Gaza", d'après les témoignages et les effets dévastateurs de cette guerre, notamment les armes et munitions leurs biens dans la Bande de Gaza.
Des chercheurs de l'organisation Humain Right Watch dans la Bande de Gaza ont souligné juste après la fin des agressions sionistes, et après l'examen des dizaines de choses brûlées par le phosphore blanc sur les rues de la ville, ainsi que les toits des appartements et les cours des habitations, dont les écoles de L'URNWA, que l'occupation a commis des crimes de guerre très flagrants contre les civils.
Le rapport présente également des preuves balistiques, des photographies et des images des satellites, ainsi que des documents de l'armée et du gouvernement israélien.
"L'armée israélienne a tiré, à maintes reprises, du phosphore blanc sur des zones surpeuplées, et par conséquent, les civils souffrent et meurent inutilement", a contesté Humain Right dans son rapport contre la guerre sauvage de l'occupation.
L'organisation a porté la responsabilité toute entière des crimes de guerre sur les hauts responsables israéliens, en déclarant :"En ce qui concerne les morts civils tués par le phosphore blanc, les commandants supérieurs de l'armée israélienne doivent rendre des comptes".
Humain Right a condamné l'occupation de l'utilisation aveugle des armes à forte explosion et vaste destruction dont le phosphore blanc qui s'enflamme après son contact avec l'oxygène et cause des brûlures très dangereuses en touchant la peau.
Suite à ses crimes de guerre extrêmement condamnés au monde, Israël a d'abord nié l'utilisation du phosphore blanc contre Gaza, mais face aux preuves, elle a annoncé, plus tard, une enquête interne sur la possibilité d'une mauvaise utilisation du phosphore blanc.
Humain Right Watch a également prouvé la complicité des Etats-Unis dans cette guerre contre Gaza, après qu'un Photographe de Reuters a publié, le 4 Janvier, selon des unités de traitement des projectiles d'artillerie, que les signes indiquent qu'ils ont été produits aux États-Unis, au Pine Bluff Arsenal, en Septembre 1991.
Pour expliquer le nombre élevé des victimes civiles dans la Bande de Gaza, les responsables israéliens ont reproché, à maintes reprises, au Hamas d'avoir utilisé des civils comme des "boucliers humains".
Dans les cas documentés dans le rapport, Human Rights Watch n'a trouvé aucune preuve qui montre que le Hamas a utilisé des boucliers humains dans les environs, lors de ses attaques.
Human Rights Watch a conclu que l'armée israélienne a utilisé délibérément ou par imprudence des munitions de phosphore blanc, en violant les lois de la guerre.
Elle a ajouté que l'armée israélienne est bien consciente des effets du phosphore blanc et des dangers qu'il représente contre les civils. Tout en précisant que les lois de la guerre obligent les États à enquêter impartialement sur les allégations des crimes de guerre.
Humain Right a attiré l'attention de l'opinion internationale que les coupables sionistes des crimes de guerre contre les civils de la Bande de Gaza doivent être condamnés, ainsi que les dirigeants militaires des Etats-Unis qui ont fourni des armes interdites à l'occupation.
Dans un rapport de 71pages concernant l'opération sioniste appelée "Plomb durci", Humain Right a condamné l'occupation Israélienne d'avoir utilisé illégalement du phosphore blanc dans la Bande de Gaza", d'après les témoignages et les effets dévastateurs de cette guerre, notamment les armes et munitions leurs biens dans la Bande de Gaza.
Des chercheurs de l'organisation Humain Right Watch dans la Bande de Gaza ont souligné juste après la fin des agressions sionistes, et après l'examen des dizaines de choses brûlées par le phosphore blanc sur les rues de la ville, ainsi que les toits des appartements et les cours des habitations, dont les écoles de L'URNWA, que l'occupation a commis des crimes de guerre très flagrants contre les civils.
Le rapport présente également des preuves balistiques, des photographies et des images des satellites, ainsi que des documents de l'armée et du gouvernement israélien.
"L'armée israélienne a tiré, à maintes reprises, du phosphore blanc sur des zones surpeuplées, et par conséquent, les civils souffrent et meurent inutilement", a contesté Humain Right dans son rapport contre la guerre sauvage de l'occupation.
L'organisation a porté la responsabilité toute entière des crimes de guerre sur les hauts responsables israéliens, en déclarant :"En ce qui concerne les morts civils tués par le phosphore blanc, les commandants supérieurs de l'armée israélienne doivent rendre des comptes".
Humain Right a condamné l'occupation de l'utilisation aveugle des armes à forte explosion et vaste destruction dont le phosphore blanc qui s'enflamme après son contact avec l'oxygène et cause des brûlures très dangereuses en touchant la peau.
Suite à ses crimes de guerre extrêmement condamnés au monde, Israël a d'abord nié l'utilisation du phosphore blanc contre Gaza, mais face aux preuves, elle a annoncé, plus tard, une enquête interne sur la possibilité d'une mauvaise utilisation du phosphore blanc.
Humain Right Watch a également prouvé la complicité des Etats-Unis dans cette guerre contre Gaza, après qu'un Photographe de Reuters a publié, le 4 Janvier, selon des unités de traitement des projectiles d'artillerie, que les signes indiquent qu'ils ont été produits aux États-Unis, au Pine Bluff Arsenal, en Septembre 1991.
Pour expliquer le nombre élevé des victimes civiles dans la Bande de Gaza, les responsables israéliens ont reproché, à maintes reprises, au Hamas d'avoir utilisé des civils comme des "boucliers humains".
Dans les cas documentés dans le rapport, Human Rights Watch n'a trouvé aucune preuve qui montre que le Hamas a utilisé des boucliers humains dans les environs, lors de ses attaques.
Human Rights Watch a conclu que l'armée israélienne a utilisé délibérément ou par imprudence des munitions de phosphore blanc, en violant les lois de la guerre.
Elle a ajouté que l'armée israélienne est bien consciente des effets du phosphore blanc et des dangers qu'il représente contre les civils. Tout en précisant que les lois de la guerre obligent les États à enquêter impartialement sur les allégations des crimes de guerre.
Humain Right a attiré l'attention de l'opinion internationale que les coupables sionistes des crimes de guerre contre les civils de la Bande de Gaza doivent être condamnés, ainsi que les dirigeants militaires des Etats-Unis qui ont fourni des armes interdites à l'occupation.
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