VOCOMIXVSHOLLAND

Le quotidien gauchiste Britannique The Guardian, rapporte dans son édition du jour qu’Israël participe à la tentative de coup d’État sans effusion de sang dans l’un des plus grands Emirats Arabes Unis – Ras al-Khaimah. Selon le journal, l’ambassadeur d’Israël en Grande-Bretagne, Ron Prozor, a rencontré au mois de mars plsueirus exilés de cet émirats… A commencer par le cheikh Khalid bin Saqr al-Kazimi. Ce cheikh n’est autre que l’un des fils de l’émir actuel. Il est aussi le demi-frère du prince héritier Saoud, le principal challenger du le trône.
 
 Alors que l’émir est actuellement en train de mourir, les Émirats arabes unis se préparent déjà à sa suite: qui doit devenir émir à la place de l’émir ? Sur cette question, les dirigeants d’Abou Dhabi ont une idée… Qu’ils veulent faire passer. Pour cela, ils ont demandé le soutien d’Israël. Si Israël donnait son accord (comme c’est visiblement le cas), les Etats-Unis suivraient… Ce qui est apparemment également le cas!
 C’est ainsi que l’on voit apparaître une campagne internationale de dénigrement du cheikh qui aurait du devenir émir. Parmi les sujets, la complaisance de l’héritier pour la dictature shiite iranienne. Ce dernier avoue sans problème vouloir “continuer à aider l’Iran et sa technologie nucléaire”. Imaginez la réaction de la communauté internationale quand on sait que cet émirat n’est situé qu’à 60km des côtes iraniennes?.. Et cela ne plait pas à grand monde de savoir cela. Alors, l’Organisation Islamique est en train de tout faire, pour que sur son lit de mort, l’Emir actuel change son testament.
 Dans son article, The Guardian cite une source anonyme qui parle d’un complot “sunnito-sioniste”. Cette source anonyme affirme que Prosor aurait-dit “c’est bon, le problème est déjà résolu en notre faveur.”
 Dans cette affaire d’héritage, on ne sait pas trop si l’on peut faire confiance au Guardian… Mais une chose est certaine: l’Arabie Saoudite avec ses alliés égyptiens, émiratis, israéliens et américains ne peuvent pas laisser ce petit émirat devenir le port de prédilection des mollahs de Téhéran.