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Le père de la fille agressée - par des juifs - à Vigneux témoigne

Contrairement au communiqué de Sammy Ghozlan, président du Bureau National de Vigilance Contre l’Antisémitisme qui parle d’« une l’agression antisémite commise par des groupes de jeunes filles décrites comme maghrébine, qui ont insulté, battu, blessé des membres de la communauté juive de Vigneux », c’est en fait totalement l’inverse qui s’est produit, comme le prouve le témoignage en exclusivité du père de la victime

 

Le père de la fille agressée - par des juifs -  à Vigneux témoigne (+vidéo)

Agression « antisémite » : l’affabulateur Ghozlan se surpasse

Déjà pris la main dans le sac à de nombreuses reprises, au point que même le CRIF a jugé plus prudent de le tenir à distance, Sammy Ghozlan, ci-devant président du Bureau National de Propagation de l’Antisémitisme (le mal nommé Bureau National de Vigilance Contre l’Antisémitisme, BNVCA) vient de se distinguer une fois de plus, dans la série "Plus c’est gros, plus ça passe". (Eh non, parfois ça casse !)

Il s’est même surpassé, puisque l’affaire, qui a eu lieu samedi 1er octobre dans la commune de Vigneux-sur-Seine (Essonne, Ile-de-France) concerne en fait l’agression, par un groupe d’une dizaine d’individus ostensiblement juifs, de trois jeunes filles de la ville âgées de 17 à 22 ans.

Que s’est-il passé ?

De source proche des victimes, on indique que les trois jeunes, samedi à la mi-journée, croisent sur leur chemin un groupe d’une dizaine de personnes marchant en sens inverse, en provenance de la synagogue locale. A ce moment-là, une femme du groupe juif entend le mot « juif » prononcé par l’une des jeunes filles, et l’invective aussitôt.

L’interprétation policière de ce premier échange, retranscrite par un journaliste de l’AFP dans une dépêche publiée dimanche soir 2 octobre, est intéressante. L’AFP écrit ainsi : « selon les premiers éléments de l’enquête, l’une des trois jeunes femmes aurait lancé ‘C’est des Arabes comme nous’. ‘On n’est pas Arabes, on est Juifs ! Et qu’est-ce que vous avez contre les Juifs ?’, aurait répondu le groupe »

Comme quoi, pour de tels « Juifs », le fait d’être un tant soit peu comparés à des « Arabes » serait dévalorisant, voire dégradant. Nos lecteurs étrangers saisiront mieux l’absurdité de telles réactions quand ils sauront qu’en France, une partie importante des adeptes de la religion juive sont issus de pays arabes, les anciennes colonies françaises du Maghreb en particulier.

Mais ceci n’est qu’un détail. Car sitôt l’altercation commencée, un adulte du groupe juif, de sexe masculin et de grande taille, fonce sur la plus jeune des trois filles, celle âgée de 17 ans, et se met à la cogner, lui tirant les cheveux et la faisant tomber au sol.

Dans les instants qui suivent, le père de cette jeune fille, qui habite à proximité, entend des cris et descend de son appartement, pour se retrouver dans la rue face à tous les protagonistes de la scène.

Il est alors agressé par la bande, prend une série de coups, en pare d’autres, et en rend d’autres encore. Puis lui-même et sa fille partent, ce même samedi après-midi, au commissariat de police déposer plainte, et passent une visite médicale, car l’un et l’autre ont été blessés. Le père se voit prescrire 5 jours d’Interruption Temporaire de Travail (ITT) et la fille 3 jours.

L’AFP, citant toujours des sources policières, fait état d’une fracture du poignet chez un des membres du groupe juif, effet secondaire de sa propre violence. L’AFP écrit ainsi : « Selon la police, un homme de 22 ans, qui s’est fracturé le poignet, a reconnu lors de son audition s’être blessé en frappant le père d’une des trois jeunes femmes. Cet homme, qui vit à proximité du lieu de l’incident, a été légèrement touché au crâne ».

Ce n’est que le lendemain dimanche, dans le souci manifeste d’allumer un contre-feu, que la machine de propagande pro-israélienne se met en branle, avec un talent et une impudence inégaux selon les officines. Comme de juste, c’est le BNVCA qui gagne le concours du mensonge le plus grossier (la prose de Sammy Ghozlan est reproduite dans son intégralité au bas de notre article).

Ghozlan, qui se flatte d’être lui-même un ancien commissaire de police, est tellement omniscient qu’il annonce le dépôt de plaintes, pour « antisémitisme », bien sûr, au commissariat de police de Vigneux.

Mauvaise pioche : il n’y a pas de commissariat de police à Vigneux, et c’est dans la localité voisine de Draveil (Essonne) que les plaintes ont été enregistrées. Il est vrai que notre mythomane national n’est pas à çà près : il y a quelques mois, il avait dénoncé avec fracas le saccage d’une synagogue dans une ville de Tunisie … où il n’y a pas de synagogue. Ce qui lui avait valu les foudres des représentants de la communauté juive de Tunisie, et l’annonce, peu après, de la suspension de ses fonctions au sein du CRIF, le lobby israélien officiel en France.

Plus flagrant encore, Ghozlan invente une scène, qui aurait vu des hordes d’individus hystériques assiéger le commissariat de Vigneux pour exiger, avec succès, la libération des « agresseurs interpellés ».

Dès qu’il est apparu que non seulement il n’y a pas de commissariat de police à Vigneux, mais qu’il n’y a eu aucune interpellation à la suite de cet incident –le père et la fille se rendant de leur plein gré au commissariat de Draveil pour déposer plainte, comme indiqué plus haut-, le CRIF a ressenti le besoin urgent de se démarquer à nouveau de Ghozlan, et il a publié un communiqué de démenti.

Confondu par ses mensonges à répétition, Ghozlan peut toujours se consoler en regardant la Légion d’Honneur dont il a été fait chevalier l’an dernier. Une breloque qui lui a été remise, il est vrai, par un autre amoureux de la vérité, un certain Brice Hortefeux.

Voici maintenant le papier du « BNVCA » (syntaxe, ponctuation et orthographe « garanties Sammy »)

02/10/2011

Le BNVCA condamne l’agression antisémite commise par des groupes de jeunes filles décrites comme maghrébine,qui ont insulté ;battu, blessé des membres de la communuauté juive de Vigneux à la sortie de la synagogue le 1/10/11.Nathan 60jITT hospitalise. Le Bureau National de Vigilance Contre l’Antisémitisme condamne l’agression antisémite commise à Vigneux le 1/10/11 vers 13h par un groupe de jeunes filles décrites comme d’origine maghrébine, qui ont insulté et frappé des membres de la communauté juive qui sortaient paisiblement,de la synagogue ,en ce jour de Shabbat au lendemain du Jour de l’An Juif, et identifiables du fait que les hommes avaient la tête couverte d’une kippa.

Selon les victimes ,qui ont déposé plainte ce jour 2/10/11 au commissariat de police de Vigneux,alors qu’ils passaient près de la Cité de la Croix Blanche ,les filles maghrébines les ont invectivés,"VOILA LA RACE MAUDITE DE FEUJ ...SALE FEUJ ; JE NIQUE LES JUIFS...ENCULES DE FEUJ " il s’en est suivi une altercation violente,au cours de laquelle les membres de la communauté juive ont été blessés:le jeune S. Nathan 22 ans ,(60j d’ITT) le bras cassé conduit à l’hôpital ou il doit être opéré.Une jeune fille de 18 ans a aussi été blessée souffre d’ecchymoses ,ainsi que leur père, atteint à l’oeil.. L’intervention de la police a conduit à l’interpellation des filles auteurs de l’agression, dès le 1/10/11,mais selon des témoins,elles auraient dû être relâchées sous la pression de groupes d’individus assiegeant le commissariat de police.

Les victimes et témoins ont fait état de la haine hystérique,qui se dégageait de leurs agresseurs. Le BNVCA exprime son soutien aux victimes, et ses voeux de rétablissement aux blessés. Le BNVCA demande à la police de tout mettre en oeuvre pour interpeller les agresseurs antijuifs,et les mettre à la disposition de la justice. Le BNVCA envisage de déposer plainte aux côtés des victimes. Le BNVCA considére que le comportement de ces filles et leurs complices est intolérable, inadmissible.La rue, la cité ne sont pas leur propriété. Leurs provocations , leur haine des juifs, sont inacceptables et doivent être sanctionnées sévèrement. Comme ses requérants, le BNVCA ne peut admettre que dans notre République les citoyens de confession juive doivent encore avoir recours à des mesures de sécurité et de protection,pour exercer leurs libertes publiques élémentaires, (d’aller et venir, se réunir, prier etc,) mises à mal par des individus qui ne respectent rien ni personne.


07/10/2011
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