Steven Spielberg brièvement censuré au Liban
Un employé de cinéma particulièrement zélé a recouvert d'adhésif noir le nom de Steven Spielberg sur les affiches de son dernier film, "Le secret de la Licorne", avant que l'affaire ne s'ébruite et que la direction du cinéma ne répare cette "erreur".
Steven Spielberg figure en effet sur la liste noire du Bureau central de boycott de la Ligue arabe, pour avoir donné un million de dollars à Israël pendant la guerre de 2006 entre l'Etat hébreu et le Liban.
Appliquant le boycott, l'employé a caché le nom de Spielberg sur les affiches promotionnelles dans le cinéma pendant le week-end. Mais quand des photos de ces affiches censurées ont commencé à circuler, et les responsables du cinéma ont immédiatement fait retirer l'adhésif noir.
"C'était une erreur due à un employé trop zélé" qui a pris cette initiative "de lui-même", a déclaré Bassam Eid, un responsable de la chaîne de cinéma Circuit Empire.
Un responsable au service chargé de la censure au Liban a expliqué que compte tenu du boycott décrété par la Ligue arabe, le film ne devrait techniquement pas être diffusé au Liban, mais qu'une telle mesure serait futile compte tenu de la vitalité du marché noir local.
Steven Spielberg figure en effet sur la liste noire du Bureau central de boycott de la Ligue arabe, pour avoir donné un million de dollars à Israël pendant la guerre de 2006 entre l'Etat hébreu et le Liban.
Appliquant le boycott, l'employé a caché le nom de Spielberg sur les affiches promotionnelles dans le cinéma pendant le week-end. Mais quand des photos de ces affiches censurées ont commencé à circuler, et les responsables du cinéma ont immédiatement fait retirer l'adhésif noir.
"C'était une erreur due à un employé trop zélé" qui a pris cette initiative "de lui-même", a déclaré Bassam Eid, un responsable de la chaîne de cinéma Circuit Empire.
Un responsable au service chargé de la censure au Liban a expliqué que compte tenu du boycott décrété par la Ligue arabe, le film ne devrait techniquement pas être diffusé au Liban, mais qu'une telle mesure serait futile compte tenu de la vitalité du marché noir local.
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